Le cinéma algérien a besoin de "vrais scénaristes", a souligné cette semaine à Alger le réalisateur Djaâfar Gacem. Invité au forum du quotidien El Moudjahid, Djaâfar Gacem a indiqué que le cinéma algérien souffre d'un manque flagrant de scénaristes, relevant l'amalgame qui existe entre les dialoguistes et les scénaristes dans différentes productions cinématographiques. Réalisateur de la série Nas mlah city et Djemai family, Djaâfar Gacem a estimé qu'il contribuait pour 50 % à l'écriture des scénarios de ses films, eu égard aux lacunes contenues dans les scénarios qui lui sont proposés. S'agissant de la série Djemai family, le réalisateur a reconnu qu'elle n'avait pas rencontré le succès escompté par rapport aux deux première parties, selon les premiers échos recueillis auprès du public. "La troisième partie de Djemai family était plus une série dramatique à caractère comique, comparativement aux deux premières parties qui étaient plus une sitcom, ce qui explique la difficulté de concilier entre ces deux genres", a -t-il expliqué. Il a toutefois estimé que la troisième partie aurait pu avoir plus de succès si elle avait été diffusée au cinéma avant la télévision. Concernant le budget consacré à la production de genre de séries en Algérie, le réalisateur a jugé qu'il était insuffisant comparativement au budget consacré à ce genre de production à l'étranger. Il a par ailleurs souhaité la création d'un "village des artistes" en Algérie en vue de rapprocher entre les professionnels du secteur. S'agissant de ces projets futurs, Djaâafar Gacem a indiqué que Djemai family 3 serait probablement la dernière partie de cette production pour laisser place à un autre sitcom en 2013. Une production de la Télévision est également à l'occasion du double anniversaire de l'Indépendance et de la Jeunesse, a-t-il annoncé. Le cinéma algérien a besoin de "vrais scénaristes", a souligné cette semaine à Alger le réalisateur Djaâfar Gacem. Invité au forum du quotidien El Moudjahid, Djaâfar Gacem a indiqué que le cinéma algérien souffre d'un manque flagrant de scénaristes, relevant l'amalgame qui existe entre les dialoguistes et les scénaristes dans différentes productions cinématographiques. Réalisateur de la série Nas mlah city et Djemai family, Djaâfar Gacem a estimé qu'il contribuait pour 50 % à l'écriture des scénarios de ses films, eu égard aux lacunes contenues dans les scénarios qui lui sont proposés. S'agissant de la série Djemai family, le réalisateur a reconnu qu'elle n'avait pas rencontré le succès escompté par rapport aux deux première parties, selon les premiers échos recueillis auprès du public. "La troisième partie de Djemai family était plus une série dramatique à caractère comique, comparativement aux deux premières parties qui étaient plus une sitcom, ce qui explique la difficulté de concilier entre ces deux genres", a -t-il expliqué. Il a toutefois estimé que la troisième partie aurait pu avoir plus de succès si elle avait été diffusée au cinéma avant la télévision. Concernant le budget consacré à la production de genre de séries en Algérie, le réalisateur a jugé qu'il était insuffisant comparativement au budget consacré à ce genre de production à l'étranger. Il a par ailleurs souhaité la création d'un "village des artistes" en Algérie en vue de rapprocher entre les professionnels du secteur. S'agissant de ces projets futurs, Djaâafar Gacem a indiqué que Djemai family 3 serait probablement la dernière partie de cette production pour laisser place à un autre sitcom en 2013. Une production de la Télévision est également à l'occasion du double anniversaire de l'Indépendance et de la Jeunesse, a-t-il annoncé.