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L'embellie financière à l'épreuve de la dette US
Sous la Plume
Publié dans Le Midi Libre le 09 - 08 - 2011

Que faire pour se prémunir des effets négatifs et des retombées néfastes de la crise de la dette américaine sur l'économie algérienne ?
Les experts internationaux, y compris les responsables politiques chinois, estiment que les citoyens américains doivent cesser de vivre au dessus de leurs moyens et arrêter, par conséquent, de faire des achats à crédit.
En effet, les analystes et observateurs guettent une nouvelle crise immobilière aiguë et préjudiciable pour l'économie et les consommateurs américains.
Mais, pour le cas de l'Algérie, certains financiers estiment que les avoirs algériens placés dans les banques des Etats-Unis d'Amérique doivent être protégés et préservés contre toute tentation, à la suite de la crise financière et d'endettement sans précédent dans l'histoire de ce pays considérée comme une superpuissance économique, industrielle et financière.
L'argent thésaurisé aux USA, en principe, est protégé par le droit international et la loi américaine, mais avec l'éventuelle dépréciation du dollar, il est recommandé de trouver une solution équitable et opportune pour une utilisation rationnelle et saine de ces finances.
Jusqu'à preuve du contraire, l'économie algérienne se trouve dans une situation, certes stable, suivant la doctrine des analystes financiers, néanmoins, l'embellie financière, qui a atteint un niveau de changes jamais égalé par le pays depuis l'Indépendance, devra être fructifiée et injectée dans des projets structurants de grande envergure, créateurs de richesses et d'emplois et générateurs de développement durable pour toutes les régions du pays, y compris les zones désertiques.
Toutefois, les répercussions de la crise de la dette américaine, qui a défrayé la chronique en provoquant un tollé au Sénat, ont des ramifications en Europe et en Asie. L'Algérie ne ressent pas, à court terme, les contrecoups de cette crise financière US, selon la vision de certains experts qui avaient déjà prédit l'effet faible de la crise financière mondiale de 2008 sur l'économie interne de l'Algérie.
Que faire pour se prémunir des effets négatifs et des retombées néfastes de la crise de la dette américaine sur l'économie algérienne ?
Les experts internationaux, y compris les responsables politiques chinois, estiment que les citoyens américains doivent cesser de vivre au dessus de leurs moyens et arrêter, par conséquent, de faire des achats à crédit.
En effet, les analystes et observateurs guettent une nouvelle crise immobilière aiguë et préjudiciable pour l'économie et les consommateurs américains.
Mais, pour le cas de l'Algérie, certains financiers estiment que les avoirs algériens placés dans les banques des Etats-Unis d'Amérique doivent être protégés et préservés contre toute tentation, à la suite de la crise financière et d'endettement sans précédent dans l'histoire de ce pays considérée comme une superpuissance économique, industrielle et financière.
L'argent thésaurisé aux USA, en principe, est protégé par le droit international et la loi américaine, mais avec l'éventuelle dépréciation du dollar, il est recommandé de trouver une solution équitable et opportune pour une utilisation rationnelle et saine de ces finances.
Jusqu'à preuve du contraire, l'économie algérienne se trouve dans une situation, certes stable, suivant la doctrine des analystes financiers, néanmoins, l'embellie financière, qui a atteint un niveau de changes jamais égalé par le pays depuis l'Indépendance, devra être fructifiée et injectée dans des projets structurants de grande envergure, créateurs de richesses et d'emplois et générateurs de développement durable pour toutes les régions du pays, y compris les zones désertiques.
Toutefois, les répercussions de la crise de la dette américaine, qui a défrayé la chronique en provoquant un tollé au Sénat, ont des ramifications en Europe et en Asie. L'Algérie ne ressent pas, à court terme, les contrecoups de cette crise financière US, selon la vision de certains experts qui avaient déjà prédit l'effet faible de la crise financière mondiale de 2008 sur l'économie interne de l'Algérie.


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