Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ministre de la Défense, Ehoud Barak, tentent de lever l'opposition d'une majorité de ministres contre une attaque visant les installations nucléaires iraniennes, a indiqué, mercredi 2 novembre, le quotidien Haaretz. Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ministre de la Défense, Ehoud Barak, tentent de lever l'opposition d'une majorité de ministres contre une attaque visant les installations nucléaires iraniennes, a indiqué, mercredi 2 novembre, le quotidien Haaretz. Lundi, M. Barak avait démenti des informations des médias israéliens selon lesquelles il aurait d'ores et déjà pris la décision avec M. Nétanyahou d'attaquer l'Iran, malgré l'opposition des chefs de l'armée et du renseignement. Selon le journal israélien, la majorité des membres du 'forum' des huit ministres les plus importants, est, elle aussi, opposée à une telle opération. Seuls MM. Nétanyahou, Barak et le ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman soutiennent 'l'option militaire' contre l'Iran, rapporte le quotidien Le Monde. En revanche, le ministre de l'Intérieur et chef du parti ultra-orthodoxe Shass, Elie Yishaï, Dan Méridor (ministre chargé des Services de renseignement), Benny Begin (ministre sans portefeuille), Moshé Yaalon (ministre chargé des Affaires stratégiques) et Youval Steinitz (Finances) sont contre. Selon ces opposants, Israël doit continuer à tenter de mobiliser les pays occidentaux pour exercer des pressions économiques sur l'Iran dans la mesure où l'Etat hébreu ne peut pas se permettre d'agir militairement seul sans coordination avec les Etats-Unis. Israël, ennemi juré de la République islamique d'Iran, et les pays occidentaux accusent cette dernière de chercher à se doter de l'arme atomique sous couvert d'un programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément. Lundi, M. Barak avait démenti des informations des médias israéliens selon lesquelles il aurait d'ores et déjà pris la décision avec M. Nétanyahou d'attaquer l'Iran, malgré l'opposition des chefs de l'armée et du renseignement. Selon le journal israélien, la majorité des membres du 'forum' des huit ministres les plus importants, est, elle aussi, opposée à une telle opération. Seuls MM. Nétanyahou, Barak et le ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman soutiennent 'l'option militaire' contre l'Iran, rapporte le quotidien Le Monde. En revanche, le ministre de l'Intérieur et chef du parti ultra-orthodoxe Shass, Elie Yishaï, Dan Méridor (ministre chargé des Services de renseignement), Benny Begin (ministre sans portefeuille), Moshé Yaalon (ministre chargé des Affaires stratégiques) et Youval Steinitz (Finances) sont contre. Selon ces opposants, Israël doit continuer à tenter de mobiliser les pays occidentaux pour exercer des pressions économiques sur l'Iran dans la mesure où l'Etat hébreu ne peut pas se permettre d'agir militairement seul sans coordination avec les Etats-Unis. Israël, ennemi juré de la République islamique d'Iran, et les pays occidentaux accusent cette dernière de chercher à se doter de l'arme atomique sous couvert d'un programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément.