Le gouvernement sahraoui a imputé, hier, l'enlèvement de trois membres d'ONG européennes dans les camps de réfugiés sahraouis à l'organisation terroriste Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). "Les informations et les données dont disposent les autorités sahraouies concordent pour désigner AQMI comme auteur de l'attaque terroriste et l'enlèvement des trois coopérants européens dans la nuit du samedi à dimanche, 22 octobre", a indiqué le gouvernement sahraoui dans un communiqué diffusé par l'agence d'information sahraouie (SPS). L'exécutif sahraoui a affirmé qu'il "continue ses efforts pour la libération sains et saufs de ces trois victimes du terrorisme et déploie les démarches auprès des pays de la région afin de conjuguer et coordonner les efforts pour atteindre cet objectif". "Le peuple sahraoui, son gouvernement et le Front Polisario renouvellent leur condamnation énergique de cet acte terroriste barbare qui les vise au même titre que les trois coopérants venus alléger leurs souffrances dans le cadre d'une noble mission humanitaire", ajoute le communiqué. Les trois otages, Aino Fernadez Coin, de nationalité espagnole, membre de l'Association des amis du peuple sahraoui d'Estrémadure (Espagne), Enrico Gonyalons, de nationalité espagnole, membre de l'ONG espagnole MUNDUBAT, et Rossella Urru, une italienne, membre de l'ONG italienne CCISPP, travaillaient tous trois sur des projets humanitaires dans les camps de réfugiés sahraouis. Les ravisseurs avaient attaqué les sièges des deux ONG et enlevé les trois ressortissants européens en utilisant une voiture tout-terrain et des armes à feu. L'un des otages, l'Espagnol Enrico Gonyalons, serait blessé, ainsi que l'un des gardes sahraouis, Omar Ahmed Mohamed, rappelle SPS. Le gouvernement sahraoui a imputé, hier, l'enlèvement de trois membres d'ONG européennes dans les camps de réfugiés sahraouis à l'organisation terroriste Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). "Les informations et les données dont disposent les autorités sahraouies concordent pour désigner AQMI comme auteur de l'attaque terroriste et l'enlèvement des trois coopérants européens dans la nuit du samedi à dimanche, 22 octobre", a indiqué le gouvernement sahraoui dans un communiqué diffusé par l'agence d'information sahraouie (SPS). L'exécutif sahraoui a affirmé qu'il "continue ses efforts pour la libération sains et saufs de ces trois victimes du terrorisme et déploie les démarches auprès des pays de la région afin de conjuguer et coordonner les efforts pour atteindre cet objectif". "Le peuple sahraoui, son gouvernement et le Front Polisario renouvellent leur condamnation énergique de cet acte terroriste barbare qui les vise au même titre que les trois coopérants venus alléger leurs souffrances dans le cadre d'une noble mission humanitaire", ajoute le communiqué. Les trois otages, Aino Fernadez Coin, de nationalité espagnole, membre de l'Association des amis du peuple sahraoui d'Estrémadure (Espagne), Enrico Gonyalons, de nationalité espagnole, membre de l'ONG espagnole MUNDUBAT, et Rossella Urru, une italienne, membre de l'ONG italienne CCISPP, travaillaient tous trois sur des projets humanitaires dans les camps de réfugiés sahraouis. Les ravisseurs avaient attaqué les sièges des deux ONG et enlevé les trois ressortissants européens en utilisant une voiture tout-terrain et des armes à feu. L'un des otages, l'Espagnol Enrico Gonyalons, serait blessé, ainsi que l'un des gardes sahraouis, Omar Ahmed Mohamed, rappelle SPS.