Côté variétés et animation, il y en aura pour tous les goûts. Même le piano classique y est ! C'est le Sénégal qui est à l'honneur. Il participe avec 50 artistes. Mais l'ouverture sera marquée par la vente-dédicace du roman « Reggane, mon amour » de Victor Malo Selva édité en 2011 par la maison suisse Aden. Un livre qui fait écho à celui d' « Hiroshima, mon amour » qui relate les horreurs de la bombe atomique. Au reste, la programmation fait débuter les galas en soirée de 19 h à minuit. En ouverture il y aura Muca et Amsiwel qui vont jouer du folk jazz kabyle et chanter des morceaux français adaptés en kabyle. Au cours de la même soirée se produira le chanteur de rock kabyle Ali Amrane. Du Venezuela et de la Colombie nous viendront Rocoveco et Alexis Cardenas, grands virtuoses des chants de ces pays. Un classique piano vous sera servi par Rebecca Chaillot, Hegi Sophie et Lyda. En somme, il y a un savant dosage entre le local, le national et l'international et surtout on appréciera cette forte présence de l'Amérique du sud, habituellement peu représentée sur nos plateaux. Khaled, le roi du raï clôturera le festival. Au milieu il y a cette superbe affiche qui présente le meilleur de la musique traditionnelle kabyle en guise d'hommage à Slimane Azem: S. Chabi, Kamel Hamadi, Anissa, El Ankis et Akli Yahyathène dont certainement on écoutera avec la chair de poule « a tamurt-iw, tamurt idurar ». Le genre gnaoui sera présent à travers Amazigh Kateb, le groupe Cameleon d'Alger et le groupe Ferda de Knadsa (Bechar). Au cours d'une de ces soyeuses soirées on fera un détour à Cuba avec la musique des iles caraïbes avec Onda Cuba, puis on passera aux chants malgaches avec Rajery (très très rare), tiens tiens ! Et cerise sur le gâteau, vous ne vous y attendiez surement pas, on vous passera au fil du reggae et du hip hop très rythmique avec Dub Inc. Il y a aussi au menu des chants du Pérou qui seront interprétés par La Machette et du jazz Manouche qui sera joué par le Quartet Niculescu. Il y aura aussi de la musique traditionnelle marocaine avec Ouadaden et du rock algérien avec Index. Enfin le groupe Dolima présentera un concert de musique africaine. Côté workshop, sont attendues une cinquantaine de personnes entre architectes, anthropologues, urbanistes, géographes, étudiants, sociologues nationaux et étrangers dont le célébrissime architecte Japonais Kengo Kuma. Tout ce beau monde doit plancher sur les voies et moyens à même d'assurer l'intégration du territoire de Djoua dans un rapport de synergie entre montagne, littoral et métropole (Bejaïa) avec en point de mire la protection et la valorisation du patrimoine qu'il ressorte au domaine naturel ou culturel. Il sera aussi question de la promotion de la démocratie de l'égalité homme-femme et de la liberté d'opinion et d'expression. Côté variétés et animation, il y en aura pour tous les goûts. Même le piano classique y est ! C'est le Sénégal qui est à l'honneur. Il participe avec 50 artistes. Mais l'ouverture sera marquée par la vente-dédicace du roman « Reggane, mon amour » de Victor Malo Selva édité en 2011 par la maison suisse Aden. Un livre qui fait écho à celui d' « Hiroshima, mon amour » qui relate les horreurs de la bombe atomique. Au reste, la programmation fait débuter les galas en soirée de 19 h à minuit. En ouverture il y aura Muca et Amsiwel qui vont jouer du folk jazz kabyle et chanter des morceaux français adaptés en kabyle. Au cours de la même soirée se produira le chanteur de rock kabyle Ali Amrane. Du Venezuela et de la Colombie nous viendront Rocoveco et Alexis Cardenas, grands virtuoses des chants de ces pays. Un classique piano vous sera servi par Rebecca Chaillot, Hegi Sophie et Lyda. En somme, il y a un savant dosage entre le local, le national et l'international et surtout on appréciera cette forte présence de l'Amérique du sud, habituellement peu représentée sur nos plateaux. Khaled, le roi du raï clôturera le festival. Au milieu il y a cette superbe affiche qui présente le meilleur de la musique traditionnelle kabyle en guise d'hommage à Slimane Azem: S. Chabi, Kamel Hamadi, Anissa, El Ankis et Akli Yahyathène dont certainement on écoutera avec la chair de poule « a tamurt-iw, tamurt idurar ». Le genre gnaoui sera présent à travers Amazigh Kateb, le groupe Cameleon d'Alger et le groupe Ferda de Knadsa (Bechar). Au cours d'une de ces soyeuses soirées on fera un détour à Cuba avec la musique des iles caraïbes avec Onda Cuba, puis on passera aux chants malgaches avec Rajery (très très rare), tiens tiens ! Et cerise sur le gâteau, vous ne vous y attendiez surement pas, on vous passera au fil du reggae et du hip hop très rythmique avec Dub Inc. Il y a aussi au menu des chants du Pérou qui seront interprétés par La Machette et du jazz Manouche qui sera joué par le Quartet Niculescu. Il y aura aussi de la musique traditionnelle marocaine avec Ouadaden et du rock algérien avec Index. Enfin le groupe Dolima présentera un concert de musique africaine. Côté workshop, sont attendues une cinquantaine de personnes entre architectes, anthropologues, urbanistes, géographes, étudiants, sociologues nationaux et étrangers dont le célébrissime architecte Japonais Kengo Kuma. Tout ce beau monde doit plancher sur les voies et moyens à même d'assurer l'intégration du territoire de Djoua dans un rapport de synergie entre montagne, littoral et métropole (Bejaïa) avec en point de mire la protection et la valorisation du patrimoine qu'il ressorte au domaine naturel ou culturel. Il sera aussi question de la promotion de la démocratie de l'égalité homme-femme et de la liberté d'opinion et d'expression.