A l'instar de la signature de la convention relative à la mise en place d'un portail web destiné à faciliter l'intégration et l'accueil des compétences nationales et des chercheurs algériens établis à l'étranger dans les différents programmes sectoriels de recherche, paraphée par le ministre la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi, et Halim Benatallah, secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, le magazine britannique The Econosmit explique en quoi la mobilisation des meilleurs talents de la diaspora peut bénéficier à la fois aux pays d'origine, mais aussi aux pays d'accueil pour accélérer le développement économique et e transfert de technologies et de savoir-faire industriel et scientifique. Afin d'affronter la mondialisation, ce magazine donne l'exemple des talents indiens (les chercheurs algériens y sont également nombreux) installés dans la Silicon Valley qui ont joué un rôle important en aidant les entreprises indiennes à devenir plus innovantes, en apportant des standards internationaux et en aidant l'Inde à développer une industrie TIC performante à l'échelle globale. Suivant les exemples de l'Inde et de la Chine, plusieurs pays méditerranéens commencent à développer des stratégies pro-diasporas visant à mieux mobiliser leurs talents expatriés. «En 2010, le réseau d'observation de l'économie méditerranéenne a publié une étude qui démontre que la mobilisation des talents de la diaspora peut contribuer à accélérer le développement économique de la région Méditerranée dans le contexte de la mondialisation à travers du financement et de l'investissement, des partenariats d'affaires et du soutien aux jeunes start-ups locales (coaching, formation, accompagnement à l'international, etc.)», indiquent les experts. Les promoteurs de ce travail minutieux et scientifique montrent que «cette étude repose en partie sur l'analyse des contributions effectuées par plusieurs centaines de réseaux de diaspora MED en faveur du développement de leur pays d'origine (un annuaire comprenant 470 réseaux de talents de la diaspora MED a été compilé)». Pour aller au-delà des simples déclarations d'intentions, Anima et Invest in Med ont organisé fin septembre 2011 un forum d'affaires diaspora Med Ventures qui a permis, selon les participants, «de rassembler à Tunis plusieurs dizaines de talents de la diaspora Maghreb (CEO, serial entrepreneurs & success stories, investisseurs, business angels, coachs) ainsi qu'une vingtaine de jeunes start-ups maghrébines souhaitant se développer». Par ailleurs, des sessions de coaching personnalisées, des témoignages de success stories ainsi que des rencontres d'affaires se sont, ainsi, succédé durant deux jours, avec au total plus de 250 participants originaires du Maghreb, d'Europe, du Golfe ainsi que des USA. L'association des compétences algériens à l'étranger ont, à maintes reprises, affiché leur disponibilité pour participer aux projets de développement économique du pays. A l'instar de la signature de la convention relative à la mise en place d'un portail web destiné à faciliter l'intégration et l'accueil des compétences nationales et des chercheurs algériens établis à l'étranger dans les différents programmes sectoriels de recherche, paraphée par le ministre la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi, et Halim Benatallah, secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, le magazine britannique The Econosmit explique en quoi la mobilisation des meilleurs talents de la diaspora peut bénéficier à la fois aux pays d'origine, mais aussi aux pays d'accueil pour accélérer le développement économique et e transfert de technologies et de savoir-faire industriel et scientifique. Afin d'affronter la mondialisation, ce magazine donne l'exemple des talents indiens (les chercheurs algériens y sont également nombreux) installés dans la Silicon Valley qui ont joué un rôle important en aidant les entreprises indiennes à devenir plus innovantes, en apportant des standards internationaux et en aidant l'Inde à développer une industrie TIC performante à l'échelle globale. Suivant les exemples de l'Inde et de la Chine, plusieurs pays méditerranéens commencent à développer des stratégies pro-diasporas visant à mieux mobiliser leurs talents expatriés. «En 2010, le réseau d'observation de l'économie méditerranéenne a publié une étude qui démontre que la mobilisation des talents de la diaspora peut contribuer à accélérer le développement économique de la région Méditerranée dans le contexte de la mondialisation à travers du financement et de l'investissement, des partenariats d'affaires et du soutien aux jeunes start-ups locales (coaching, formation, accompagnement à l'international, etc.)», indiquent les experts. Les promoteurs de ce travail minutieux et scientifique montrent que «cette étude repose en partie sur l'analyse des contributions effectuées par plusieurs centaines de réseaux de diaspora MED en faveur du développement de leur pays d'origine (un annuaire comprenant 470 réseaux de talents de la diaspora MED a été compilé)». Pour aller au-delà des simples déclarations d'intentions, Anima et Invest in Med ont organisé fin septembre 2011 un forum d'affaires diaspora Med Ventures qui a permis, selon les participants, «de rassembler à Tunis plusieurs dizaines de talents de la diaspora Maghreb (CEO, serial entrepreneurs & success stories, investisseurs, business angels, coachs) ainsi qu'une vingtaine de jeunes start-ups maghrébines souhaitant se développer». Par ailleurs, des sessions de coaching personnalisées, des témoignages de success stories ainsi que des rencontres d'affaires se sont, ainsi, succédé durant deux jours, avec au total plus de 250 participants originaires du Maghreb, d'Europe, du Golfe ainsi que des USA. L'association des compétences algériens à l'étranger ont, à maintes reprises, affiché leur disponibilité pour participer aux projets de développement économique du pays.