Le dispositif d'alerte rapide aux tsunamis dans l'Atlantique du Nord-Est, la Méditerranée et les mers adjacentes, a subi avec succès son premier test, mercredi, a indiqué l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco). Le dispositif d'alerte rapide aux tsunamis dans l'Atlantique du Nord-Est, la Méditerranée et les mers adjacentes, a subi avec succès son premier test, mercredi, a indiqué l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco). Les points focaux d'alerte aux tsunamis des 31 pays participants de la région ont reçu un message de test à 10h36 GMT envoyé depuis l'Observatoire et Institut de recherche sismique Kandilli d'Istanbul par courrier électronique et par télécopie ainsi que par le Système mondial de télécommunications (SMT) qui collecte et diffuse des données météorologiques. «Les premiers résultats montrent que les messages ont été bien reçus quelques minutes à peine après leur envoi», selon l'Unesco qui annonce qu'un exercice d'alerte de plus grande ampleur, basé sur le scénario d'un tsunami dans la région et impliquant également les médias, sera effectué dans le courant de l'année 2012. Bien qu'ils soient historiquement moins fréquents que dans l'océan Pacifique, des tsunamis liés à une activité sismique dans la région de la Méditerranée et de l'Atlantique du Nord-Est ont déjà été observés. En 1755, Lisbonne a été détruite par un important tsunami provoqué par un fort tremblement de terre au niveau de la faille Açores-Gibraltar. En 1908, un séisme sous-marin suivi d'un tsunami a emporté les vies de 100 000 personnes en Sicile et en Calabre (Italie). Plus récemment, des tsunamis de plus faible ampleur ont, également, été recensés notamment lors du séisme de 2003 en Algérie. Le système d'alerte rapide aux tsunamis dans l'Atlantique du Nord-Est et la Méditerranée est l'un des quatre systèmes d'alerte aux tsunamis qui sont coordonnés par la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l'Unesco. Des systèmes similaires existent dans les océans Pacifique, Indien et dans les Caraïbes. Les points focaux d'alerte aux tsunamis des 31 pays participants de la région ont reçu un message de test à 10h36 GMT envoyé depuis l'Observatoire et Institut de recherche sismique Kandilli d'Istanbul par courrier électronique et par télécopie ainsi que par le Système mondial de télécommunications (SMT) qui collecte et diffuse des données météorologiques. «Les premiers résultats montrent que les messages ont été bien reçus quelques minutes à peine après leur envoi», selon l'Unesco qui annonce qu'un exercice d'alerte de plus grande ampleur, basé sur le scénario d'un tsunami dans la région et impliquant également les médias, sera effectué dans le courant de l'année 2012. Bien qu'ils soient historiquement moins fréquents que dans l'océan Pacifique, des tsunamis liés à une activité sismique dans la région de la Méditerranée et de l'Atlantique du Nord-Est ont déjà été observés. En 1755, Lisbonne a été détruite par un important tsunami provoqué par un fort tremblement de terre au niveau de la faille Açores-Gibraltar. En 1908, un séisme sous-marin suivi d'un tsunami a emporté les vies de 100 000 personnes en Sicile et en Calabre (Italie). Plus récemment, des tsunamis de plus faible ampleur ont, également, été recensés notamment lors du séisme de 2003 en Algérie. Le système d'alerte rapide aux tsunamis dans l'Atlantique du Nord-Est et la Méditerranée est l'un des quatre systèmes d'alerte aux tsunamis qui sont coordonnés par la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l'Unesco. Des systèmes similaires existent dans les océans Pacifique, Indien et dans les Caraïbes.