Les communaux ont annoncé poursuivre leur mouvement de protestation hebdomadaire. Dans un communiqué, le Conseil national du secteur des communes (CNSC), qui a tenu vendredi 1er juillet dernier son conseil à Alger, a décidé à l'unanimité de poursuivre le mouvement de la grève cyclique de deux (02) jours par semaine, à savoir les mardis et mercredis. Objectif annoncé de cette mesure, le maintien de la mobilisation des travailleurs communaux en vue d'imposer leurs revendications. Le CNSC, annonce-t-on, a adopté la décision de recourir à deux actions durant ce mois de juillet. La première étant un rassemblement des travailleurs devant le siège de l'APC de Djebbahia dans la wilaya de Bouira, prévu aujourd'hui à partir de 10h30 en guise de solidarité avec le syndicaliste Mohamed Zouggagh et exiger sa réhabilitation dans ses droits. La seconde est une action de protestation pacifique des délégués syndicaux à Alger, annoncée pour la date du 13 juillet à partir de 10h30, pour dit-on, «amener les pouvoirs publics à prendre en charge notre plate-forme de revendications. Le lieu de cette action sera communiqué au moment opportun». Par la même occasion, le CNSC a tenu à saluer la mobilisation des travailleurs communaux, qualifié d'«extraordinaire», et ce, ajoute-t-on, «malgré les pressions et les intimidations dont ils font l'objet». Les travailleurs communaux, soutient le CNSC, demeurent déterminés à mener leur combat jusqu'à la satisfaction de leurs revendications qui s'étalent sur huit points principaux. Ils revendiquent entre autres, le respect des libertés syndicales, le droit de grève, la réintégration de tous les syndicalistes licenciés et suspendus arbitrairement, l'amélioration du pouvoir d'achat des travailleurs communaux en harmonie avec le coût de la vie, l'ouverture des négociations sur le projet du statut et le régime indemnitaire des travailleurs communaux, dans l'élaboration de toute la règlementation relative au monde du travail, la révision du statut particulier des corps communs, des ouvriers professionnels, des conducteurs et des gardiens, mais aussi l'intégration en priorité de tous les contractuels et vacataires en postes, l'abrogation de l'article 87 bis de la loi numéro 90/11 et enfin le maintien du régime de la retraite sans condition d'âge. Les communaux ont annoncé poursuivre leur mouvement de protestation hebdomadaire. Dans un communiqué, le Conseil national du secteur des communes (CNSC), qui a tenu vendredi 1er juillet dernier son conseil à Alger, a décidé à l'unanimité de poursuivre le mouvement de la grève cyclique de deux (02) jours par semaine, à savoir les mardis et mercredis. Objectif annoncé de cette mesure, le maintien de la mobilisation des travailleurs communaux en vue d'imposer leurs revendications. Le CNSC, annonce-t-on, a adopté la décision de recourir à deux actions durant ce mois de juillet. La première étant un rassemblement des travailleurs devant le siège de l'APC de Djebbahia dans la wilaya de Bouira, prévu aujourd'hui à partir de 10h30 en guise de solidarité avec le syndicaliste Mohamed Zouggagh et exiger sa réhabilitation dans ses droits. La seconde est une action de protestation pacifique des délégués syndicaux à Alger, annoncée pour la date du 13 juillet à partir de 10h30, pour dit-on, «amener les pouvoirs publics à prendre en charge notre plate-forme de revendications. Le lieu de cette action sera communiqué au moment opportun». Par la même occasion, le CNSC a tenu à saluer la mobilisation des travailleurs communaux, qualifié d'«extraordinaire», et ce, ajoute-t-on, «malgré les pressions et les intimidations dont ils font l'objet». Les travailleurs communaux, soutient le CNSC, demeurent déterminés à mener leur combat jusqu'à la satisfaction de leurs revendications qui s'étalent sur huit points principaux. Ils revendiquent entre autres, le respect des libertés syndicales, le droit de grève, la réintégration de tous les syndicalistes licenciés et suspendus arbitrairement, l'amélioration du pouvoir d'achat des travailleurs communaux en harmonie avec le coût de la vie, l'ouverture des négociations sur le projet du statut et le régime indemnitaire des travailleurs communaux, dans l'élaboration de toute la règlementation relative au monde du travail, la révision du statut particulier des corps communs, des ouvriers professionnels, des conducteurs et des gardiens, mais aussi l'intégration en priorité de tous les contractuels et vacataires en postes, l'abrogation de l'article 87 bis de la loi numéro 90/11 et enfin le maintien du régime de la retraite sans condition d'âge.