Les statines réduisent sans dommage les risques d'accidents cardiovasculaires et l'effet bénéfique de ces médicaments anti-cholestérol persiste même après l'arrêt du traitement, selon une étude de suivi sur onze ans de patients à haut risque cardiaque. La réduction du nombre d'attaques cardiaques et cérébrales ou d'autres maladies cardiovasculaires, obtenue avec les statines, ne s'est pas accompagnée d'une augmentation des cancers ou d'autres pathologies ni de la mortalité pendant ces onze années de surveillance, selon l'étude intitulée Heart Protection Study (HPS), dont rend compte la revue médicale britannique The Lancet. L'étude a porté sur 20.536 patients à risque de maladies cardiovasculaires répartis par tirage au sort en deux groupes, l'un recevant 40 mg/jour de simvastatine et l'autre un placebo sur plus de cinq années. Pendant cette période, le groupe sous statine a eu une réduction de son mauvais cholestérol (LDL cholestérol) assortie d'une diminution de 23% d'événements vasculaires majeurs (infarctus etc.), comparé au groupe placebo. La surveillance des patients participant à l'étude s'est poursuivie six années après la fin de l'essai thérapeutique. L'incidence des cancers observés au fil du temps ne diffère pas entre le groupe traité par statine et le groupe placebo, contrairement à ce que l'on aurait pu craindre, relèvent les auteurs de l'étude. Les bénéfices de la statine ont persisté au cours de cette période parmi ceux qui avaient cessé d'en prendre, notent-ils. En outre, l'absence d'excès de risque de cancer ou d'autres pathologies majeures pendant les onze années de suivi chez ceux qui avaient pris la statine est très rassurante pour les médecins prescripteurs et pour les patients, de plus en plus nombreux, qui prennent des statines pour diminuer leur risque cardiovasculaire, selon le Dr Richard Bulbulia d'Oxford, co-signataire de l'étude. Les statines réduisent sans dommage les risques d'accidents cardiovasculaires et l'effet bénéfique de ces médicaments anti-cholestérol persiste même après l'arrêt du traitement, selon une étude de suivi sur onze ans de patients à haut risque cardiaque. La réduction du nombre d'attaques cardiaques et cérébrales ou d'autres maladies cardiovasculaires, obtenue avec les statines, ne s'est pas accompagnée d'une augmentation des cancers ou d'autres pathologies ni de la mortalité pendant ces onze années de surveillance, selon l'étude intitulée Heart Protection Study (HPS), dont rend compte la revue médicale britannique The Lancet. L'étude a porté sur 20.536 patients à risque de maladies cardiovasculaires répartis par tirage au sort en deux groupes, l'un recevant 40 mg/jour de simvastatine et l'autre un placebo sur plus de cinq années. Pendant cette période, le groupe sous statine a eu une réduction de son mauvais cholestérol (LDL cholestérol) assortie d'une diminution de 23% d'événements vasculaires majeurs (infarctus etc.), comparé au groupe placebo. La surveillance des patients participant à l'étude s'est poursuivie six années après la fin de l'essai thérapeutique. L'incidence des cancers observés au fil du temps ne diffère pas entre le groupe traité par statine et le groupe placebo, contrairement à ce que l'on aurait pu craindre, relèvent les auteurs de l'étude. Les bénéfices de la statine ont persisté au cours de cette période parmi ceux qui avaient cessé d'en prendre, notent-ils. En outre, l'absence d'excès de risque de cancer ou d'autres pathologies majeures pendant les onze années de suivi chez ceux qui avaient pris la statine est très rassurante pour les médecins prescripteurs et pour les patients, de plus en plus nombreux, qui prennent des statines pour diminuer leur risque cardiovasculaire, selon le Dr Richard Bulbulia d'Oxford, co-signataire de l'étude.