Les boulangers ne perdent pas espoir de voir les pouvoirs publics souscrire, enfin, à leurs principales revendications. Des revendications qui portent, notamment, sur les subventions et le règlement définitif du problème relatif au lourd dossier des coupures d'électivité. Pour faire avancer les choses, l'Union nationale des boulangers compte saisir l'opportunité de sa prochaine rencontre avec le ministre du Commerce pour mettre sur la table des discussions toutes les revendications des boulangers. «Notre rencontre avec le ministre devrait, normalement, avoir lieu la semaine prochaine, à partir de dimanche», nous a, en effet, indiqué Youcef Khalafat, président de l'Union nationale des boulangers ajoutant, toutefois, que «nous n'avons pour l'heure reçu aucune invitation officielle». Notre interlocuteur, joint hier, a estimé que «cette rencontre devrait permettre de clarifier beaucoup de choses s'agissant, notamment, des préoccupations des boulangers». Il est, donc, certain que les boulangers auront, lors de cette rencontre, l'occasion d'en savoir plus sur la question des groupes électrogènes. Il y'a quelques semaines, le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a déclaré que les pouvoirs publics vont accorder des aides aux boulangers afin de leur permettre de s'équiper en groupes électrogènes. Le ministre du Commerce a précisé que des crédits à des taux bonifiés leur seront, à cet effet, accordés. Cette mesure annoncée par le ministre se voulait une réponse aux revendications des boulangers qui voulaient trouver des solutions urgentes pour résoudre des pannes électriques qui perturbaient énormément l'exercice de cette activité, notamment durant la période estivale. «Une coupure d'électricité de 45 minutes peut engendrer une perte de 7.500 DA. Ces pertes n'ont jamais été remboursées par Sonelgaz», n'a cessé de dire Youcef Khalafat durant ces dernières années. C'est dire que les coupures et les pannes d'électricité sont un véritable cauchemar pour les milliers de boulangers qui appréhendent énormément la période estivale car, c'est durant cette période, que les coupures et les pannes deviennent fréquentes. «Les boulangers sont souvent obligés de jeter le pain qui est dans le four ou le pétrin et même parfois la pâte en fermentation», précise Youcef Khalafat. C'est un grand désagrément pour les boulangers et ce, d'autant que Sonelgaz ne rembourse pas les pertes que subissent les boulangers. Une situation qui a poussé nombre d'entre eux à mettre la clé sous le paillasson. Selon certains chiffres, les boulangers étaient au nombre de 17.000 en l'an 2000, alors qu'ils ne sont, plus que 14.000 en 2010. Les boulangers souhaiteraient aussi avoir le soutien des pouvoirs publics à travers des subventions et ce, afin d'augmenter leurs marges bénéficiaires. «Nous n'avons pas dit qu'il faut augmenter le prix de la baguette du pain, mais nous soutenons avec force la nécessité de nous accorder des subventions de 20%, par exemple, afin de pouvoir faire face à la flambée des prix des matières premières», dira Khalafat. Il est à préciser que les boulangers ont, à maintes reprises, brandi la menace de grève et ce, pour faire pression sur le gouvernement. Les boulangers ne perdent pas espoir de voir les pouvoirs publics souscrire, enfin, à leurs principales revendications. Des revendications qui portent, notamment, sur les subventions et le règlement définitif du problème relatif au lourd dossier des coupures d'électivité. Pour faire avancer les choses, l'Union nationale des boulangers compte saisir l'opportunité de sa prochaine rencontre avec le ministre du Commerce pour mettre sur la table des discussions toutes les revendications des boulangers. «Notre rencontre avec le ministre devrait, normalement, avoir lieu la semaine prochaine, à partir de dimanche», nous a, en effet, indiqué Youcef Khalafat, président de l'Union nationale des boulangers ajoutant, toutefois, que «nous n'avons pour l'heure reçu aucune invitation officielle». Notre interlocuteur, joint hier, a estimé que «cette rencontre devrait permettre de clarifier beaucoup de choses s'agissant, notamment, des préoccupations des boulangers». Il est, donc, certain que les boulangers auront, lors de cette rencontre, l'occasion d'en savoir plus sur la question des groupes électrogènes. Il y'a quelques semaines, le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a déclaré que les pouvoirs publics vont accorder des aides aux boulangers afin de leur permettre de s'équiper en groupes électrogènes. Le ministre du Commerce a précisé que des crédits à des taux bonifiés leur seront, à cet effet, accordés. Cette mesure annoncée par le ministre se voulait une réponse aux revendications des boulangers qui voulaient trouver des solutions urgentes pour résoudre des pannes électriques qui perturbaient énormément l'exercice de cette activité, notamment durant la période estivale. «Une coupure d'électricité de 45 minutes peut engendrer une perte de 7.500 DA. Ces pertes n'ont jamais été remboursées par Sonelgaz», n'a cessé de dire Youcef Khalafat durant ces dernières années. C'est dire que les coupures et les pannes d'électricité sont un véritable cauchemar pour les milliers de boulangers qui appréhendent énormément la période estivale car, c'est durant cette période, que les coupures et les pannes deviennent fréquentes. «Les boulangers sont souvent obligés de jeter le pain qui est dans le four ou le pétrin et même parfois la pâte en fermentation», précise Youcef Khalafat. C'est un grand désagrément pour les boulangers et ce, d'autant que Sonelgaz ne rembourse pas les pertes que subissent les boulangers. Une situation qui a poussé nombre d'entre eux à mettre la clé sous le paillasson. Selon certains chiffres, les boulangers étaient au nombre de 17.000 en l'an 2000, alors qu'ils ne sont, plus que 14.000 en 2010. Les boulangers souhaiteraient aussi avoir le soutien des pouvoirs publics à travers des subventions et ce, afin d'augmenter leurs marges bénéficiaires. «Nous n'avons pas dit qu'il faut augmenter le prix de la baguette du pain, mais nous soutenons avec force la nécessité de nous accorder des subventions de 20%, par exemple, afin de pouvoir faire face à la flambée des prix des matières premières», dira Khalafat. Il est à préciser que les boulangers ont, à maintes reprises, brandi la menace de grève et ce, pour faire pression sur le gouvernement.