Un nouveau gouvernement marocain, un nouveau ministre des Affaires étrangères et peut être un nouveau départ dans les relations algéro-marocaines qui sont passées par plus de bas que de hauts. Mais depuis un certain temps les gros cumulus qui stagnaient au-dessus du ciel algéro-marocain se dissipent et laissent entrevoir un bout de ciel bleu. On a assisté ces derniers jours à des déclarations polies et amicales notamment de la part du chef de l'Etat qui avait envoyé un message à l'occasion du 56e anniversaire de l'indépendance du Maroc dans lequel il réitérait sa volonté «d'œuvrer au raffermissement des relations diplomatiques». Demain, Saâd-Eddine El Othmani sera en terre algérienne à l'invitation de son homologue algérien, Mourad Medelci. Les deux hommes vont avoir des échanges sur des questions d'intérêt commun comme on dit si bien en jargon diplomatique. Ils vont entre autres chercher les moyens de relancer l'Union du Maghreb arabe, ce vœu pieux de février 1989 et qui a mis les drapeaux en berne depuis 1994. Sera-t-il question des questions qui fâchent comme la réouverture des frontières terrestres de 1.559 kilomètres que réclame à cor et à cri le monarque chérifien. Le rapprochement avec le royaume marocain avec des frontières ouvertes devraient, selon le Chef du gouvernement marocain, issu d'une formation islamiste, «permettre de résoudre la question du Sahara occidental» Si 2012 consacre la circulation des biens et des personnes, elle va surtout consacrer un nouveau départ d'une idyllique union qui donnerait le tempo pour l'édification d'un Maghreb uni si cher à feu Hassan II qui ne doit pas être considérée comme une simple envie ou une utopie . Il reste les questions de fond qui si elles ne sont pas aplanies maintiendront les relations entre les deux pays dans un statu quo. La réunion des ministres des Affaires étrangères des pays de L'UMA en février prochain va-t-elle enterrer le discours du «je t'aime moi non plus» pour laisser place à la réconciliation? Une partition à jouer et où Alger donne le «la» Un nouveau gouvernement marocain, un nouveau ministre des Affaires étrangères et peut être un nouveau départ dans les relations algéro-marocaines qui sont passées par plus de bas que de hauts. Mais depuis un certain temps les gros cumulus qui stagnaient au-dessus du ciel algéro-marocain se dissipent et laissent entrevoir un bout de ciel bleu. On a assisté ces derniers jours à des déclarations polies et amicales notamment de la part du chef de l'Etat qui avait envoyé un message à l'occasion du 56e anniversaire de l'indépendance du Maroc dans lequel il réitérait sa volonté «d'œuvrer au raffermissement des relations diplomatiques». Demain, Saâd-Eddine El Othmani sera en terre algérienne à l'invitation de son homologue algérien, Mourad Medelci. Les deux hommes vont avoir des échanges sur des questions d'intérêt commun comme on dit si bien en jargon diplomatique. Ils vont entre autres chercher les moyens de relancer l'Union du Maghreb arabe, ce vœu pieux de février 1989 et qui a mis les drapeaux en berne depuis 1994. Sera-t-il question des questions qui fâchent comme la réouverture des frontières terrestres de 1.559 kilomètres que réclame à cor et à cri le monarque chérifien. Le rapprochement avec le royaume marocain avec des frontières ouvertes devraient, selon le Chef du gouvernement marocain, issu d'une formation islamiste, «permettre de résoudre la question du Sahara occidental» Si 2012 consacre la circulation des biens et des personnes, elle va surtout consacrer un nouveau départ d'une idyllique union qui donnerait le tempo pour l'édification d'un Maghreb uni si cher à feu Hassan II qui ne doit pas être considérée comme une simple envie ou une utopie . Il reste les questions de fond qui si elles ne sont pas aplanies maintiendront les relations entre les deux pays dans un statu quo. La réunion des ministres des Affaires étrangères des pays de L'UMA en février prochain va-t-elle enterrer le discours du «je t'aime moi non plus» pour laisser place à la réconciliation? Une partition à jouer et où Alger donne le «la»