Karim Djoudi a énuméré les différentes mesures consenties par les pouvoirs publics pour la préservation du pouvoir d'achat des citoyens, en plus du relèvement du salaire minimum décidé à l'issue de la tripartite Karim Djoudi a énuméré les différentes mesures consenties par les pouvoirs publics pour la préservation du pouvoir d'achat des citoyens, en plus du relèvement du salaire minimum décidé à l'issue de la tripartite Le ministre des Finances, Karim Djoudi, est revenu sur les résultats de la récente tripartite, en apportant, notamment, les arguments nécessaires sur les questions irrésolues, à savoir la hausse des pensions de retraite, l'abrogation de l'article 87-bis et la baisse de l'impôt sur le revenu global (IRG). Invité par la Chaîne III, le premier argentier du pays a souligné, d'emblée, que l'impact financier induit par la hausse de 3.000 DA du SNMG est de 75 milliards DA par an. Quant à l'abrogation de l'article 87-bis et la hausse des pensions des retraités, le ministre des Finances a expliqué que «des commissions seront installées avant la fin de cette semaine au niveau du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale afin de dégager des mécanismes palliatifs tout en tenant compte des équilibres financiers de l'Etat et des entreprises». Sinon, Karim Djoudi a énuméré les différentes mesures consenties par les pouvoirs publics pour la préservation du pouvoir d'achat des citoyens, en plus du relèvement du salaire minimum décidé à l'issue de la tripartite. Il s'agit du soutien aux prix des produits destinés à la consommation, la création d'emplois et l'assainissement des entreprises, entre autres. A ce titre, il n'a pas manqué de répliquer aux différentes parties qui accusent le gouvernement d'avoir favorisé les patrons lors de la tripartite. «Toutes les mesures de facilitation au profit des entreprises privées sont au final profitables aux travailleurs. Ce sont des mesures de consolidation sociale», a soutenu le premier argentier du pays en guise d'argument aux efforts colossaux consentis, faits de rééchelonnement des dettes fiscales, de bonification et de différés de paiement. Concrètement, le gouvernement a décidé de rééchelonner 200 milliards DA de dettes dans le cadre de la restructuration des entreprises et PME en difficulté, et de l'annulation de 80 milliards DA d'ajouts réservés carrément effacés par les banques. Le ministre a affirmé, dans ce sens, que les banques ont déjà traité un premier lot, d'autant que «la chose se fera normalement sans aucun texte de loi». «Nous attendons, en revanche, une contrepartie de la part des entreprises en matière de création d'emplois, de richesses et de plus-values», a-t-il ajouté, pour dire que les mesures de facilitation accordées par l'Etat au profit des entreprises entrent dans le cadre du développement de la production locale et la création d'emplois pérennes. A propos des dégâts humains et matériels engendrés par les intempéries à EL-Bayadh et dans d'autres wilayas du pays, Karim Djoudi a souligné que «la réaction de l'Etat s'est immédiatement faite», sachant que trois ministres du gouvernement se sont déplacés sur les lieux pour évaluer les dégâts et assurer les besoins des populations sinistrées. Par ailleurs, le premier argentier du pays a «souhaité» le retour du crédit à la consommation exclusivement destinés aux produits nationaux. Le ministre des Finances, Karim Djoudi, est revenu sur les résultats de la récente tripartite, en apportant, notamment, les arguments nécessaires sur les questions irrésolues, à savoir la hausse des pensions de retraite, l'abrogation de l'article 87-bis et la baisse de l'impôt sur le revenu global (IRG). Invité par la Chaîne III, le premier argentier du pays a souligné, d'emblée, que l'impact financier induit par la hausse de 3.000 DA du SNMG est de 75 milliards DA par an. Quant à l'abrogation de l'article 87-bis et la hausse des pensions des retraités, le ministre des Finances a expliqué que «des commissions seront installées avant la fin de cette semaine au niveau du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale afin de dégager des mécanismes palliatifs tout en tenant compte des équilibres financiers de l'Etat et des entreprises». Sinon, Karim Djoudi a énuméré les différentes mesures consenties par les pouvoirs publics pour la préservation du pouvoir d'achat des citoyens, en plus du relèvement du salaire minimum décidé à l'issue de la tripartite. Il s'agit du soutien aux prix des produits destinés à la consommation, la création d'emplois et l'assainissement des entreprises, entre autres. A ce titre, il n'a pas manqué de répliquer aux différentes parties qui accusent le gouvernement d'avoir favorisé les patrons lors de la tripartite. «Toutes les mesures de facilitation au profit des entreprises privées sont au final profitables aux travailleurs. Ce sont des mesures de consolidation sociale», a soutenu le premier argentier du pays en guise d'argument aux efforts colossaux consentis, faits de rééchelonnement des dettes fiscales, de bonification et de différés de paiement. Concrètement, le gouvernement a décidé de rééchelonner 200 milliards DA de dettes dans le cadre de la restructuration des entreprises et PME en difficulté, et de l'annulation de 80 milliards DA d'ajouts réservés carrément effacés par les banques. Le ministre a affirmé, dans ce sens, que les banques ont déjà traité un premier lot, d'autant que «la chose se fera normalement sans aucun texte de loi». «Nous attendons, en revanche, une contrepartie de la part des entreprises en matière de création d'emplois, de richesses et de plus-values», a-t-il ajouté, pour dire que les mesures de facilitation accordées par l'Etat au profit des entreprises entrent dans le cadre du développement de la production locale et la création d'emplois pérennes. A propos des dégâts humains et matériels engendrés par les intempéries à EL-Bayadh et dans d'autres wilayas du pays, Karim Djoudi a souligné que «la réaction de l'Etat s'est immédiatement faite», sachant que trois ministres du gouvernement se sont déplacés sur les lieux pour évaluer les dégâts et assurer les besoins des populations sinistrées. Par ailleurs, le premier argentier du pays a «souhaité» le retour du crédit à la consommation exclusivement destinés aux produits nationaux.