La direction actuelle du Front de libération nationale (FLN) assiste impuissante face à la montée spectaculaire du Mouvement de redressement et de l'authenticité. Ce dernier multiplie les initiatives sur les plans régional et national, alors qu'Abdelaziz Belkhadem et consortssde confinent dans un silence qui en dit long. En effet, les redresseurs annoncent avec certitude la «déchéance» de Belkhadem de la tête du FLN avant même les prochaines élections législatives, prévues au plus tard le mois d'avril prochain. Ils annoncent dans la foulée la tenue d'un congrès extraordinaire avant la fin de l'année en cours. En parallèle, la liste des signataires pour le retrait de confiance à Abdelaziz Belkhadem s'allonge de jour en jour, à se fier aux informations de certains animateurs du mouvement de redressement. Face à ces développements effrénés, les actuels locataires de Hydra font preuve d'une passivité inaccoutumée, synonyme de leur impuissance à arrêter une démarche qui semble comme l'acte final du feuilleton de redressement au vieux parti. Les Salah Goudjil, Mohamed-Seghir Kara et autre Boukerzaza semblent très confiants quant à l'aboutissement de leur entreprise. Ils multiplient, de ce fait, les initiatives afin d'accélérer le processus pour aborder sereinement les prochaines élections législatives. Les prochaines semaines qui nous séparent de la fin de l'année en cours s'annoncent, donc houleuses, voire décisives au sein du vieux parti. Aux derniers développements de la situation, les redresseurs s'en remettent au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, en sa qualité de président d'honneur du FLN, afin d'intervenir et remettre de l'ordre dans la maison. Conformément aux statuts du parti, Bouteflika a les pleins pouvoirs pour convoquer un congrès extraordinaire qui stipulent, également, que deux tiers du comité central (CC) peuvent décider de convoquer le congrès. Concrètement, les redresseurs s'enorgueillissent d'avoir rallié à leur cause un nombre impressionnant de militants et de cadres de la base militante du parti. Mohamed-Seghir Kara parle d'une liste de 3.300 signataires pour la destitution de Belkhadem et de 44 mouhafadhas sans compter les kasmas qui ont rallié le mouvement de redressement. De quoi apporter de l'eau au moulin des redresseurs qui semblent résolus, cette fois-ci, à en découdre définitivement avec la direction actuelle du FLN. A présent, le Mouvement de redressement et de l'authenticité attend le moment opportun pour passer à l'acte, c'est-à-dire organiser le congrès extraordinaire. Aussi, temporise-t-il pour permettre d'achever le vote des différents projets de loi à l'APN, notamment le texte relatif aux partis politiques. Le FLN semble au rendez-vous d'une autre ère, telle que vécue en 2004 avec les redresseurs d'alors. Le même scénario se dessine chaque jour un peu plus. La direction actuelle du Front de libération nationale (FLN) assiste impuissante face à la montée spectaculaire du Mouvement de redressement et de l'authenticité. Ce dernier multiplie les initiatives sur les plans régional et national, alors qu'Abdelaziz Belkhadem et consortssde confinent dans un silence qui en dit long. En effet, les redresseurs annoncent avec certitude la «déchéance» de Belkhadem de la tête du FLN avant même les prochaines élections législatives, prévues au plus tard le mois d'avril prochain. Ils annoncent dans la foulée la tenue d'un congrès extraordinaire avant la fin de l'année en cours. En parallèle, la liste des signataires pour le retrait de confiance à Abdelaziz Belkhadem s'allonge de jour en jour, à se fier aux informations de certains animateurs du mouvement de redressement. Face à ces développements effrénés, les actuels locataires de Hydra font preuve d'une passivité inaccoutumée, synonyme de leur impuissance à arrêter une démarche qui semble comme l'acte final du feuilleton de redressement au vieux parti. Les Salah Goudjil, Mohamed-Seghir Kara et autre Boukerzaza semblent très confiants quant à l'aboutissement de leur entreprise. Ils multiplient, de ce fait, les initiatives afin d'accélérer le processus pour aborder sereinement les prochaines élections législatives. Les prochaines semaines qui nous séparent de la fin de l'année en cours s'annoncent, donc houleuses, voire décisives au sein du vieux parti. Aux derniers développements de la situation, les redresseurs s'en remettent au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, en sa qualité de président d'honneur du FLN, afin d'intervenir et remettre de l'ordre dans la maison. Conformément aux statuts du parti, Bouteflika a les pleins pouvoirs pour convoquer un congrès extraordinaire qui stipulent, également, que deux tiers du comité central (CC) peuvent décider de convoquer le congrès. Concrètement, les redresseurs s'enorgueillissent d'avoir rallié à leur cause un nombre impressionnant de militants et de cadres de la base militante du parti. Mohamed-Seghir Kara parle d'une liste de 3.300 signataires pour la destitution de Belkhadem et de 44 mouhafadhas sans compter les kasmas qui ont rallié le mouvement de redressement. De quoi apporter de l'eau au moulin des redresseurs qui semblent résolus, cette fois-ci, à en découdre définitivement avec la direction actuelle du FLN. A présent, le Mouvement de redressement et de l'authenticité attend le moment opportun pour passer à l'acte, c'est-à-dire organiser le congrès extraordinaire. Aussi, temporise-t-il pour permettre d'achever le vote des différents projets de loi à l'APN, notamment le texte relatif aux partis politiques. Le FLN semble au rendez-vous d'une autre ère, telle que vécue en 2004 avec les redresseurs d'alors. Le même scénario se dessine chaque jour un peu plus.