Après la mise à niveau des entreprises et la formation des gestionnaires en management et en informatique de gestion, ainsi que les ressources humaines, l'Algérie et l'Union européenne s'engagent dans trois autres secteurs stratégiques. En effet, l'unité de gestion du programme d'appui à la mise en œuvre de l'accord d'association (P3A) entre l'Algérie et l'Union européenne a annoncé la préparation en cours de trois projets de jumelages dans les domaines de l'Energie, l'Aquaculture et la Justice. Ces projets, d'un budget global de 3,5 millions d'euros consommables sur 24 mois, avaient fait l'objet de trois "appels à propositions" publiés sur les sites Web de la commission européenne et du P3A. La sélection des institutions partenaires, représentant les états de l'Union européenne (UE) doit se faire prochainement, selon une note d'information de P3A, transmise à l'APS. Le premier des trois jumelages, doté de 1,23 millions d'euros, porte sur le renforcement des structures, pouvoirs et compétences de la commission de régulation de l'électricité et du gaz (CREG), relevant du ministère de l'Energie et des Mines. Il vise "l'amélioration de la qualité du service public et de la régulation des marchés de l'électricité et du gaz dans l'intérêt des consommateurs algériens", selon la note. La direction de la concurrence au ministère du Commerce ainsi que le Conseil de la concurrence, qui doit être réactivé avant la fin de l'année, doivent également bénéficier de cet appui. Le deuxième projet de jumelage est relatif au renforcement des capacités du Centre National de Recherche pour le Développement de l'Aquaculture (CNDPA), relevant du ministère de la Pêche et des ressources halieutiques. Doté d'un budget prévisionnel de 1,13 millions d'euros, il mise sur "l'optimisation de l'organisation, du management et de l'efficacité opérationnelle du CNDPA, en tant qu'instrument essentiel d'aide à la décision", selon la même source. Le troisième jumelage envisagé, selon l'APS, porte sur le renforcement des structures et du fonctionnement du Centre de Recherche Juridique et Judiciaire (CRJJ), dépendant du ministère de la Justice, en vue d'une mise en œuvre optimale de ses missions afin de mieux légiférer.Avec un budget de 1,14 millions d'euros, il a pour objectif d'apporter un ''appui pertinent au système juridique et judiciaire algérien en matière d'élaboration et d'application du droit et du renforcement de l'Etat de droit et de la sécurité juridique". Plusieurs autres projets de jumelage institutionnels au profit d'autres ministères et institutions algériens sont d'autre part en cours d'identification par les experts du P3A, a avancé la même source. Cinq jumelages avaient été lancés au début de l'année en cours dans la cadre de la première étape du P3A. Depuis son lancement en mai 2009, P3A a, par ailleurs, réussi à réaliser 24 opérations d'assistance technique et d'échange d'informations (Taiex), qui consistent à encourager les échanges de connaissances et d'informations, pendant une courte durée, entre des fonctionnaires algériens et leurs homologues européens activant dans un même domaine. Après la mise à niveau des entreprises et la formation des gestionnaires en management et en informatique de gestion, ainsi que les ressources humaines, l'Algérie et l'Union européenne s'engagent dans trois autres secteurs stratégiques. En effet, l'unité de gestion du programme d'appui à la mise en œuvre de l'accord d'association (P3A) entre l'Algérie et l'Union européenne a annoncé la préparation en cours de trois projets de jumelages dans les domaines de l'Energie, l'Aquaculture et la Justice. Ces projets, d'un budget global de 3,5 millions d'euros consommables sur 24 mois, avaient fait l'objet de trois "appels à propositions" publiés sur les sites Web de la commission européenne et du P3A. La sélection des institutions partenaires, représentant les états de l'Union européenne (UE) doit se faire prochainement, selon une note d'information de P3A, transmise à l'APS. Le premier des trois jumelages, doté de 1,23 millions d'euros, porte sur le renforcement des structures, pouvoirs et compétences de la commission de régulation de l'électricité et du gaz (CREG), relevant du ministère de l'Energie et des Mines. Il vise "l'amélioration de la qualité du service public et de la régulation des marchés de l'électricité et du gaz dans l'intérêt des consommateurs algériens", selon la note. La direction de la concurrence au ministère du Commerce ainsi que le Conseil de la concurrence, qui doit être réactivé avant la fin de l'année, doivent également bénéficier de cet appui. Le deuxième projet de jumelage est relatif au renforcement des capacités du Centre National de Recherche pour le Développement de l'Aquaculture (CNDPA), relevant du ministère de la Pêche et des ressources halieutiques. Doté d'un budget prévisionnel de 1,13 millions d'euros, il mise sur "l'optimisation de l'organisation, du management et de l'efficacité opérationnelle du CNDPA, en tant qu'instrument essentiel d'aide à la décision", selon la même source. Le troisième jumelage envisagé, selon l'APS, porte sur le renforcement des structures et du fonctionnement du Centre de Recherche Juridique et Judiciaire (CRJJ), dépendant du ministère de la Justice, en vue d'une mise en œuvre optimale de ses missions afin de mieux légiférer.Avec un budget de 1,14 millions d'euros, il a pour objectif d'apporter un ''appui pertinent au système juridique et judiciaire algérien en matière d'élaboration et d'application du droit et du renforcement de l'Etat de droit et de la sécurité juridique". Plusieurs autres projets de jumelage institutionnels au profit d'autres ministères et institutions algériens sont d'autre part en cours d'identification par les experts du P3A, a avancé la même source. Cinq jumelages avaient été lancés au début de l'année en cours dans la cadre de la première étape du P3A. Depuis son lancement en mai 2009, P3A a, par ailleurs, réussi à réaliser 24 opérations d'assistance technique et d'échange d'informations (Taiex), qui consistent à encourager les échanges de connaissances et d'informations, pendant une courte durée, entre des fonctionnaires algériens et leurs homologues européens activant dans un même domaine.