La rentrée sociale risque d'être perturbée non seulement dans le secteur de l'éducation nationale, où les syndicats menacent de déclencher des mouvements de protestations, mais aussi dans d'autres secteurs, à l'exemple de celui des collectivités locales. La rentrée sociale risque d'être perturbée non seulement dans le secteur de l'éducation nationale, où les syndicats menacent de déclencher des mouvements de protestations, mais aussi dans d'autres secteurs, à l'exemple de celui des collectivités locales. A ce propos, le Conseil national du secteur des communes (CNSC) vient d'annoncer qu'il compte initier un mouvement de débrayage de huit (08) jours à partir de lundi 19 jusuq'au lundi 26 septembre. Cette décision a été prise, selon le communiqué rendu public, hier, par cette instance affiliée au Syndicat national des personnels de l'administration publique (Snapap), à l'issue de la réunion tenue avant-hier, au siège de la Miason des syndicats à Alger. Le CNSC annonce, en outre, qu'un rassemblement des délégués syndicaux aura lieu à Alger le dernier jour de la grève, soit le lundi 26 septembre. Le recours à cette action de protestation s'explique, selon le CNSC, par la non-satisfaction des revendications des travailleurs des communes. Des revendications récurrentes pour lesquelles, d'ailleurs, le CNSC a déjà initié ses mouvements de grève. Ainsi, selon le communiqué rendu public, hier ,et qui a été signé par le président du CNSC, Ali Yahia, la principale revendication demeure incontestablement l'élaboration du statut particulier et le régime indemnitaire. «Les pouvoirs publics maintiennent le silence à propos de ce revendications légitimes», relève ce communiqué avant de rappeler que toutes les promesses du ministre de l'Intérieur pour prendre en charge les doléances des travailleurs et l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles n'ont pas été tenues. Il est aussi reproché aux pouvoirs publics de restreindre les libertés syndicales, leurs droits d'adhésion aux syndicats autonomes ainsi que les pressions exercées à l'encontre des syndicalistes qui font face à des licenciements abusifs et arbitraires. Le CNSC considère aussi que le pouvoir d'achat des travailleurs s'est nettement détérioré. Par conséquent, relève encore le communiqué, la grève devient inévitable puisque c'est le seul recours pour satisfaire les revendications des 500 000 travailleurs des communes. Le CNSC revendique, ainsi, le respect des libertés syndicales et le droit de grève, la réintégration de tous les syndicalistes licenciés dans leurs postes de travail, l'amélioration du pouvoir d'achat des travailleurs. Le CNSC met en avant aussi la nécessité de l'ouverture d'un dialogue sérieux tant au niveau central que local et l'association du syndicat à l'élaboration du statut particulier, du régime indemnitaire ainsi que toutes les lois relatives aux travailleurs. Ce chapelet de doléances ne s'arrête pas à ce stade puisque le Snapap revendique aussi la révision des lois relatives aux corps communs, aux travailleurs professionnels, aux chauffeurs et aux gardiens. Comme il est revendiqué l'abrogation de l'article 87 bis de la loi 90 /11 et le maintien du régime de la retraite sans condition d'âge. Notons que ce n'est pas la première fois que le CNSC initie des mouvements de grève. A ce propos, le Conseil national du secteur des communes (CNSC) vient d'annoncer qu'il compte initier un mouvement de débrayage de huit (08) jours à partir de lundi 19 jusuq'au lundi 26 septembre. Cette décision a été prise, selon le communiqué rendu public, hier, par cette instance affiliée au Syndicat national des personnels de l'administration publique (Snapap), à l'issue de la réunion tenue avant-hier, au siège de la Miason des syndicats à Alger. Le CNSC annonce, en outre, qu'un rassemblement des délégués syndicaux aura lieu à Alger le dernier jour de la grève, soit le lundi 26 septembre. Le recours à cette action de protestation s'explique, selon le CNSC, par la non-satisfaction des revendications des travailleurs des communes. Des revendications récurrentes pour lesquelles, d'ailleurs, le CNSC a déjà initié ses mouvements de grève. Ainsi, selon le communiqué rendu public, hier ,et qui a été signé par le président du CNSC, Ali Yahia, la principale revendication demeure incontestablement l'élaboration du statut particulier et le régime indemnitaire. «Les pouvoirs publics maintiennent le silence à propos de ce revendications légitimes», relève ce communiqué avant de rappeler que toutes les promesses du ministre de l'Intérieur pour prendre en charge les doléances des travailleurs et l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles n'ont pas été tenues. Il est aussi reproché aux pouvoirs publics de restreindre les libertés syndicales, leurs droits d'adhésion aux syndicats autonomes ainsi que les pressions exercées à l'encontre des syndicalistes qui font face à des licenciements abusifs et arbitraires. Le CNSC considère aussi que le pouvoir d'achat des travailleurs s'est nettement détérioré. Par conséquent, relève encore le communiqué, la grève devient inévitable puisque c'est le seul recours pour satisfaire les revendications des 500 000 travailleurs des communes. Le CNSC revendique, ainsi, le respect des libertés syndicales et le droit de grève, la réintégration de tous les syndicalistes licenciés dans leurs postes de travail, l'amélioration du pouvoir d'achat des travailleurs. Le CNSC met en avant aussi la nécessité de l'ouverture d'un dialogue sérieux tant au niveau central que local et l'association du syndicat à l'élaboration du statut particulier, du régime indemnitaire ainsi que toutes les lois relatives aux travailleurs. Ce chapelet de doléances ne s'arrête pas à ce stade puisque le Snapap revendique aussi la révision des lois relatives aux corps communs, aux travailleurs professionnels, aux chauffeurs et aux gardiens. Comme il est revendiqué l'abrogation de l'article 87 bis de la loi 90 /11 et le maintien du régime de la retraite sans condition d'âge. Notons que ce n'est pas la première fois que le CNSC initie des mouvements de grève.