Une rencontre placée sous le thème "Union africaine (UA) : architecture institutionnelle et processus décisionnel" a eu lieu jeudi au siège du ministère des Affaires étrangères. Organisée par l'Institut diplomatique et des relations internationales (IDRI) du ministère des Affaires étrangères à l'initiative du chef de la diplomatie Mourad Medelci, cette journée d'information en driection de la presse nationale s'inscrit dans le cadre d'une série de rencontres que le ministère compte organiser sur plusieurs thèmes, a-t-on expliqué à cette occasion. Ces rencontres visent à fournir aux journalistes les éléments d'information et d'appréciation concernant l'activité diplomatique, a-t-on ajouté. Après un exposé sur la création de l'OUA en mai 1963 à Addis Abeba (Ethiopie) et la décision du sommet de Syrte (Libye) en septembre 1999 de poser les jalons de l'UA, le directeur du département Afrique au sein du ministère, Noureddine Aouam, a rappelé les défis auxquels l'organisation panafricaine tente de répondre. Parmi ces nouveaux concepts, le principe qui permet à l'UA d'intervenir dans un Etat membre dans certaines situations telles que "les crimes de guerre, les crimes contre l'humanité, le terrorisme, la bonne gouvernance...", a expliqué M. Aouam. Au sujet des principales institutions de l'UA, ce même responsable a souligné l'importance du rôle du Conseil de paix et de sécurité de l'organisation (CPS) en coopération avec l'Onu et la Ligue arabe dans la résolution de certains conflits en Afrique. Créé en juillet 2002 à Durban (Afrique du Sud), cet organe est composé de 15 Etats membres qui seront renouvelés lors du prochain sommet de l'UA, prévu les 29 et 30 janvier 2012 à Addis Abeba. Au sujet du processus décisionnel au sein de l'UA, M. Aouam a expliqué que les décisions politiques émanant de cette organisation sont prises "par consensus". Une rencontre placée sous le thème "Union africaine (UA) : architecture institutionnelle et processus décisionnel" a eu lieu jeudi au siège du ministère des Affaires étrangères. Organisée par l'Institut diplomatique et des relations internationales (IDRI) du ministère des Affaires étrangères à l'initiative du chef de la diplomatie Mourad Medelci, cette journée d'information en driection de la presse nationale s'inscrit dans le cadre d'une série de rencontres que le ministère compte organiser sur plusieurs thèmes, a-t-on expliqué à cette occasion. Ces rencontres visent à fournir aux journalistes les éléments d'information et d'appréciation concernant l'activité diplomatique, a-t-on ajouté. Après un exposé sur la création de l'OUA en mai 1963 à Addis Abeba (Ethiopie) et la décision du sommet de Syrte (Libye) en septembre 1999 de poser les jalons de l'UA, le directeur du département Afrique au sein du ministère, Noureddine Aouam, a rappelé les défis auxquels l'organisation panafricaine tente de répondre. Parmi ces nouveaux concepts, le principe qui permet à l'UA d'intervenir dans un Etat membre dans certaines situations telles que "les crimes de guerre, les crimes contre l'humanité, le terrorisme, la bonne gouvernance...", a expliqué M. Aouam. Au sujet des principales institutions de l'UA, ce même responsable a souligné l'importance du rôle du Conseil de paix et de sécurité de l'organisation (CPS) en coopération avec l'Onu et la Ligue arabe dans la résolution de certains conflits en Afrique. Créé en juillet 2002 à Durban (Afrique du Sud), cet organe est composé de 15 Etats membres qui seront renouvelés lors du prochain sommet de l'UA, prévu les 29 et 30 janvier 2012 à Addis Abeba. Au sujet du processus décisionnel au sein de l'UA, M. Aouam a expliqué que les décisions politiques émanant de cette organisation sont prises "par consensus".