Les dirigeants des pays de la zone euro vont se réunir le 21 juillet à Bruxelles pour un sommet extraordinaire à Bruxelles afin de boucler un nouveau plan d'aide à la Grèce et d'essayer de stopper la contagion de la crise de la dette, a annoncé vendredi le président de l'UE. « J'ai décidé de convoquer une réunion des dirigeants des Etats de la zone euro jeudi 21 juillet à Bruxelles », a déclaré Herman Van Rompuy dans un communiqué. « Notre ordre du jour sera la stabilité financière de la zone euro dans son ensemble et le futur financement du programme (d'aide) grec », a-t-il précisé. « J'ai demandé notamment aux ministères des Finances (de l'Union monétaire) de faire avancer le travail préparatoire » sur ces points, a ajouté M. Van Rompuy. Le fait que le président de l'UE fixe une date pour la réunion signifie que les pays de la zone euro sont proches d'un accord pour surmonter leurs divergences sur le sujet à l'origine de la récente poussée de fièvre : la mise au point d'un deuxième programme de prêts promis à Athènes pour mettre le pays à l'abri jusqu'à mi-2014, au moins, et la manière d'y faire participer les créanciers privés du pays. Les dirigeants des pays de la zone euro vont se réunir le 21 juillet à Bruxelles pour un sommet extraordinaire à Bruxelles afin de boucler un nouveau plan d'aide à la Grèce et d'essayer de stopper la contagion de la crise de la dette, a annoncé vendredi le président de l'UE. « J'ai décidé de convoquer une réunion des dirigeants des Etats de la zone euro jeudi 21 juillet à Bruxelles », a déclaré Herman Van Rompuy dans un communiqué. « Notre ordre du jour sera la stabilité financière de la zone euro dans son ensemble et le futur financement du programme (d'aide) grec », a-t-il précisé. « J'ai demandé notamment aux ministères des Finances (de l'Union monétaire) de faire avancer le travail préparatoire » sur ces points, a ajouté M. Van Rompuy. Le fait que le président de l'UE fixe une date pour la réunion signifie que les pays de la zone euro sont proches d'un accord pour surmonter leurs divergences sur le sujet à l'origine de la récente poussée de fièvre : la mise au point d'un deuxième programme de prêts promis à Athènes pour mettre le pays à l'abri jusqu'à mi-2014, au moins, et la manière d'y faire participer les créanciers privés du pays.