L'euro s'échangeait en nette hausse hier face à un dollar toujours pénalisé par l'enlisement des négociations sur le relèvement du plafond de la dette américaine et par la possibilité d'une sanction des agences de notation contre les Etats-Unis. La devise européenne valait 1,4474 dollar mardi matin contre 1,4375 dollar la veille au soir. Elle a brièvement franchi dans les échanges asiatiques la barre de 1,45 dollar, pour la première fois depuis le 5 juillet, montant à 1,4522. Les démocrates alliés du président Obama et leurs rivaux républicains n'ont que jusqu'au 2 août pour parvenir à un accord sur le relèvement du plafond de la dette du pays, faute de quoi la première puissance économique mondiale risquerait de se retrouver en défaut de paiement. Selon les experts, la plupart des investisseurs ne croient pas vraiment que les Etats-Unis puissent se retrouver en défaut, l'impasse dans laquelle se trouvent les discussions bipartisanes leur fait craindre une dégradation de la note de la dette du pays, aujourd'hui créditée de la meilleure note possible (AAA). Les opérateurs délaissaient le billet vert pour l'euro, mais surtout les devises jugées moins risquées, tel le yen ou encore le franc suisse, devise refuge par excellence, montée hier à un nouveau plus haut historique face au dollar, soulignent-ils. L'euro s'échangeait en nette hausse hier face à un dollar toujours pénalisé par l'enlisement des négociations sur le relèvement du plafond de la dette américaine et par la possibilité d'une sanction des agences de notation contre les Etats-Unis. La devise européenne valait 1,4474 dollar mardi matin contre 1,4375 dollar la veille au soir. Elle a brièvement franchi dans les échanges asiatiques la barre de 1,45 dollar, pour la première fois depuis le 5 juillet, montant à 1,4522. Les démocrates alliés du président Obama et leurs rivaux républicains n'ont que jusqu'au 2 août pour parvenir à un accord sur le relèvement du plafond de la dette du pays, faute de quoi la première puissance économique mondiale risquerait de se retrouver en défaut de paiement. Selon les experts, la plupart des investisseurs ne croient pas vraiment que les Etats-Unis puissent se retrouver en défaut, l'impasse dans laquelle se trouvent les discussions bipartisanes leur fait craindre une dégradation de la note de la dette du pays, aujourd'hui créditée de la meilleure note possible (AAA). Les opérateurs délaissaient le billet vert pour l'euro, mais surtout les devises jugées moins risquées, tel le yen ou encore le franc suisse, devise refuge par excellence, montée hier à un nouveau plus haut historique face au dollar, soulignent-ils.