Les Bourses européennes ont repris leurs souffle, hiermatin, après une forte baisse la veille dans un contexte de tensions persistantes à cause du marché de la dette, où les taux auxquels les Etats doivent emprunter enchaînent les records. La Bourse de Paris a, ainsi, ouvert sur une progression de 1,05%, celle de Londres de 0,58% et celle de Francfort de 0,76%. Peu après l'ouverture Madrid gagnait 0,51% et Milan 0,65%. Après un fort recul à Wall Street, lundi, Tokyo a touché son plus bas en séance depuis le 15 mars, mais grâce à des achats à bon compte, a finalement terminé sur une baisse modérée de 0,40%. «Des chasses aux bonnes affaires pourraient permettre également de redresser quelque peu la situation sur les places européennes", prévoient les experts, qui ajoutent que "la fin de la spirale baissière n'est pas en vue". Les difficultés des Etats-Unis après l'échec d'un accord bi-partite pour réduire leur colossale dette, sont venues s'ajouter à celles déjà générées par la crise de la dette en Europe pour les investisseurs. Les menaces qui pèsent sur le "triple A" de la France continuent à s'accentuer après un nouvel avertissement de l'agence Moody's tandis que l'Italie et l'Espagne, malgré la mise en place de nouveaux gouvernements, peinent à rassurer les march. Les investisseurs devraient surveiller, mardi, la 2e estimation de la croissance américaine pour le 3e trimestre qui doit être annoncée en milieu de journée. L'émission de bons du Trésor à 3 et 6 mois de l'Espagne ainsi qu'un discours de la chancelière allemande, Angela Merkel. vraiment épargné sur le marché Selon les experts "les problèmes de dettes souveraines en Italie et en Espagne resteront certainement une préoccupation majeure du marché des changes". Les Bourses européennes ont repris leurs souffle, hiermatin, après une forte baisse la veille dans un contexte de tensions persistantes à cause du marché de la dette, où les taux auxquels les Etats doivent emprunter enchaînent les records. La Bourse de Paris a, ainsi, ouvert sur une progression de 1,05%, celle de Londres de 0,58% et celle de Francfort de 0,76%. Peu après l'ouverture Madrid gagnait 0,51% et Milan 0,65%. Après un fort recul à Wall Street, lundi, Tokyo a touché son plus bas en séance depuis le 15 mars, mais grâce à des achats à bon compte, a finalement terminé sur une baisse modérée de 0,40%. «Des chasses aux bonnes affaires pourraient permettre également de redresser quelque peu la situation sur les places européennes", prévoient les experts, qui ajoutent que "la fin de la spirale baissière n'est pas en vue". Les difficultés des Etats-Unis après l'échec d'un accord bi-partite pour réduire leur colossale dette, sont venues s'ajouter à celles déjà générées par la crise de la dette en Europe pour les investisseurs. Les menaces qui pèsent sur le "triple A" de la France continuent à s'accentuer après un nouvel avertissement de l'agence Moody's tandis que l'Italie et l'Espagne, malgré la mise en place de nouveaux gouvernements, peinent à rassurer les march. Les investisseurs devraient surveiller, mardi, la 2e estimation de la croissance américaine pour le 3e trimestre qui doit être annoncée en milieu de journée. L'émission de bons du Trésor à 3 et 6 mois de l'Espagne ainsi qu'un discours de la chancelière allemande, Angela Merkel. vraiment épargné sur le marché Selon les experts "les problèmes de dettes souveraines en Italie et en Espagne resteront certainement une préoccupation majeure du marché des changes".