Les deux premiers jours du mois de Ramadhan dans la ville de Tizi-Ouzou ont été caractérisés par une désertion totale de la ville par les citoyens à cause de la chaleur caniculaire qui y a régné. Les deux premiers jours du mois de Ramadhan dans la ville de Tizi-Ouzou ont été caractérisés par une désertion totale de la ville par les citoyens à cause de la chaleur caniculaire qui y a régné. Le climat est peu clément, en ce début du mois d'août, ce qui augure d'un Ramadhan difficile d'autant plus que comme chaque année, les prix des fruits et légumes ont connu des augmentations subites dès la première journée du mois de la "rahma". Le dernier jour avant le début de Ramadhan, en revanche, la ville des Genêts a été prise d'assaut par les citoyens, particulièrement par les femmes, qui se sont rués sur les magasins d'alimentation générale. En effet, dimanche dernier, la ville de Tizi-Ouzou était noire de monde. D'aucuns auraient comparé cette journée au premier jour de la rentrée scolaire. Les interminables bouchons de voitures ont fait leur réapparition et pour faire un quelconque achat dans n'importe quelle superette ou autre épicerie, la queue était impérative. La majorité des citoyens se déplaçaient en ville avec pas moins de quatre sachets dans les mains. L'augmentation des prix des produits alimentaires ne rebutent point les acheteurs bien qu'ils ne cessent de maugréer et de déplorer ces hausses. Mais peut-on vraiment changer les lois du marché qui disent qu'à chaque fois qu'il y a augmentation de la demande, les prix s'envolent systématiquement ? Les prix de pratiquement tous les produits alimentaires se sont envolés dès le premier jour du mois de carême. La pomme de terre qui se vendait à moins de trente dinars est passée subitement à 55 dinars. Le même constat concerne tous les légumes très prisée pendant le Ramadhan comme la carotte, la courgette, la salade verte, la tomate, etc. qui ont connu des hausse de pas moins de 20 dinars. Aucun produit n'a échappé à la folie de la mercuriale. Même le prix d'un kilogramme de poulet frais est passé à 320 dinars. C'est dire que les responsables des familles devraient se plier en quatre pour gérer ces trente jours où vivre devient synonyme de manger. Par ailleurs, et afin de parer à tout dépassement et pour lutter contre les vols et autres actions de banditisme qui risque de survenir particulièrement durant les soirées, les services de la sûreté de wilaya de Tizi-Ouzou se sont mobilisés pour la circonstance. Ainsi, selon le responsable de la cellule de la communication de la sûreté de wilaya, un dispositif sécuritaire spécial est mis en œuvre depuis lundi dernier à l'occasion du mois sacré de Ramadhan. L'objectif consiste bien évidemment à assurer la quiétude et la sécurité des personnes et des biens. « La sûreté de wilaya de Tizi-Ouzou a élaboré un plan spécial d'action et mis tous les moyens humains et matériels en œuvre afin d'occuper le terrain de manière efficace et consolider, d'autre part, le dispositif déjà mis en place », souligne notre source. Cette dernière précise en outre que ce plan sera matérialisé par la multiplication des patrouilles motorisées et pédestres, la sécurisation des lieux des manifestations culturelles organisées durant les veillées, le renforcement de la présence des forces de police dans les bureaux de poste, banques et stations de transport de voyageurs, la sécurisation des abords des mosquées et les contrôles inopinés. Le dispositif sera maintenu au moment de la rupture du jeune et s'étalera jusqu'à des heures tardives, conclut-on. Le climat est peu clément, en ce début du mois d'août, ce qui augure d'un Ramadhan difficile d'autant plus que comme chaque année, les prix des fruits et légumes ont connu des augmentations subites dès la première journée du mois de la "rahma". Le dernier jour avant le début de Ramadhan, en revanche, la ville des Genêts a été prise d'assaut par les citoyens, particulièrement par les femmes, qui se sont rués sur les magasins d'alimentation générale. En effet, dimanche dernier, la ville de Tizi-Ouzou était noire de monde. D'aucuns auraient comparé cette journée au premier jour de la rentrée scolaire. Les interminables bouchons de voitures ont fait leur réapparition et pour faire un quelconque achat dans n'importe quelle superette ou autre épicerie, la queue était impérative. La majorité des citoyens se déplaçaient en ville avec pas moins de quatre sachets dans les mains. L'augmentation des prix des produits alimentaires ne rebutent point les acheteurs bien qu'ils ne cessent de maugréer et de déplorer ces hausses. Mais peut-on vraiment changer les lois du marché qui disent qu'à chaque fois qu'il y a augmentation de la demande, les prix s'envolent systématiquement ? Les prix de pratiquement tous les produits alimentaires se sont envolés dès le premier jour du mois de carême. La pomme de terre qui se vendait à moins de trente dinars est passée subitement à 55 dinars. Le même constat concerne tous les légumes très prisée pendant le Ramadhan comme la carotte, la courgette, la salade verte, la tomate, etc. qui ont connu des hausse de pas moins de 20 dinars. Aucun produit n'a échappé à la folie de la mercuriale. Même le prix d'un kilogramme de poulet frais est passé à 320 dinars. C'est dire que les responsables des familles devraient se plier en quatre pour gérer ces trente jours où vivre devient synonyme de manger. Par ailleurs, et afin de parer à tout dépassement et pour lutter contre les vols et autres actions de banditisme qui risque de survenir particulièrement durant les soirées, les services de la sûreté de wilaya de Tizi-Ouzou se sont mobilisés pour la circonstance. Ainsi, selon le responsable de la cellule de la communication de la sûreté de wilaya, un dispositif sécuritaire spécial est mis en œuvre depuis lundi dernier à l'occasion du mois sacré de Ramadhan. L'objectif consiste bien évidemment à assurer la quiétude et la sécurité des personnes et des biens. « La sûreté de wilaya de Tizi-Ouzou a élaboré un plan spécial d'action et mis tous les moyens humains et matériels en œuvre afin d'occuper le terrain de manière efficace et consolider, d'autre part, le dispositif déjà mis en place », souligne notre source. Cette dernière précise en outre que ce plan sera matérialisé par la multiplication des patrouilles motorisées et pédestres, la sécurisation des lieux des manifestations culturelles organisées durant les veillées, le renforcement de la présence des forces de police dans les bureaux de poste, banques et stations de transport de voyageurs, la sécurisation des abords des mosquées et les contrôles inopinés. Le dispositif sera maintenu au moment de la rupture du jeune et s'étalera jusqu'à des heures tardives, conclut-on.