Le général Carter Ham, commandant des forces américaines en Afrique, a expliqué, lors d'une conférence de presse organisée, jeudi au siège de l'ambassade des Etats-Unis d'Amérique à Alger, que l'important consiste à assurer la sécurité de l'Afrique, mais également des autres régions du monde, et ce, en coopération avec les organisations internationales, notamment les institutions relevant des Nations unies. La conférence d'Alger sur le partenariat, la sécurité et le développement regroupe les pays du Sahel, de la région et du reste du monde. La communauté internationale est convaincue qu'il faut faire face au terrorisme pas uniquement dans cette région du Sahel, mais aussi dans les autres régions du monde. Carter Ham a délaré que "je préfère répondre à la question pas sur le plan politique, mais sur plan militaire et sécuritaire c'est le fait que le peuple libyen, s'est exprimé lui-même sur la voie de résolution du conflit. Le commandement de l'Africom est basé en Allemagne c'est plus pratique. Mais il y a eu des discussions et des possibilités de s'établir en Afrique. C'est très coûteux dans ce cas. A l'instar des autres pays du monde, les Etats-Unis d'Amérique traversent une crise et c'est pourquoi les USA prennent ce genre de décisions avec beaucoup de prudence". "Nous voulons créer de nouvelles unités dans les forces américaines et algériennes pour travailler ensemble et augmenter le volume de coopération. Bien que je sois content du niveau de notre coopération jusqu'à présent, il reste encore du chemin à faire. Il y a une prolifération d'armes en Libye et les armes incontrôlées sont de la responsabilité du CNT", a t-il souligné. Il ajoute que "toutes les nations de la région du Sahel sont en train, selon l'esprit et la déclaration de la conférence, de rechercher les moyens pour le CNT de contrôler ces armes. Les responsables des pays de la région, y compris l'Algérie, sont appelés à se concerter et à discuter avec les responsables du CNT pour rechercher les moyens et les voies de sécuriser la région et à contrôler les mouvements armés". Ce responsable indique, également, que des efforts sont nécessaires pour pacifier le continent et le rendre moins perméable aux conflits et au terrorisme. "Il faut une sécurité régionale et des efforts pour la paix et les pays de la région concernés et tous les pays du monde doivent coopérer. L'image de l'Africom qui est véhiculée, aussi bien en Occident que dans le continent africain, lorsque le commandement a été créé, il y a trois années et demie, nous sommes en train de militariser la politique étrangère des Etats-Unis d'Amérique. Nous avons réussi, depuis, le temps à dissiper les inquiétudes et à même prouver qu'elles sont infondées. Nous voulons être de bons partenaires pour les Etats africains", a t-il dit, ajoutant que "notre travail est axé sur deux principes dont le premier consiste avoir une Afrique sécurisée et sans danger». Carter Ham ajoute que «quand je suis rentré, pour la première fois, à la conférence d'Alger (sur la sécurité et le développement dans les pays du Sahel) force est de constater que j'ai été attiré par le taux d'activité de la région, c'est une inquiétude qui est partagée par tout le monde". "Nous voulons répondre aux questions militaires et sécuritaires et prendre en charge les problèmes inhérents à la crise libyenne", estime t-il. Car, selon lui, le peuple libyen doit s'exprimer et se déterminer lui-même. «Il est important de jouer un rôle vital sur le sécuritaire et sur le plan militaire, mais il ne faut pas oublier qu'il y a également la diplomatie et le développement économique de la région.» Le général Carter Ham, commandant des forces américaines en Afrique, a expliqué, lors d'une conférence de presse organisée, jeudi au siège de l'ambassade des Etats-Unis d'Amérique à Alger, que l'important consiste à assurer la sécurité de l'Afrique, mais également des autres régions du monde, et ce, en coopération avec les organisations internationales, notamment les institutions relevant des Nations unies. La conférence d'Alger sur le partenariat, la sécurité et le développement regroupe les pays du Sahel, de la région et du reste du monde. La communauté internationale est convaincue qu'il faut faire face au terrorisme pas uniquement dans cette région du Sahel, mais aussi dans les autres régions du monde. Carter Ham a délaré que "je préfère répondre à la question pas sur le plan politique, mais sur plan militaire et sécuritaire c'est le fait que le peuple libyen, s'est exprimé lui-même sur la voie de résolution du conflit. Le commandement de l'Africom est basé en Allemagne c'est plus pratique. Mais il y a eu des discussions et des possibilités de s'établir en Afrique. C'est très coûteux dans ce cas. A l'instar des autres pays du monde, les Etats-Unis d'Amérique traversent une crise et c'est pourquoi les USA prennent ce genre de décisions avec beaucoup de prudence". "Nous voulons créer de nouvelles unités dans les forces américaines et algériennes pour travailler ensemble et augmenter le volume de coopération. Bien que je sois content du niveau de notre coopération jusqu'à présent, il reste encore du chemin à faire. Il y a une prolifération d'armes en Libye et les armes incontrôlées sont de la responsabilité du CNT", a t-il souligné. Il ajoute que "toutes les nations de la région du Sahel sont en train, selon l'esprit et la déclaration de la conférence, de rechercher les moyens pour le CNT de contrôler ces armes. Les responsables des pays de la région, y compris l'Algérie, sont appelés à se concerter et à discuter avec les responsables du CNT pour rechercher les moyens et les voies de sécuriser la région et à contrôler les mouvements armés". Ce responsable indique, également, que des efforts sont nécessaires pour pacifier le continent et le rendre moins perméable aux conflits et au terrorisme. "Il faut une sécurité régionale et des efforts pour la paix et les pays de la région concernés et tous les pays du monde doivent coopérer. L'image de l'Africom qui est véhiculée, aussi bien en Occident que dans le continent africain, lorsque le commandement a été créé, il y a trois années et demie, nous sommes en train de militariser la politique étrangère des Etats-Unis d'Amérique. Nous avons réussi, depuis, le temps à dissiper les inquiétudes et à même prouver qu'elles sont infondées. Nous voulons être de bons partenaires pour les Etats africains", a t-il dit, ajoutant que "notre travail est axé sur deux principes dont le premier consiste avoir une Afrique sécurisée et sans danger». Carter Ham ajoute que «quand je suis rentré, pour la première fois, à la conférence d'Alger (sur la sécurité et le développement dans les pays du Sahel) force est de constater que j'ai été attiré par le taux d'activité de la région, c'est une inquiétude qui est partagée par tout le monde". "Nous voulons répondre aux questions militaires et sécuritaires et prendre en charge les problèmes inhérents à la crise libyenne", estime t-il. Car, selon lui, le peuple libyen doit s'exprimer et se déterminer lui-même. «Il est important de jouer un rôle vital sur le sécuritaire et sur le plan militaire, mais il ne faut pas oublier qu'il y a également la diplomatie et le développement économique de la région.»