Les commerçants de matériaux de construction d'Alger se rebiffent et dénoncent les actes administratifs de fermeture émanant de la wilaya d'Alger dans le cadre de l'arrêt de 2007 qui dispose d'une nouvelle règlementation et d'installation des distributeurs des matériaux de construction dans des zones spécifiques. Les commerçants de matériaux de construction d'Alger se rebiffent et dénoncent les actes administratifs de fermeture émanant de la wilaya d'Alger dans le cadre de l'arrêt de 2007 qui dispose d'une nouvelle règlementation et d'installation des distributeurs des matériaux de construction dans des zones spécifiques. Ils s'estiment lésés par une telle décision qui porte atteinte, selon eux, à l'exercice de leur profession et de la prise en charge de leurs familles ; a déclaré Fouad Belarbi, président du bureau des matériaux de construction affilié à l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), lors d'une conférence de presse organisée, hier au siège de l'UGCAA. C'est ainsi qu'il a précisé que 150 commerçants ont reçu les décisions de fermeture de leurs locaux sur un total de 450 commerçants. Il ne comprend pas, selon ses déclarations, cette décision de la wilaya de la fermeture sans préavis. «Nous avons des familles à nourrir, c'est pourquoi, nous voulons rencontrer aujourd'hui, les autorités compétentes afin qu'elles prennent en charge le devenir de notre profession et la suspension des décisions de mettre fin à nos activités» a-t-il ajouté, menaçant d'enclencher une grève générale dans le cas où nos suggestions seraient refusées et vaines. Il ne comprend pas non plus comment l'administration de la wilaya exige dans cet arrêté l'obtention d'un agrément avant l'ouverture d'un magasin de vente de matériaux de construction. Selon d'autres commerçants présents à la conférence de presse, ils ont déjà déposé des demandes d'obtention de locaux dans les zones d'activités auprès de la direction de commerce d'El-Biar en 2007. Aucune réponse n'a été enregistrée à ce jour. Le moment n'est pas propice à la mise en œuvre de cet arrêté, selon Belarbi, qui invoque comme explication l'éventuelle hausse des prix des matériaux de construction. Pour sa part Sid-Ali Boukerrouche, a affirmé que «cette fermeture massive de locaux des matériaux de construction va inévitablement engendrer une hausse des prix dans la wilaya d'Alger». Par conséquent, a-t-il ajouté, «nous comptons sur la compréhension et la bonne volonté du directeur de commerce de la wilaya pour trouver une solution à ce problème. Nous ne souhaitons, pas bien entendu, aboutir à une grève, car nous croyons en la concertation et au dialogue fructueux et constructif». Ces deux conférenciers ont dit qu'ils veulent travailler légalement et en règle dans les zones d'activités, hors des routes nationales et wilayales et des terres agricoles… Dans la conjoncture actuelle où lorsque le bâtiment va, tout va, Boukerrouche et Belarbi estiment que l'annulation de la décision de fermeture des locaux permettrait de sauvegarder des milliers d'emplois sachant que les vendeurs de matériaux de construction font travailler des ouvriers. Le message véhiculé par l'UGCAA consiste à exhorter les autorités compétentes à accepter l'exercice de leur métier dans le cadre de loi, notamment en respectant scrupuleusement l'installation de zones d'activités et en réorganisant la profession, et ce tout en assurant la protection de l'environnement et de l'écologie. Faisant allusion au programme de construction de 2 millions de logements préconisé par le président de la République, tout en contribuant par le biais de leurs activités commerciales et de distribution de matériaux de construction, ces deux responsables au niveau de l'UGCAA estiment qu'ils agissent de bonne foi, et par conséquent, ils anticipent sur les conséquences de la fermeture des locaux de matériaux de construction sur les augmentations des prix et les pénuries de matériaux de construction. Evoquant la stratégie en matière de création d'emplois des jeunes, Belarbi s'étonne de la fermeture des locaux de matériaux de construction alors que l'Etat fait tout pour encourager l'emploi des jeunes et la mise en place de PME et de microentreprises. Ils s'estiment lésés par une telle décision qui porte atteinte, selon eux, à l'exercice de leur profession et de la prise en charge de leurs familles ; a déclaré Fouad Belarbi, président du bureau des matériaux de construction affilié à l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), lors d'une conférence de presse organisée, hier au siège de l'UGCAA. C'est ainsi qu'il a précisé que 150 commerçants ont reçu les décisions de fermeture de leurs locaux sur un total de 450 commerçants. Il ne comprend pas, selon ses déclarations, cette décision de la wilaya de la fermeture sans préavis. «Nous avons des familles à nourrir, c'est pourquoi, nous voulons rencontrer aujourd'hui, les autorités compétentes afin qu'elles prennent en charge le devenir de notre profession et la suspension des décisions de mettre fin à nos activités» a-t-il ajouté, menaçant d'enclencher une grève générale dans le cas où nos suggestions seraient refusées et vaines. Il ne comprend pas non plus comment l'administration de la wilaya exige dans cet arrêté l'obtention d'un agrément avant l'ouverture d'un magasin de vente de matériaux de construction. Selon d'autres commerçants présents à la conférence de presse, ils ont déjà déposé des demandes d'obtention de locaux dans les zones d'activités auprès de la direction de commerce d'El-Biar en 2007. Aucune réponse n'a été enregistrée à ce jour. Le moment n'est pas propice à la mise en œuvre de cet arrêté, selon Belarbi, qui invoque comme explication l'éventuelle hausse des prix des matériaux de construction. Pour sa part Sid-Ali Boukerrouche, a affirmé que «cette fermeture massive de locaux des matériaux de construction va inévitablement engendrer une hausse des prix dans la wilaya d'Alger». Par conséquent, a-t-il ajouté, «nous comptons sur la compréhension et la bonne volonté du directeur de commerce de la wilaya pour trouver une solution à ce problème. Nous ne souhaitons, pas bien entendu, aboutir à une grève, car nous croyons en la concertation et au dialogue fructueux et constructif». Ces deux conférenciers ont dit qu'ils veulent travailler légalement et en règle dans les zones d'activités, hors des routes nationales et wilayales et des terres agricoles… Dans la conjoncture actuelle où lorsque le bâtiment va, tout va, Boukerrouche et Belarbi estiment que l'annulation de la décision de fermeture des locaux permettrait de sauvegarder des milliers d'emplois sachant que les vendeurs de matériaux de construction font travailler des ouvriers. Le message véhiculé par l'UGCAA consiste à exhorter les autorités compétentes à accepter l'exercice de leur métier dans le cadre de loi, notamment en respectant scrupuleusement l'installation de zones d'activités et en réorganisant la profession, et ce tout en assurant la protection de l'environnement et de l'écologie. Faisant allusion au programme de construction de 2 millions de logements préconisé par le président de la République, tout en contribuant par le biais de leurs activités commerciales et de distribution de matériaux de construction, ces deux responsables au niveau de l'UGCAA estiment qu'ils agissent de bonne foi, et par conséquent, ils anticipent sur les conséquences de la fermeture des locaux de matériaux de construction sur les augmentations des prix et les pénuries de matériaux de construction. Evoquant la stratégie en matière de création d'emplois des jeunes, Belarbi s'étonne de la fermeture des locaux de matériaux de construction alors que l'Etat fait tout pour encourager l'emploi des jeunes et la mise en place de PME et de microentreprises.