En dépit de la règle impérative du partage de capital (51 % pour les nationaux et 49 % pour les investisseurs étrangers), les investissements internationaux continuent d'affluer en Algérie. En dépit de la règle impérative du partage de capital (51 % pour les nationaux et 49 % pour les investisseurs étrangers), les investissements internationaux continuent d'affluer en Algérie. Ainsi, l'Agence nationale de développement de l'investissement (Andi) a enregistré 15 projets d'investisseurs étrangers durant le premier semestre 2011, a indiqué jeudi dernier Abdelkrim Mansouri, directeur général de l'Agence. Le Conseil national de l'investissement (CNI) a examiné et approuvé, lors de ses 7 sessions tenues durant les six premiers mois de l'année, ces projets d'investisseurs étrangers, a-t-il déclaré à l'APS. «Le niveau des projets d'investissements impliquant les étrangers, qui a atteint le nombre de 15 projets, confirme l'attractivité de l'Algérie en matière d'investissement, l'acceptation de ces derniers des nouvelles mesures régissant l'investissement, notamment la règle des 51/49 %», souligne le DG de l'Agence. L'Andi ne précise pas les pays ayant consenti des investissements durant ce premier semestre 2011, mais, les industriels italiens, espagnols et britanniques sont toujours actifs et prêts à lancer des opérations d'investissement en Algérie. La loi de finances complémentaire 2009 avait introduit des changements concernant les conditions de l'investissement étranger en Algérie et adopté la règle des 51%/49 % où le partenaire algérien est majoritaire dans le projet. "Les assurances données par les autorités algériennes en matière de stabilité de la législation, et les efforts déployés par les institutions algériennes, en matière de communications envers les étrangers, explique également cet engouement", relève Mansouri. Par ailleurs, il note que l'Andi est passée à une nouvelle étape de promotion proactive plus offensive par des mises en relation d'affaires professionnelles en vue d'augmenter et de diversifier les investissements. Evoquant les grands projets d'investissements approuvés par le CNI, le DG de l'Andi a cité, selon l'agence, essentiellement les projets du parc d'attraction Dounya, le complexe hôtelier Moretti, l'unité de production pharmaceutique ou l'unité de fabrication de ciment, entre autres projets. Les gaz industriels sont également un autre secteur dans lequel les firmes allemandes peuvent développer des projets importants sachant que Linde a déjà racheté l'entreprise algérienne des gaz industriels. D'autres activités sont concernées par ces projets d'investissement, il s'agit de la transformation industrielle de papier et de la fabrication d'articles divers en papier, de l'extension des capacités de production de l'entreprise de production de plâtre et dérivés, de la production de gaz médical et industriel, du traitement et de récupération des déchets d'hydrocarbures et de la fabrication de produits pharmaceutiques. Mansouri a souligné par ailleurs la volonté affichée des (opérateurs) étrangers qui adhèrent à la formule du partenariat d'investissement gagnant/gagnant. Il a également relevé l'orientation progressive de l'investissement vers des secteurs d'activité plus diversifiés, convergeant ainsi avec les préoccupations nationales visant à densifier les investissements sur des créneaux hors hydrocarbures (Industrie, tourisme, etc.). Les projets d'investissement devraient enclencher une dynamique de développement arrimée au programme quinquennal 2010-2014, qui accorde un intérêt particulier à ces secteurs qui ont un impact important sur la structure des investissements, des ressources et des emplois. L'agroalimentaire, les services et la pharmacie sont les principaux créneaux dans lesquels les étrangers investissent en Algérie, à l'image des Américains qui veulent faire de l'Algérie le dragon de l'industrie pharmaceutique avec option exportatrice pour les pays africains. Ainsi, l'Agence nationale de développement de l'investissement (Andi) a enregistré 15 projets d'investisseurs étrangers durant le premier semestre 2011, a indiqué jeudi dernier Abdelkrim Mansouri, directeur général de l'Agence. Le Conseil national de l'investissement (CNI) a examiné et approuvé, lors de ses 7 sessions tenues durant les six premiers mois de l'année, ces projets d'investisseurs étrangers, a-t-il déclaré à l'APS. «Le niveau des projets d'investissements impliquant les étrangers, qui a atteint le nombre de 15 projets, confirme l'attractivité de l'Algérie en matière d'investissement, l'acceptation de ces derniers des nouvelles mesures régissant l'investissement, notamment la règle des 51/49 %», souligne le DG de l'Agence. L'Andi ne précise pas les pays ayant consenti des investissements durant ce premier semestre 2011, mais, les industriels italiens, espagnols et britanniques sont toujours actifs et prêts à lancer des opérations d'investissement en Algérie. La loi de finances complémentaire 2009 avait introduit des changements concernant les conditions de l'investissement étranger en Algérie et adopté la règle des 51%/49 % où le partenaire algérien est majoritaire dans le projet. "Les assurances données par les autorités algériennes en matière de stabilité de la législation, et les efforts déployés par les institutions algériennes, en matière de communications envers les étrangers, explique également cet engouement", relève Mansouri. Par ailleurs, il note que l'Andi est passée à une nouvelle étape de promotion proactive plus offensive par des mises en relation d'affaires professionnelles en vue d'augmenter et de diversifier les investissements. Evoquant les grands projets d'investissements approuvés par le CNI, le DG de l'Andi a cité, selon l'agence, essentiellement les projets du parc d'attraction Dounya, le complexe hôtelier Moretti, l'unité de production pharmaceutique ou l'unité de fabrication de ciment, entre autres projets. Les gaz industriels sont également un autre secteur dans lequel les firmes allemandes peuvent développer des projets importants sachant que Linde a déjà racheté l'entreprise algérienne des gaz industriels. D'autres activités sont concernées par ces projets d'investissement, il s'agit de la transformation industrielle de papier et de la fabrication d'articles divers en papier, de l'extension des capacités de production de l'entreprise de production de plâtre et dérivés, de la production de gaz médical et industriel, du traitement et de récupération des déchets d'hydrocarbures et de la fabrication de produits pharmaceutiques. Mansouri a souligné par ailleurs la volonté affichée des (opérateurs) étrangers qui adhèrent à la formule du partenariat d'investissement gagnant/gagnant. Il a également relevé l'orientation progressive de l'investissement vers des secteurs d'activité plus diversifiés, convergeant ainsi avec les préoccupations nationales visant à densifier les investissements sur des créneaux hors hydrocarbures (Industrie, tourisme, etc.). Les projets d'investissement devraient enclencher une dynamique de développement arrimée au programme quinquennal 2010-2014, qui accorde un intérêt particulier à ces secteurs qui ont un impact important sur la structure des investissements, des ressources et des emplois. L'agroalimentaire, les services et la pharmacie sont les principaux créneaux dans lesquels les étrangers investissent en Algérie, à l'image des Américains qui veulent faire de l'Algérie le dragon de l'industrie pharmaceutique avec option exportatrice pour les pays africains.