Les prix du pétrole évoluaient sans direction mardi en fin d'échanges européens, grimpant à New York mais toujours en repli à Londres, tiraillés entre un vif rebond des Bourses, la perspective d'une nouvelle chute des stocks américains et les craintes persistantes sur la demande. Le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en octobre s'échangeait à 111,95 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, se repliant de 70 cents par rapport à la clôture de lundi. Sur le New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance gagnait 91 cents, à 89,10 dollars. Le WTI échangé à New York profitait par ailleurs de la perspective d'une nouvelle chute des stocks de brut aux Etats-Unis, "alors que la tempête tropicale Lee a entraîné (la semaine dernière) une interruption de la production d'hydrocarbures dans le golfe du Mexique", expliquait un analyste. En revanche, le brent coté à Londres, échouait à rebondir et se maintenait dans le rouge. Malgré le répit observé, mardi, sur les marchés boursiers, "il est probable que la détérioration de la situation en Grèce", qui fait redouter aux investisseurs un défaut de paiement du pays, "devrait vite plomber à nouveau le moral des investisseurs", reconnaissait un analyste. «Le prix du brent s'est enfoncé après la révision en baisse des prévisions de demande de l'Agence internationale de l'Energie (AIE)", observaient les analystes. Après l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), lundi, l'AIE a abaissé sensiblement ses prévisions de demande mondiale de pétrole pour 2011 et 2012, de 0,2 et 0,4 million de barils par jour (mbj) respectivement. Les prix du pétrole évoluaient sans direction mardi en fin d'échanges européens, grimpant à New York mais toujours en repli à Londres, tiraillés entre un vif rebond des Bourses, la perspective d'une nouvelle chute des stocks américains et les craintes persistantes sur la demande. Le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en octobre s'échangeait à 111,95 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, se repliant de 70 cents par rapport à la clôture de lundi. Sur le New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance gagnait 91 cents, à 89,10 dollars. Le WTI échangé à New York profitait par ailleurs de la perspective d'une nouvelle chute des stocks de brut aux Etats-Unis, "alors que la tempête tropicale Lee a entraîné (la semaine dernière) une interruption de la production d'hydrocarbures dans le golfe du Mexique", expliquait un analyste. En revanche, le brent coté à Londres, échouait à rebondir et se maintenait dans le rouge. Malgré le répit observé, mardi, sur les marchés boursiers, "il est probable que la détérioration de la situation en Grèce", qui fait redouter aux investisseurs un défaut de paiement du pays, "devrait vite plomber à nouveau le moral des investisseurs", reconnaissait un analyste. «Le prix du brent s'est enfoncé après la révision en baisse des prévisions de demande de l'Agence internationale de l'Energie (AIE)", observaient les analystes. Après l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), lundi, l'AIE a abaissé sensiblement ses prévisions de demande mondiale de pétrole pour 2011 et 2012, de 0,2 et 0,4 million de barils par jour (mbj) respectivement.