Les exploitants des taxis-compteurs ou collectifs, devront bientôt se soumettre à une nouvelle réglementation. L'activité de chauffeur de taxi sera ainsi restructurée afin d'améliorer les prestations offertes par ce mode de transport, à en croire les responsables du secteur. Ainsi, un nouveau cadre juridique régissant l'activité des voitures-taxis est en cours d'élaboration par le ministère des Transports. C'est ce qu'a fait savoir, jeudi dernier à Alger, le ministre des Transports, Amar Tou. Dans sa déclaration à la presse, en marge d'une séance de l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, le premier responsable du secteur a annoncé qu'après consultation de l'ensemble des parties concernées, un nouveau décret est en cours d'élaboration. Pourquoi un nouveau décret ? L'actuel décret en vigueur, ne garantit-il pas suffisamment les intérêts et du client et de l'exploitant ? Le ministre dira que l'objectif est de garantir «le respect des règles régissant l'activité des voitures-taxis». De quelles règles s'agit-il exactement ? Amar Tou a précisé que parmi les règles que renfermera le texte, figurent notamment l'obligation de la tarification sur la base du taximètre et la nécessité d'assurer le transport pendant les jours de fête et de nuit. Il faut dire que trouver un taxi la nuit, pendant les jours de fête et surtout les heures de pointe relève du miracle. S'agit-il d'un déséquilibre disproportionné entre l'offre et la demande ? M. Tou a estimé que : «Le manque de voitures-taxis est flagrant à des heures et des jours précis», en particulier lors des jours de fête. D'ailleurs, a-t-il souligné, 15.800 permis de place ont été livrés en 2011 avec la collaboration du ministère des Moudjahidine et la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). Pour ce qui est des taxis clandestins, «leur nombre est entre 10 et 15% du total du parc des voitures taxis», a fait savoir le ministre des Transports. A cet effet, le ministre a mis l'accent sur l'intervention de plusieurs secteurs pour mettre fin à cette activité. Sur un autre plan, M. Tou a rappelé l'existence de grands projets d'extension des lignes ferroviaires reliant le nord et le sud du pays, précisant qu'un certain nombre d'entre eux ont d'ores et déjà été soumis à l'étude et à la réalisation. Les exploitants des taxis-compteurs ou collectifs, devront bientôt se soumettre à une nouvelle réglementation. L'activité de chauffeur de taxi sera ainsi restructurée afin d'améliorer les prestations offertes par ce mode de transport, à en croire les responsables du secteur. Ainsi, un nouveau cadre juridique régissant l'activité des voitures-taxis est en cours d'élaboration par le ministère des Transports. C'est ce qu'a fait savoir, jeudi dernier à Alger, le ministre des Transports, Amar Tou. Dans sa déclaration à la presse, en marge d'une séance de l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, le premier responsable du secteur a annoncé qu'après consultation de l'ensemble des parties concernées, un nouveau décret est en cours d'élaboration. Pourquoi un nouveau décret ? L'actuel décret en vigueur, ne garantit-il pas suffisamment les intérêts et du client et de l'exploitant ? Le ministre dira que l'objectif est de garantir «le respect des règles régissant l'activité des voitures-taxis». De quelles règles s'agit-il exactement ? Amar Tou a précisé que parmi les règles que renfermera le texte, figurent notamment l'obligation de la tarification sur la base du taximètre et la nécessité d'assurer le transport pendant les jours de fête et de nuit. Il faut dire que trouver un taxi la nuit, pendant les jours de fête et surtout les heures de pointe relève du miracle. S'agit-il d'un déséquilibre disproportionné entre l'offre et la demande ? M. Tou a estimé que : «Le manque de voitures-taxis est flagrant à des heures et des jours précis», en particulier lors des jours de fête. D'ailleurs, a-t-il souligné, 15.800 permis de place ont été livrés en 2011 avec la collaboration du ministère des Moudjahidine et la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). Pour ce qui est des taxis clandestins, «leur nombre est entre 10 et 15% du total du parc des voitures taxis», a fait savoir le ministre des Transports. A cet effet, le ministre a mis l'accent sur l'intervention de plusieurs secteurs pour mettre fin à cette activité. Sur un autre plan, M. Tou a rappelé l'existence de grands projets d'extension des lignes ferroviaires reliant le nord et le sud du pays, précisant qu'un certain nombre d'entre eux ont d'ores et déjà été soumis à l'étude et à la réalisation.