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Les syndicats reviennent à la charge dès aujourd'hui
Grève dans l'Education nationale
Publié dans Le Midi Libre le 03 - 01 - 2012

A peine rentrés des vacances scolaires d'hiver, voilà que le secteur de l'Education nationale s'apprête à être confronté à de nouveaux mouvements de protestations. En effet, les corps communs, les ouvriers professionnels, agents de prévention et de la sécurité, affiliés à l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), ont annoncé une grève de deux jours à compter d'aujourd'hui.
A peine rentrés des vacances scolaires d'hiver, voilà que le secteur de l'Education nationale s'apprête à être confronté à de nouveaux mouvements de protestations. En effet, les corps communs, les ouvriers professionnels, agents de prévention et de la sécurité, affiliés à l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), ont annoncé une grève de deux jours à compter d'aujourd'hui.
Cette grève, est soutenue par une coordination regroupant 39 wilayas. La coordination de ces corps de fonctionnaires de l'Education nationale a signé un appel pour mener un mouvement de protestation en vue, disent-ils, de faire valoir leurs droits et faire entendre leurs voix.
Des sit-in seront, peut-on lire dans leur communiqué, organisés devant les directions de l'éduction dans plusieurs wilayas du pays au second jour de la grève, soir le mercredi 4 janvier. Selon les protestataires, une lettre ouverte au président de la République sera déposée afin qu'il intervienne en urgence et règle leur situation. Les contestataires, qui ont, rappelons-le, rejeté la mouture du ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, ont émis une plateforme de revendication qui compte, entre autres, l'intégration de ces fonctionnaires dans le secteur de l'éduction, l'octroi de nouvelles primes, dont les primes de risque, de permanence et de qualification mais aussi la révision du régime indemnitaire avec une augmentation de la valeur de la productivité de l'ordre de 40% avec effet rétroactif à compter du 1er janvier 2008. Dans leurs revendications, les protestataires réclament un texte de loi, précisent-ils, portant dans le détail leurs missions. Selon eux, ce texte leur permettra d'éviter toute exploitation par leurs responsables hiérarchiques. Il est question également de la régularisation des contractuels en poste et de l'obtention, citent-ils, du droit à la formation et au recyclage. Cette grève, avertit la commission, « n'est que la première action dans une série de protestations jusqu'à satisfaction de toutes les revendications ». Il est à préciser que ce corps commun de l'Education n'est pas le seul à monter au créneau, durant ce mois. Les fonctionnaires de ce secteur, affiliés au Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE), ont eux aussi annoncé une semaine de débrayage à partir du lundi 9 janvier, assurant, par ailleurs, que « cette action se renouvellera automatiquement chaque semaine jusqu'à la satisfaction des revendications ». Le secteur de l'Education nationale essuiera, ce mois-ci, une série d'actions de protestations conduites par d'autres corps, qui ont déjà annoncé leur intention de revenir à la charge pour exiger la satisfaction de leurs revendications socioprofessionnelles.
Cette grève, est soutenue par une coordination regroupant 39 wilayas. La coordination de ces corps de fonctionnaires de l'Education nationale a signé un appel pour mener un mouvement de protestation en vue, disent-ils, de faire valoir leurs droits et faire entendre leurs voix.
Des sit-in seront, peut-on lire dans leur communiqué, organisés devant les directions de l'éduction dans plusieurs wilayas du pays au second jour de la grève, soir le mercredi 4 janvier. Selon les protestataires, une lettre ouverte au président de la République sera déposée afin qu'il intervienne en urgence et règle leur situation. Les contestataires, qui ont, rappelons-le, rejeté la mouture du ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, ont émis une plateforme de revendication qui compte, entre autres, l'intégration de ces fonctionnaires dans le secteur de l'éduction, l'octroi de nouvelles primes, dont les primes de risque, de permanence et de qualification mais aussi la révision du régime indemnitaire avec une augmentation de la valeur de la productivité de l'ordre de 40% avec effet rétroactif à compter du 1er janvier 2008. Dans leurs revendications, les protestataires réclament un texte de loi, précisent-ils, portant dans le détail leurs missions. Selon eux, ce texte leur permettra d'éviter toute exploitation par leurs responsables hiérarchiques. Il est question également de la régularisation des contractuels en poste et de l'obtention, citent-ils, du droit à la formation et au recyclage. Cette grève, avertit la commission, « n'est que la première action dans une série de protestations jusqu'à satisfaction de toutes les revendications ». Il est à préciser que ce corps commun de l'Education n'est pas le seul à monter au créneau, durant ce mois. Les fonctionnaires de ce secteur, affiliés au Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE), ont eux aussi annoncé une semaine de débrayage à partir du lundi 9 janvier, assurant, par ailleurs, que « cette action se renouvellera automatiquement chaque semaine jusqu'à la satisfaction des revendications ». Le secteur de l'Education nationale essuiera, ce mois-ci, une série d'actions de protestations conduites par d'autres corps, qui ont déjà annoncé leur intention de revenir à la charge pour exiger la satisfaction de leurs revendications socioprofessionnelles.


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