Depuis le début du mois de Ramadhan, l'artère emblématique de la ville d'Aïn Beïda, dans la wilaya d'Oum El Bouaghi, le «boulevard des jeûneurs» a pris, comme son nom l'indique, une importance toute particulière, non seulement pour les habitants de la ville mais également pour ceux qui y affluent de toutes les régions voisines.Selon l'APS, sa situation centrale au coeur de la ville, son passé chargé d'histoire et ses commerces aussi variés que bien achalandés, en font, en effet, la rue la plus fréquentée, la plus appréciée de toute la ville et la plus célèbre dans les zones avoisinantes. Depuis le début du mois de Ramadhan, l'artère emblématique de la ville d'Aïn Beïda, dans la wilaya d'Oum El Bouaghi, le «boulevard des jeûneurs» a pris, comme son nom l'indique, une importance toute particulière, non seulement pour les habitants de la ville mais également pour ceux qui y affluent de toutes les régions voisines.Selon l'APS, sa situation centrale au coeur de la ville, son passé chargé d'histoire et ses commerces aussi variés que bien achalandés, en font, en effet, la rue la plus fréquentée, la plus appréciée de toute la ville et la plus célèbre dans les zones avoisinantes. Cette artère qui traverse la ville du Sud, à proximité du stade Hamdi-Ali, au nord, tout en se ramifiant en cours de route, demeure liée dans la mémoire collective des habitants d'Aïn Beïda, aux mosquées, hôtels , cafés, salles de cinéma et toutes les structures de renom qui ont fait la réputation de cette ville depuis le début du siècle dernier. Le nom de cette rue prend toute sa signification durant le mois sacré de Ramadhan car elle devient le principal point de convergence des jeûneurs pris de «fièvre dépensière». L'effet du jeûne provoquent parfois chez de nombreux passants (souvent pour un rien) des sautes d'humeur, rarement des frictions, cataloguées au registre de «l'ambiance du Ramadhan». L'on y vient de tous les recoins de la ville mais, également, d'aussi loin que les wilayas de Souk Ahras, de Khenchela ou de Tébessa car on est sûr d'y trouver tous les produits demandés durant ce mois si spécial et, le cas échéant, prendre un bain de foule en humant les délicieuses senteurs qui se dégagent et s'en retourner chez soi le coeur léger et l'esprit au fait de tout ce qui se passe dans la région, souligne l'APS. L'affluence sur cette rue durant le mois de Ramadhan est telle qu'elle est à chaque fois fermée à circulation automobile pour être transformée en artère piétonne pour permettre à la foule compacte qui y défile chaque jour de se frayer un passage sans trop de bousculades. La pâtisserie orientale et toutes sortes de friandise qui font saliver les jeûneurs se déclinent ici sous toutes leurs variétés, notamment la zlabia d'Aïn Beïda dont la réputation a largement dépassé les frontières de la ville et qui demeure très demandée. Ces jours-ci, avec l'approche de l'Aïd, les acheteurs changent de cap et se tournent davantage vers l'achat des ingrédients pour gâteaux et des vêtements pour enfants, le «boulevard des jeûneurs» ne désemplit pas pour autant. Tous les magasins de cette rue et des venelles qui en sont toutes proches, offrent tout ce qu'il faut comme vêtements, pour enfants, femmes et hommes, mais aussi des articles de maison, de la vaisselle... Le soir, quand vient le moment de la rupture du jeûne et des prières, ce sont également les mosquées de cette rue qui ont la préférence des jeûneurs. Cela fait que cette artère est toujours grouillante de monde, de jour comme de nuit. En plus de ses mosquées très fréquentées, c'est dans les cafés de cette rue que jeunes et moins jeunes, issus des grandes et vieilles familles de la ville, aiment bien se rencontrer, et c'est souvent au «boulevard des jeûneurs» que se règlent des conflits, se scellent des alliances et se concluent des affaires. Cette artère qui traverse la ville du Sud, à proximité du stade Hamdi-Ali, au nord, tout en se ramifiant en cours de route, demeure liée dans la mémoire collective des habitants d'Aïn Beïda, aux mosquées, hôtels , cafés, salles de cinéma et toutes les structures de renom qui ont fait la réputation de cette ville depuis le début du siècle dernier. Le nom de cette rue prend toute sa signification durant le mois sacré de Ramadhan car elle devient le principal point de convergence des jeûneurs pris de «fièvre dépensière». L'effet du jeûne provoquent parfois chez de nombreux passants (souvent pour un rien) des sautes d'humeur, rarement des frictions, cataloguées au registre de «l'ambiance du Ramadhan». L'on y vient de tous les recoins de la ville mais, également, d'aussi loin que les wilayas de Souk Ahras, de Khenchela ou de Tébessa car on est sûr d'y trouver tous les produits demandés durant ce mois si spécial et, le cas échéant, prendre un bain de foule en humant les délicieuses senteurs qui se dégagent et s'en retourner chez soi le coeur léger et l'esprit au fait de tout ce qui se passe dans la région, souligne l'APS. L'affluence sur cette rue durant le mois de Ramadhan est telle qu'elle est à chaque fois fermée à circulation automobile pour être transformée en artère piétonne pour permettre à la foule compacte qui y défile chaque jour de se frayer un passage sans trop de bousculades. La pâtisserie orientale et toutes sortes de friandise qui font saliver les jeûneurs se déclinent ici sous toutes leurs variétés, notamment la zlabia d'Aïn Beïda dont la réputation a largement dépassé les frontières de la ville et qui demeure très demandée. Ces jours-ci, avec l'approche de l'Aïd, les acheteurs changent de cap et se tournent davantage vers l'achat des ingrédients pour gâteaux et des vêtements pour enfants, le «boulevard des jeûneurs» ne désemplit pas pour autant. Tous les magasins de cette rue et des venelles qui en sont toutes proches, offrent tout ce qu'il faut comme vêtements, pour enfants, femmes et hommes, mais aussi des articles de maison, de la vaisselle... Le soir, quand vient le moment de la rupture du jeûne et des prières, ce sont également les mosquées de cette rue qui ont la préférence des jeûneurs. Cela fait que cette artère est toujours grouillante de monde, de jour comme de nuit. En plus de ses mosquées très fréquentées, c'est dans les cafés de cette rue que jeunes et moins jeunes, issus des grandes et vieilles familles de la ville, aiment bien se rencontrer, et c'est souvent au «boulevard des jeûneurs» que se règlent des conflits, se scellent des alliances et se concluent des affaires.