«Il n'y a pas de rejet préalable de soumissions pour la 3G. Il y a seulement un certain nombre de documents techniques exigés par rapport aux clauses de cahiers de charge, comme la compétence de pouvoir réaliser cette technologie dans les délais impartis», a déclaré, hier, Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, en marge des travaux de «l'atelier régional de l'Union internationale de télécommunications (UIT) sur la normalisation», organisés par l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT),au Cercle national de l'armée d'Alger en présence de Malcom Johson, président de l'UIT, et de Khedidja Hamouda Ghariani, secrétaire générale de l'Organisation arabe des technologies de l'information et de la communication. C'est ainsi que le ministre a souligné que les soumissionnaires sont placés sur le même pied d'égalité conformément à loi qui fait pas de distinction qu'en termes de compétence et d'offres techniques et financières. Zohra Derdouri, présidente de l'ARPT, a proposé dans son intervention la création d'un centre régional de la normalisation dont le siège sera réalisé à Alger. Le représentant du gouvernement soutient, dit-il, cette proposition de l'ARPT dans le cadre de la convergence numérique et de la réduction de la fracture numérique dont souffrent l'Afrique et le monde arabe. M. Benhamadi a insisté, par ailleurs, sur les enjeux de la sécurité informatique et de la lutte contre la cybercriminalité et la contrefaçon des produits informatiques. C'est pourquoi l'Algérie développe des efforts importants de normalisation pour s'aligner sur les normes et standards internationaux avec comme objectif l'interopérabilité en vue de mettre en place des référentiels de protection des auteurs et des consommateurs «Nous voulons et nous encourageons, ainsi, le développement du marché de contenus informatiques», a-t-il ajouté, mettant en évidence, ainsi, l'entrée sur le marché des technologies et de l'information et de la communication (TIC) la 3G et la création de la télévision terrestre numérique (TNT). Ainsi, des campagnes de sensibilisation et d'explications seront organisées au cours des mois prochains pour vulgariser les enjeux de protection des consommateurs et les auteurs de contenus de la contrefaçon. «L'atelier vise à dispenser durant trois jours (26, 27 et 28 septembre) des conseils concrets et de bonnes pratiques sur la participation des pays en développement à l'élaboration de normes mondiales sur le renforcement de leurs capacités d'adaptation aux normes.» «Les participants examineront, par ailleurs, les travaux de normalisation menés sur de nouvelles technologies de premier plan», a indiqué Mme Zohra Derdouri. C'est pourquoi l'Algérie veut être le promoteur du développement des TIC en termes de normalisation et de lutte contre la contrefaçon en vue de voir l'émergence en Algérie d'un marché de contenus informatiques. «Il n'y a pas de rejet préalable de soumissions pour la 3G. Il y a seulement un certain nombre de documents techniques exigés par rapport aux clauses de cahiers de charge, comme la compétence de pouvoir réaliser cette technologie dans les délais impartis», a déclaré, hier, Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, en marge des travaux de «l'atelier régional de l'Union internationale de télécommunications (UIT) sur la normalisation», organisés par l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT),au Cercle national de l'armée d'Alger en présence de Malcom Johson, président de l'UIT, et de Khedidja Hamouda Ghariani, secrétaire générale de l'Organisation arabe des technologies de l'information et de la communication. C'est ainsi que le ministre a souligné que les soumissionnaires sont placés sur le même pied d'égalité conformément à loi qui fait pas de distinction qu'en termes de compétence et d'offres techniques et financières. Zohra Derdouri, présidente de l'ARPT, a proposé dans son intervention la création d'un centre régional de la normalisation dont le siège sera réalisé à Alger. Le représentant du gouvernement soutient, dit-il, cette proposition de l'ARPT dans le cadre de la convergence numérique et de la réduction de la fracture numérique dont souffrent l'Afrique et le monde arabe. M. Benhamadi a insisté, par ailleurs, sur les enjeux de la sécurité informatique et de la lutte contre la cybercriminalité et la contrefaçon des produits informatiques. C'est pourquoi l'Algérie développe des efforts importants de normalisation pour s'aligner sur les normes et standards internationaux avec comme objectif l'interopérabilité en vue de mettre en place des référentiels de protection des auteurs et des consommateurs «Nous voulons et nous encourageons, ainsi, le développement du marché de contenus informatiques», a-t-il ajouté, mettant en évidence, ainsi, l'entrée sur le marché des technologies et de l'information et de la communication (TIC) la 3G et la création de la télévision terrestre numérique (TNT). Ainsi, des campagnes de sensibilisation et d'explications seront organisées au cours des mois prochains pour vulgariser les enjeux de protection des consommateurs et les auteurs de contenus de la contrefaçon. «L'atelier vise à dispenser durant trois jours (26, 27 et 28 septembre) des conseils concrets et de bonnes pratiques sur la participation des pays en développement à l'élaboration de normes mondiales sur le renforcement de leurs capacités d'adaptation aux normes.» «Les participants examineront, par ailleurs, les travaux de normalisation menés sur de nouvelles technologies de premier plan», a indiqué Mme Zohra Derdouri. C'est pourquoi l'Algérie veut être le promoteur du développement des TIC en termes de normalisation et de lutte contre la contrefaçon en vue de voir l'émergence en Algérie d'un marché de contenus informatiques.