Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a affirmé jeudi à Alger que lesmagistrats seront présents à tous les niveaux du scrutin lors des prochaines législatives, précisant que leur rôle de supervision et de contrôle "est déjà défini par la loi". La loi a déjà défini le rôle de supervision et de contrôle (des magistrats, ndlr) et leur accorde la prérogative de sanctionner ceux qui violeront la loi", a indiqué le Premier ministre en réponse à une question de l'APS sur le rôle des magistrats dans la supervision des élections, en marge de la cérémonie de clôture de la session d'automne de l'Assemblée populaire nationale (APN). M. Ouyahia a ajouté qu'il y avait "une chose que la commission nationale de supervision des élections ne fera pas, c'est la proclamation des résultats qui relève du Conseil constitutionnel, sinon, a-t-il assuré, elle agira pleinement aux côtés de la commission de surveillance des élections" durant toute l'opération électorale. La commission nationale de supervision des élections est composée exclusivement de magistrats désignés par le chef de l'Etat, alors que la commission de surveillance comprend des représentants des partis politiques et des candidats libres. La commission nationale de supervision recevra les recours des partis et de la commission de surveillance, a encore précisé le Premier ministre. Sur les préparatifs des prochaines législatives, M. Ouyahia a indiqué qu'ils se poursuivent activement, expliquant que le gouvernement intervient sur deux aspects, à savoir la préparation des conditions pour un bon déroulement du scrutin et la mobilisation des citoyens pour accomplir leur devoir électoral. "Pour le reste, a-t-il dit, le peuple est libre". Il a rappelé, à cette occasion, que les éléments de l'Armée nationale populaire ne voteront pas dans les casernes, mais avec le reste des électeurs dans les bureaux de vote, comme c'est le cas depuis 2004. Quant aux bureaux itinérants, le Premier ministre a précisé qu'il n'en restait plus qu'une "centaine" qui permettront aux citoyens des zones reculées du Sud de voter, affirmant que pour le reste des bureaux, "tout est organisé et transparent". Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a affirmé jeudi à Alger que lesmagistrats seront présents à tous les niveaux du scrutin lors des prochaines législatives, précisant que leur rôle de supervision et de contrôle "est déjà défini par la loi". La loi a déjà défini le rôle de supervision et de contrôle (des magistrats, ndlr) et leur accorde la prérogative de sanctionner ceux qui violeront la loi", a indiqué le Premier ministre en réponse à une question de l'APS sur le rôle des magistrats dans la supervision des élections, en marge de la cérémonie de clôture de la session d'automne de l'Assemblée populaire nationale (APN). M. Ouyahia a ajouté qu'il y avait "une chose que la commission nationale de supervision des élections ne fera pas, c'est la proclamation des résultats qui relève du Conseil constitutionnel, sinon, a-t-il assuré, elle agira pleinement aux côtés de la commission de surveillance des élections" durant toute l'opération électorale. La commission nationale de supervision des élections est composée exclusivement de magistrats désignés par le chef de l'Etat, alors que la commission de surveillance comprend des représentants des partis politiques et des candidats libres. La commission nationale de supervision recevra les recours des partis et de la commission de surveillance, a encore précisé le Premier ministre. Sur les préparatifs des prochaines législatives, M. Ouyahia a indiqué qu'ils se poursuivent activement, expliquant que le gouvernement intervient sur deux aspects, à savoir la préparation des conditions pour un bon déroulement du scrutin et la mobilisation des citoyens pour accomplir leur devoir électoral. "Pour le reste, a-t-il dit, le peuple est libre". Il a rappelé, à cette occasion, que les éléments de l'Armée nationale populaire ne voteront pas dans les casernes, mais avec le reste des électeurs dans les bureaux de vote, comme c'est le cas depuis 2004. Quant aux bureaux itinérants, le Premier ministre a précisé qu'il n'en restait plus qu'une "centaine" qui permettront aux citoyens des zones reculées du Sud de voter, affirmant que pour le reste des bureaux, "tout est organisé et transparent".