Une fois de plus, une fois de trop, la pénurie du lait conditionné en sachet a fait son apparition dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Hier et avant-hier, il n'y avait aucun espoir de trouver un sachet de lait dans n'importe quel point de vente de ce produit de première nécessité. Et pour cause, les travailleurs de l'Onalait de Drâa Ben- Khedda sont entrés en grève illimitée depuis dimanche dernier. Les employés de cette unité, principal pourvoyeur en lait dans la wilaya, déconcent ce qu'ils qualifient de «dégradation de leurs conditions de travail». Les travailleurs de l'Onalait ont tenu une assemblée générale la semaine dernière afin d'exiger que leur entreprise recouvre son statut d'entreprise publique alors qu'elle est privatisée depuis quatre années. Ainsi, les employés évoquent, entre autres difficultés, la pénurie récurrente de la poudre de lait ainsi que le fait qu'ils soient «dépouillés de leurs droits». Ils sont soutenus dans leur mouvement de grève par les distributeurs privés. Avec cette absence du lait en sachet, ce sont les enfants qui en font les frais de même que les cafés maures dont le «café au lait» est très apprécié avec le rafraîchissement des températures. Une fois de plus, une fois de trop, la pénurie du lait conditionné en sachet a fait son apparition dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Hier et avant-hier, il n'y avait aucun espoir de trouver un sachet de lait dans n'importe quel point de vente de ce produit de première nécessité. Et pour cause, les travailleurs de l'Onalait de Drâa Ben- Khedda sont entrés en grève illimitée depuis dimanche dernier. Les employés de cette unité, principal pourvoyeur en lait dans la wilaya, déconcent ce qu'ils qualifient de «dégradation de leurs conditions de travail». Les travailleurs de l'Onalait ont tenu une assemblée générale la semaine dernière afin d'exiger que leur entreprise recouvre son statut d'entreprise publique alors qu'elle est privatisée depuis quatre années. Ainsi, les employés évoquent, entre autres difficultés, la pénurie récurrente de la poudre de lait ainsi que le fait qu'ils soient «dépouillés de leurs droits». Ils sont soutenus dans leur mouvement de grève par les distributeurs privés. Avec cette absence du lait en sachet, ce sont les enfants qui en font les frais de même que les cafés maures dont le «café au lait» est très apprécié avec le rafraîchissement des températures.