Se déclarant abandonnés par les autorités locales, des habitants du village Irrezeuguen dans la commune de Chabet El-Ameur au sud-est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, ont fermé, hier matin, le siège de l'APC. Ils protestent ainsi contre la dégradation de leurs conditions de vie. Ils réclament le revêtement du tronçon routier reliant leur localité au village Aït Ali. Cette route n'a jamais connu, selon un protestataire, une quelconque opération d'aménagement ou de revêtement. De ce fait lss villageois éprouvent d'énormes difficultés à y circuler surtout en cette période hivernale attendu que ledit axe est parsemé de crevasses et de flaques boueuses. Cette situation a contraint plusieurs villageois à quitter le village vers d'autres endroits plus cléments. « Durant la décennie noire plusieurs villageois ont abandonnés leurs terres et maintenant c'est l'absence de commodités qui nous pousse à l'exode », nous dira un protestataire. Il ajoute « de cinq à sept familles quittent annuellement le village et si la situation ne s'améliorera pas à l'avenir, c'est tout le monde qui va partir ». Il faut dire que le village accuse un grand retard en matière d'infrastructures de base. Il est dépourvu d'une école primaire, les écoliers parcourent de longues distances pour rejoindre les bancs de l'école du village Aït Ali. Le village manque aussi d'un centre de soin, et les habitants sont contraints de se déplacer, pour des soins, jusqu'au chef-lieu communal. En sus de cela, le village n'est toujours pas raccordé au réseau de distribution d'eau potable. Ici, la pénurie en eau potable est légion, même en hiver. Vers 13h, le siège de l'APC de Chabet El Ameur était toujours fermé et plusieurs citoyens n'ont pas pu se faire délivrer leurs documents administratifs. Une délégation des protestataire s'est rendue, selon un protestataire, en compagnie du maire de ladite localité, vers la wilaya pour y soumettre leurs problèmes aux responsabless. Notons par ailleurs, que cette localité accuse un déficit flagrant en matière de développement et nécessite un plan Marshal bis pour sortir de l'isolement. Se déclarant abandonnés par les autorités locales, des habitants du village Irrezeuguen dans la commune de Chabet El-Ameur au sud-est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, ont fermé, hier matin, le siège de l'APC. Ils protestent ainsi contre la dégradation de leurs conditions de vie. Ils réclament le revêtement du tronçon routier reliant leur localité au village Aït Ali. Cette route n'a jamais connu, selon un protestataire, une quelconque opération d'aménagement ou de revêtement. De ce fait lss villageois éprouvent d'énormes difficultés à y circuler surtout en cette période hivernale attendu que ledit axe est parsemé de crevasses et de flaques boueuses. Cette situation a contraint plusieurs villageois à quitter le village vers d'autres endroits plus cléments. « Durant la décennie noire plusieurs villageois ont abandonnés leurs terres et maintenant c'est l'absence de commodités qui nous pousse à l'exode », nous dira un protestataire. Il ajoute « de cinq à sept familles quittent annuellement le village et si la situation ne s'améliorera pas à l'avenir, c'est tout le monde qui va partir ». Il faut dire que le village accuse un grand retard en matière d'infrastructures de base. Il est dépourvu d'une école primaire, les écoliers parcourent de longues distances pour rejoindre les bancs de l'école du village Aït Ali. Le village manque aussi d'un centre de soin, et les habitants sont contraints de se déplacer, pour des soins, jusqu'au chef-lieu communal. En sus de cela, le village n'est toujours pas raccordé au réseau de distribution d'eau potable. Ici, la pénurie en eau potable est légion, même en hiver. Vers 13h, le siège de l'APC de Chabet El Ameur était toujours fermé et plusieurs citoyens n'ont pas pu se faire délivrer leurs documents administratifs. Une délégation des protestataire s'est rendue, selon un protestataire, en compagnie du maire de ladite localité, vers la wilaya pour y soumettre leurs problèmes aux responsabless. Notons par ailleurs, que cette localité accuse un déficit flagrant en matière de développement et nécessite un plan Marshal bis pour sortir de l'isolement.