Le gouvernement de transition libyen a de nouveau appelé les ex-rebelles à s'intégrer dans les différentes institutions sécuritaires de l'Etat, mettant en garde contre "toute lenteur qui menace les intérêts du pays". "Toute lenteur dans l'intégration des ex-rebelles dans les différents corps de sécurité peut menacer les intérêt du pays", a averti le chef du gouvernement de transition, Abdel Rahim Al-Kib, dans une allocution télévisée dimanche soir, à l'occasion de la célébration du 1e anniversaire du soulèvement du 17 février 2011. M. Al-Kib a exprimé "son inquiétude face aux risques" que constitue la circulation des armes dans le pays, appelant "toutes les personnalités religieuses et les notables des différentes régions à faciliter la réconciliation nationale". De son côté, le président du Conseil national de transition, Moustafa Abdeljalil, a appelé à l'accélération du processus de l'intégration dans les rangs de l'armée, de la police et des forces de sécurité, des ex-rebelles ayant contribué à la chute de l'ancien régime. Le chef du gouvernement a en outre annoncé le versement d'une aide mensuelle de 1.500 dollars aux proches des ex-rebelles tués ou portés disparus, et promis de rémunérer les anciens rebelles "au chômage". Le gouvernement de transition libyen a de nouveau appelé les ex-rebelles à s'intégrer dans les différentes institutions sécuritaires de l'Etat, mettant en garde contre "toute lenteur qui menace les intérêts du pays". "Toute lenteur dans l'intégration des ex-rebelles dans les différents corps de sécurité peut menacer les intérêt du pays", a averti le chef du gouvernement de transition, Abdel Rahim Al-Kib, dans une allocution télévisée dimanche soir, à l'occasion de la célébration du 1e anniversaire du soulèvement du 17 février 2011. M. Al-Kib a exprimé "son inquiétude face aux risques" que constitue la circulation des armes dans le pays, appelant "toutes les personnalités religieuses et les notables des différentes régions à faciliter la réconciliation nationale". De son côté, le président du Conseil national de transition, Moustafa Abdeljalil, a appelé à l'accélération du processus de l'intégration dans les rangs de l'armée, de la police et des forces de sécurité, des ex-rebelles ayant contribué à la chute de l'ancien régime. Le chef du gouvernement a en outre annoncé le versement d'une aide mensuelle de 1.500 dollars aux proches des ex-rebelles tués ou portés disparus, et promis de rémunérer les anciens rebelles "au chômage".