L'L'adhésion à part entière de l'Etat palestinien est un droit légitime. Mahmoud Abbas président de l'autorité palestinienne l'a fait savoir du haut de la tribune de la notable assemblée de l'ONU. Ce fut certainement un grand moment d'émotion quand Mahmoud Abbas a présenté l'enveloppe portant l'emblème palestinien et qui renfermait la demande d'adhésion. Et ce ne sont pas les Palestiniens de Ghaza, de Ramallah ou encore de Tulkarem qui démentiront, eux qui ont suivi avec beaucoup d'intérêt le discours de leur leader qui a eu le cran d'aller jusqu'au au bout malgré les pressions américaines pour l'en dissuader. Un droit de vivre libre sur son territoire est l'aspiration de tous ceux qui sont, depuis 1948, des expatriés. Les Palestiniens sont les seuls à subir les affres de l'occupation israélienne qui dure maintenant depuis soixante-deux ans et le blocus inhumain de la bande de Ghaza. Le président Barak Obama, dans sa pré-campagne présidentielle, avait assuré qu'il y aurait un Etat palestinien ; il avait admis le principe de l'Etat palestinien sur la bases de 1967 ; beaucoup d'espoirs étaient fondés sur ses propos. Mais, en fait, on l'aura bien compris, il ne s'agissait que de calculs pour les échéances électorales. Aujourd'hui, ce même Président a menacé de couper les vivres pour la Palestine. Décevant. Mais à quoi pouvions-nous nous attendre ? Les Etats-Unis et Israël sont comme les deux doigts d'une main. Et ce dernier, qui a accueilli avec froideur le discours de Mahmoud Abbas, l'a jugé incendiaire. Excusez du peu ! Cependant, beaucoup de pays soutiennent l'adhésion de la Palestine à l'ONU, ce qui pourrait faire monter la pression internationale et amener Israël à accepter de négocier sur les bases de 1967. Abbas n'a pas fermé la porte à la négociation mais elle ne peut que reprendre que si Netanyahou stoppe la colonisation de la Cisjordanie, mais là, il n'est pas maître à bord et doit faire face aux colons d'extrême droite, un parti qui a un long passé d'incitation à la discrimination, à la haine et à la violence contre les Palestiniens vivant sous occupation militaire à Jérusalem-Est, la Cisjordanie et la bande de Gaza. L'L'adhésion à part entière de l'Etat palestinien est un droit légitime. Mahmoud Abbas président de l'autorité palestinienne l'a fait savoir du haut de la tribune de la notable assemblée de l'ONU. Ce fut certainement un grand moment d'émotion quand Mahmoud Abbas a présenté l'enveloppe portant l'emblème palestinien et qui renfermait la demande d'adhésion. Et ce ne sont pas les Palestiniens de Ghaza, de Ramallah ou encore de Tulkarem qui démentiront, eux qui ont suivi avec beaucoup d'intérêt le discours de leur leader qui a eu le cran d'aller jusqu'au au bout malgré les pressions américaines pour l'en dissuader. Un droit de vivre libre sur son territoire est l'aspiration de tous ceux qui sont, depuis 1948, des expatriés. Les Palestiniens sont les seuls à subir les affres de l'occupation israélienne qui dure maintenant depuis soixante-deux ans et le blocus inhumain de la bande de Ghaza. Le président Barak Obama, dans sa pré-campagne présidentielle, avait assuré qu'il y aurait un Etat palestinien ; il avait admis le principe de l'Etat palestinien sur la bases de 1967 ; beaucoup d'espoirs étaient fondés sur ses propos. Mais, en fait, on l'aura bien compris, il ne s'agissait que de calculs pour les échéances électorales. Aujourd'hui, ce même Président a menacé de couper les vivres pour la Palestine. Décevant. Mais à quoi pouvions-nous nous attendre ? Les Etats-Unis et Israël sont comme les deux doigts d'une main. Et ce dernier, qui a accueilli avec froideur le discours de Mahmoud Abbas, l'a jugé incendiaire. Excusez du peu ! Cependant, beaucoup de pays soutiennent l'adhésion de la Palestine à l'ONU, ce qui pourrait faire monter la pression internationale et amener Israël à accepter de négocier sur les bases de 1967. Abbas n'a pas fermé la porte à la négociation mais elle ne peut que reprendre que si Netanyahou stoppe la colonisation de la Cisjordanie, mais là, il n'est pas maître à bord et doit faire face aux colons d'extrême droite, un parti qui a un long passé d'incitation à la discrimination, à la haine et à la violence contre les Palestiniens vivant sous occupation militaire à Jérusalem-Est, la Cisjordanie et la bande de Gaza.