L'indépendance du peuple du Sahara occidental draine de plus en plus de défenseurs à travers le monde, somme toute attendu la justesse de sa cause. L'indépendance du peuple du Sahara occidental draine de plus en plus de défenseurs à travers le monde, somme toute attendu la justesse de sa cause. Les travaux de la deuxième Conférence internationale d'Alger sur «le droit des peuples à la résistance : le cas du peuple sahraoui», qui se sont ouverts hier, ont permis de réitérer à l'adresse de l'opinion internationale qu'il existe encore un peuple colonisé en Afrique, et qui subit toutes formes de répression par l'administration d'occupation marocaine. «La résistance des peuples est un droit légitime et consacré», a d'emblée affirmé le président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, qui précise que cela reste «la seule alternative» pour le peuple sahraoui qui n'abdiquera jamais sous les pressions et intimidations de l'occupant. Dans une déclaration en marge des travaux de la Conférence d'Alger, le Président sahraoui a réitéré la détermination du Front Polisario de «lutter sans relâche jusqu'à l'indépendance», sans exclure aucune forme de résistance y compris la lutte armée. A propos de la désignation du Maroc en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, Mohamed Abdelaziz a souligné que «cela ne changera rien de la donne», dénonçant la grande campagne de désinformation menée par le royaume marocain à travers le monde, qualifiant la situation d'«agression à la légalité internationale». Le président de la RASD n'a pas manqué de condamner, par ailleurs, l'enlèvement de trois humanitaires dans les camps de réfugiés le 22 octobre dernier. «C'est un acte terroriste odieux et condamnable ; nous ferons tout notre possible pour relâcher sains et saufs ces activistes humanitaires», a-t-il soutenu, tout en expliquant que le «Sahara occidental souffre doublement par le terrorisme d'Etat exercé par le Maroc et le néoterrorisme qui vient du Sud». Et de déplorer la position française «qui n'honore pas le berceau des droits de l'homme» dans son parti pris flagrant avec le royaume marocain. « La protection des droits de l'homme au Sahara occidental est un droit inaliénable, en dépit du veto français au Conseil de sécurité onusien», a indiqué Mohamed Abdelaziz, appelant les autres pays à se solidariser avec le peuple sahraoui. De son côté, le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CPASPS), initiateur de la conférence, a réaffirmé la position «claire et harmonieuse» de l'Algérie vis-à-vis de la question sahraouie, celle qui s'aligne sans conditions «aux côtés des peuples victimes de l'injustice». «Notre volonté et notre attachement à la justesse de la cause sahraouie ne seront entamés ni par des actes terroristes ni par les spéculations irresponsables», a tonné Mahrez Lamari, au milieu des clameurs des délégations sahraouies, scandant des slogans hostiles à l'occupant marocain et favorables au référendum, à la liberté et à la dignité du peuple sahraoui. Les travaux de la deuxième Conférence internationale d'Alger sur «le droit des peuples à la résistance : le cas du peuple sahraoui», qui se sont ouverts hier, ont permis de réitérer à l'adresse de l'opinion internationale qu'il existe encore un peuple colonisé en Afrique, et qui subit toutes formes de répression par l'administration d'occupation marocaine. «La résistance des peuples est un droit légitime et consacré», a d'emblée affirmé le président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, qui précise que cela reste «la seule alternative» pour le peuple sahraoui qui n'abdiquera jamais sous les pressions et intimidations de l'occupant. Dans une déclaration en marge des travaux de la Conférence d'Alger, le Président sahraoui a réitéré la détermination du Front Polisario de «lutter sans relâche jusqu'à l'indépendance», sans exclure aucune forme de résistance y compris la lutte armée. A propos de la désignation du Maroc en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, Mohamed Abdelaziz a souligné que «cela ne changera rien de la donne», dénonçant la grande campagne de désinformation menée par le royaume marocain à travers le monde, qualifiant la situation d'«agression à la légalité internationale». Le président de la RASD n'a pas manqué de condamner, par ailleurs, l'enlèvement de trois humanitaires dans les camps de réfugiés le 22 octobre dernier. «C'est un acte terroriste odieux et condamnable ; nous ferons tout notre possible pour relâcher sains et saufs ces activistes humanitaires», a-t-il soutenu, tout en expliquant que le «Sahara occidental souffre doublement par le terrorisme d'Etat exercé par le Maroc et le néoterrorisme qui vient du Sud». Et de déplorer la position française «qui n'honore pas le berceau des droits de l'homme» dans son parti pris flagrant avec le royaume marocain. « La protection des droits de l'homme au Sahara occidental est un droit inaliénable, en dépit du veto français au Conseil de sécurité onusien», a indiqué Mohamed Abdelaziz, appelant les autres pays à se solidariser avec le peuple sahraoui. De son côté, le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CPASPS), initiateur de la conférence, a réaffirmé la position «claire et harmonieuse» de l'Algérie vis-à-vis de la question sahraouie, celle qui s'aligne sans conditions «aux côtés des peuples victimes de l'injustice». «Notre volonté et notre attachement à la justesse de la cause sahraouie ne seront entamés ni par des actes terroristes ni par les spéculations irresponsables», a tonné Mahrez Lamari, au milieu des clameurs des délégations sahraouies, scandant des slogans hostiles à l'occupant marocain et favorables au référendum, à la liberté et à la dignité du peuple sahraoui.