Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a affirmé samedi que les Palestiniens se rendraient à l'ONU pour demander l'adhésion d'un Etat de Palestine en raison de l'intransigeance d'Israël sur la question des colonies et de son refus de négocier sur la base des lignes de 1967. «Nous allons aux Nations unies parce que nous y sommes contraints et ce n'est pas une action unilatérale", a déclaré M. Abbas à l'ouverture d'une réunion de l'ensemble des représentants diplomatiques palestiniens à Istanbul. «Ce qui est unilatéral, c'est la colonisation israélienne", a ajouté le président palestinien. La rencontre des diplomates palestiniens avec M. Abbas, la première du genre, a notamment pour thème le projet des Palestiniens de se rendre à l'ONU pour obtenir la reconnaissance de leur Etat indépendant et souverain avec el-Qods comme capitale. Cette démarche est cependant catégoriquement rejetée par Israël et les Etats-Unis, qui ont annoncé leur intention d'y opposer leur veto alors que l'Union européenne (UE) est divisée sur cette question. Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a affirmé samedi que les Palestiniens se rendraient à l'ONU pour demander l'adhésion d'un Etat de Palestine en raison de l'intransigeance d'Israël sur la question des colonies et de son refus de négocier sur la base des lignes de 1967. «Nous allons aux Nations unies parce que nous y sommes contraints et ce n'est pas une action unilatérale", a déclaré M. Abbas à l'ouverture d'une réunion de l'ensemble des représentants diplomatiques palestiniens à Istanbul. «Ce qui est unilatéral, c'est la colonisation israélienne", a ajouté le président palestinien. La rencontre des diplomates palestiniens avec M. Abbas, la première du genre, a notamment pour thème le projet des Palestiniens de se rendre à l'ONU pour obtenir la reconnaissance de leur Etat indépendant et souverain avec el-Qods comme capitale. Cette démarche est cependant catégoriquement rejetée par Israël et les Etats-Unis, qui ont annoncé leur intention d'y opposer leur veto alors que l'Union européenne (UE) est divisée sur cette question.