Les prix du pétrole se ressaisissaient hier en cours d'échanges européens, mais la prudence restait de mise avant les chiffres hebdomadaires des stocks américains, dans un marché où les craintes sur un ralentissement de la croissance économique mondiale peinaient à se dissiper. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre, dont c'était le premier jour comme contrat de référence, s'échangeait à 110,27 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,14 dollar par rapport à la clôture de mardi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en septembre progressait de 97 cents, à 87,62 dollars. L'annonce d'un coup de frein brutal de la croissance allemande, tombée à 0,1% au deuxième trimestre, avait notamment exacerbé les inquiétudes des opérateurs sur la résistance économique de la zone euro. Si la prudence restait donc de mise parmi les opérateur, les prix du baril étaient néanmoins soutenus mercredi par les estimations hebdomadaires de la fédération professionnelle américaine API. Cette dernière a annoncé mardi soir une hausse de 1,7 million de barils des stocks de brut aux Etats-Unis, mais également une chute de 5,37 millions de barils des stocks d'essence sur la semaine achevée le 12 août. Dans ce contexte, les investisseurs surveilleront les chiffres officiels du Département américain de l'Energie (DoE) attendus mercredi. Selon les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswires, le DoE devrait faire état d'un recul de 600.000 barils des réserves de brut la semaine dernière, d'une chute de 1,2 million de barils des stocks d'essence, et d'une hausse de 500.000 barils des stocks de produits distillés (dont le gazole et le fioul de chauffage). Les prix du pétrole se ressaisissaient hier en cours d'échanges européens, mais la prudence restait de mise avant les chiffres hebdomadaires des stocks américains, dans un marché où les craintes sur un ralentissement de la croissance économique mondiale peinaient à se dissiper. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre, dont c'était le premier jour comme contrat de référence, s'échangeait à 110,27 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,14 dollar par rapport à la clôture de mardi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en septembre progressait de 97 cents, à 87,62 dollars. L'annonce d'un coup de frein brutal de la croissance allemande, tombée à 0,1% au deuxième trimestre, avait notamment exacerbé les inquiétudes des opérateurs sur la résistance économique de la zone euro. Si la prudence restait donc de mise parmi les opérateur, les prix du baril étaient néanmoins soutenus mercredi par les estimations hebdomadaires de la fédération professionnelle américaine API. Cette dernière a annoncé mardi soir une hausse de 1,7 million de barils des stocks de brut aux Etats-Unis, mais également une chute de 5,37 millions de barils des stocks d'essence sur la semaine achevée le 12 août. Dans ce contexte, les investisseurs surveilleront les chiffres officiels du Département américain de l'Energie (DoE) attendus mercredi. Selon les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswires, le DoE devrait faire état d'un recul de 600.000 barils des réserves de brut la semaine dernière, d'une chute de 1,2 million de barils des stocks d'essence, et d'une hausse de 500.000 barils des stocks de produits distillés (dont le gazole et le fioul de chauffage).