Un marin algérien, détenu à bord du vraquier MV Blida, qui a fait l'objet d'un acte de piraterie en haute mer le 1er janvier dernier, a été libéré, mardi dernier, a indiqué, hier, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani, dans une déclaration écrite. Un marin algérien, détenu à bord du vraquier MV Blida, qui a fait l'objet d'un acte de piraterie en haute mer le 1er janvier dernier, a été libéré, mardi dernier, a indiqué, hier, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani, dans une déclaration écrite. Citant une "source sûre", Amar Belani a expliqué que le marin algérien a été libéré pour des "considérations humanitaires", en même temps qu'un autre marin de "nationalité étrangère". Le ressortissant algérien "a été transporté vers une institution hospitalière" de la région, mais son état de santé, a rassuré le porte-parole du MAE, "n'inspire pas d'inquiétude particulière". "Les autorités algériennes restent pleinement mobilisées pour obtenir la libération de tous nos compatriotes dans les meilleurs délais possibles", a ajouté la même source. Dans une déclaration, hier à l'APS, M. Nacereddine Mansouri, directeur général d'International Bulk Carriers (IBC), armateur du navire a confirmé que deux marins, un Algérien et un Ukrainien, faisant partie de l'équipage du MV Blida, qui avait fait l'objet d'un acte de piraterie en haute mer en janvier dernier, ont été libérés. Le marin algérien, Azzedine Toudji, a été libéré en même temps qu'un autre marin de nationalité ukrainienne, mardi matin, pour des "considérations humanitaires", a précisé M. Mansouri. Il a souligné que les autorités algériennes ont déployé tous les moyens pour rapatrier "rapidement" le marin algérien dont "l'état de santé n'est pas inquiétant". Les deux marins sont actuellement pris en charge par la force internationale qui réprime les actes de piraterie dans les eaux territoriales somaliennes. Cette force a été créée à la faveur d'une résolution (1846) du Conseil de sécurité des Nations unies Le vraquier battant pavillon algérien, MV Blida, avait été victime le 1er janvier 2011 d'un acte de piraterie en haute mer, alors qu'il se dirigeait vers le port de Mombasa au Kenya. Le navire avait à son bord un équipage de 27 membres, dont 17 de nationalité algérienne. Le directeur général d'International Bulk Carriers (IBC), armateur du navire, Nacereddine Mansouri, avait indiqué, en septembre dernier, que le contact avec les pirates "n'avait jamais été rompu" et que les négociations "se poursuivaient toujours", citant l'affréteur (Leadarrow) qui a mis sur pied une cellule de crise à Athènes. De leur côté, les familles des 17 marins algériens détenus par les pirates somaliens ont organisé plusieurs rassemblements dans la capitale pour exiger des autorités d'entreprendre les démarches nécessaires afin de les libérer sains et saufs. A la Grande Poste d'Alger, devant le ministère des Affaires étrangères et l'ambassade de Jordanie, ces familles n'ont de cesse de rappeler leur détresse quant au sort inconnu réservé aux leurs depuis bientôt une année de détention. Les informations sur une éventuelle demande de rançon de la part des pirates, colportées par certaines parties dont les familles des otages, n'ont pas été confirmées par les autorités officielles laissant planer le doute entièrement sur les conditions et raisons de leur détention. Toutefois, les services des AE, qui ont installé une cellule de suivi de cette affaire, ont toujours rassuré les familles quant au maintien du contact et la communication d'informations les concernant à chaque fois. Ils ont même reçu ces familles en guise de solidarité. Citant une "source sûre", Amar Belani a expliqué que le marin algérien a été libéré pour des "considérations humanitaires", en même temps qu'un autre marin de "nationalité étrangère". Le ressortissant algérien "a été transporté vers une institution hospitalière" de la région, mais son état de santé, a rassuré le porte-parole du MAE, "n'inspire pas d'inquiétude particulière". "Les autorités algériennes restent pleinement mobilisées pour obtenir la libération de tous nos compatriotes dans les meilleurs délais possibles", a ajouté la même source. Dans une déclaration, hier à l'APS, M. Nacereddine Mansouri, directeur général d'International Bulk Carriers (IBC), armateur du navire a confirmé que deux marins, un Algérien et un Ukrainien, faisant partie de l'équipage du MV Blida, qui avait fait l'objet d'un acte de piraterie en haute mer en janvier dernier, ont été libérés. Le marin algérien, Azzedine Toudji, a été libéré en même temps qu'un autre marin de nationalité ukrainienne, mardi matin, pour des "considérations humanitaires", a précisé M. Mansouri. Il a souligné que les autorités algériennes ont déployé tous les moyens pour rapatrier "rapidement" le marin algérien dont "l'état de santé n'est pas inquiétant". Les deux marins sont actuellement pris en charge par la force internationale qui réprime les actes de piraterie dans les eaux territoriales somaliennes. Cette force a été créée à la faveur d'une résolution (1846) du Conseil de sécurité des Nations unies Le vraquier battant pavillon algérien, MV Blida, avait été victime le 1er janvier 2011 d'un acte de piraterie en haute mer, alors qu'il se dirigeait vers le port de Mombasa au Kenya. Le navire avait à son bord un équipage de 27 membres, dont 17 de nationalité algérienne. Le directeur général d'International Bulk Carriers (IBC), armateur du navire, Nacereddine Mansouri, avait indiqué, en septembre dernier, que le contact avec les pirates "n'avait jamais été rompu" et que les négociations "se poursuivaient toujours", citant l'affréteur (Leadarrow) qui a mis sur pied une cellule de crise à Athènes. De leur côté, les familles des 17 marins algériens détenus par les pirates somaliens ont organisé plusieurs rassemblements dans la capitale pour exiger des autorités d'entreprendre les démarches nécessaires afin de les libérer sains et saufs. A la Grande Poste d'Alger, devant le ministère des Affaires étrangères et l'ambassade de Jordanie, ces familles n'ont de cesse de rappeler leur détresse quant au sort inconnu réservé aux leurs depuis bientôt une année de détention. Les informations sur une éventuelle demande de rançon de la part des pirates, colportées par certaines parties dont les familles des otages, n'ont pas été confirmées par les autorités officielles laissant planer le doute entièrement sur les conditions et raisons de leur détention. Toutefois, les services des AE, qui ont installé une cellule de suivi de cette affaire, ont toujours rassuré les familles quant au maintien du contact et la communication d'informations les concernant à chaque fois. Ils ont même reçu ces familles en guise de solidarité.