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Un «nif» vraiment déplacé
Agression contre des parents
Publié dans Le Midi Libre le 21 - 02 - 2012

Au moment où la jeune fille de 25 ans allait sortir, elle changea d'avis brusquement et retourna s'asseoir à la table de la cuisine.
Au moment où la jeune fille de 25 ans allait sortir, elle changea d'avis brusquement et retourna s'asseoir à la table de la cuisine.
Sa mère la suivit et lui demanda ce qu'elle avait. - Maman, je n'ai pas envie d'y aller… Avec celui que je vais affronter aujourd'hui, cela fera douze entretiens que j'aurais subis… Je sais ce qu'on va me dire encore… «Mademoiselle, nous avons vos coordonnées, nous vous contacterons, soyez juste patiente !»
- Et alors ? Tu patienteras.
- Oh ! Non, maman ! Tu n'as donc pas compris que c'est le genre de réponse que l'on donne à quelqu'un pour lui signifier qu'il ne fait pas l'affaire et qu'on ne veut pas de lui ? Je préfère une réponse claire et nette. Je ne veux pas que l'on ajoute une angoisse supplémentaire à toutes celles que j'ai déjà. C'est pour cela que j'ai changé d'avis et que je ne veux pas y aller.
- Mais si tu n'y vas pas, tu te diras toujours que si tu étais partie, tu aurais peut-être été recrutée.
- C'est vrai, maman… je vais y aller tout en ayant la conviction que je ne serai pas retenue ainsi je ne serai pas trop déçue. Cela fait quatre ans que je suis diplômée et que je cherche du travail…
- Allez, lève-toi ma fille… Cette fois-ci je crois que c'est la bonne. J'ai fait un rêve il y a quelques jours, mais je ne t'en dirai pas plus maintenant.
Le responsable des ressources humaines rangea le dossier de Djamila dans une boîte en carton et lui dit :
- Bienvenue avec nous, mademoiselle !
La jeune fille de 25 ans n'en croyait pas ses oreilles.
- C'est vrai ? vous me recrutez ?
- J'ai l'air de plaisanter ?
- Euh… non… je ne sais pas. Oh ! Mon Dieu ! j'ai l'impression de vivre un rêve.
- Non, mademoiselle, vous ne rêvez pas… votre profil correspond à ce que nous cherchons. Deux de nos responsables vous ont entendue lors du court entretien et ont décidé de vous recruter.
- Oh ! Merci…
- Il n'y a pas de quoi. Nous ne vous avons pas fait de cadeau. C'est votre diplôme et la manière avec laquelle vous avez géré l'entretien qu'il faut remercier.
- Merci mille fois…
- Ah ! Autre chose… Où habitez-vous ?
- Boudouoaou.
- Hum… Boudouaou… Il y a déjà deux employés qui habitent Boudouaou, deux autres à Boumerdes et un autre à Réghaïa… C'est bon….
- Qu'est-ce qui est bon monsieur ?
- Le trajet que doit effectuer le minibus qui doit vous transporter… Ecoutez, tout à l'heure en fin d'après-midi, vous rentrerez à bord d'un de nos minibus. Ainsi, notre chauffeur saura où vous habitez afin qu'il vienne vous chercher demain matin et les autres jours.
Oh ! ce n‘est pas vrai… c'est la société qui se chargera de notre transport ?
- Oui, bien sûr… On veut que nos employés arrivent le matin en pleine forme. S'ils passent la matinée à se battre avec les transports en communs, ils seront fatigués avant d'être arrivés à leur lieu de travail.
- Oh ! merci… merci….
- Ah ! autre chose... votre salaire sera de 25.000 DA dans un premier temps. Dans trois mois, si votre chef de service voit que vous vous débrouillez bien, il vous confirmera et vous aurez une première augmentation.
- Oh ! mon Dieu, je suis en train de rêver… C'est incroyable… Il y a tout juste deux heures, j'étais une jeune diplômée au chômage et voilà que je me retrouve subitement avec un emploi rémunéré à 25.000 DA par mois et qui sera peut-être revu à la hausse dans trois mois et en plus on me propose de me transporter… c'est tellement beau que j'ai du mal à le croire. Je dois être en train de faire un beau rêve qui s'estompera dès que j'ouvrirai les yeux.
Djamila était si heureuse que dès qu'elle eut un petit moment à elle, elle appela sa mère et son père pour leur annoncer la bonne nouvelle.
- Tu entends, maman ? Cet après-midi, je rentrerai à bord du véhicule du transport du personnel ! Je viendrai assise sans avoir besoin de pousser pour monter dans un bus… Et j'ai un salaire de 25.000 DA… Oh ! Maman ! Dès que je reviendrai à la maison, je pousserai un youyou !
Quelques heures plus tard, après une journée de travail dans un grand bureau avec deux autres jeunes filles, Djamila se rendit au parking de l'entreprise. Auparavant, elle s'était renseignée et on lui avait indiqué lequel des quatre minibus prenait la direction vers laquelle elle devait se rendre. Il y avait quatre hommes et trois autres jeunes filles avec elle. Ces trois dernières descendaient à Bab Ezzouar et Rouiba et elle se retrouvait seule en compagnie des quatre employés en plus du chauffeur.
Djamila était si obnubilée par la joie d'avoir trouvé du travail qu'elle avait oublié son jeune frère Mounir, âgé de vingt, et qui se croyait investi de la mission suprême de veiller sur la moralité de la famille en général et de sa sœur en particulier. Mais elle ne tarda pas à se le rappeler. Dès que le minibus s'arrêta devant la cité où elle habitait, et dès qu'elle fut descendue, elle le trouva devant elle, vociférant et hurlant des mots qu'elle avait si souvent entendus :
- Mais qu'est-ce que tu fais-là ? D'où viens-tu ? Et quel est ce fourgon à bord duquel tu es venue ?
- Calme-toi Mounir… Je reviens du travail… J'ai enfin trouvé un emploi.
- Tu as trouvé du travail ? Personne ne me l'a dit. Tu travailles avec ces hommes ? Mais tu es en train de te fourvoyer sur le mauvais chemin…
La pauvre jeune fille tenta de le calmer :
- S'il te plaît, Mounir, arrête ton numéro…Tu ne vas pas m'humilier devant mes collègues de travail ?
Et l'autre de hurler de plus belle.
- Tes collègues de travail ? Et tu n'as pas honte de me le dire ? Tu es une fille d'Ibliss. Et joignant le geste à la menace, il la tira par les cheveux.
Un des collègues de Djamila descendit du minibus pour calmer le jeune homme et celui-ci hurla à sa face :
- Ne me touche pas, ordure !
Et comme si l'insulte ne suffisait pas, il lui donna un coup de poing. Mounir était comme en transe. Il se mit à sauter dans toutes les directions comme s'il tentait d'éviter que de mauvais Djinns s'emparent de son âme. Il aperçut par terre une pierre, se saisit d'elle et la balança sur le pare-brise du véhicule.
Djamila eut l'impression de vivre un cauchemar et se mit à hurler dans l'espoir de se réveiller. Mais son cauchemar tenait bon… Elle vit son père descendre et s'en prendre à son fils :
- Qu'est-ce qui te prend, Mounir ? Tu es fou ?
Le jeune moralisateur, au lieu de se calmer, bouscula son père si violemment que celui-ci tomba :
- Moi, je suis fou ? C'est toi qui es fou de laisser ainsi l'honneur de la famille se faire malmener par une fille sans honte !
Le père se releva, regarda les nouveaux collègues de sa fille et leur dit :
- Je vous prie de nous pardonner pour ce malheureux un incident… Je vous payerai le pare-brise… Demain, je viendrai à votre entreprise pour réparer cet incident….
Puis, il se rendit au poste de police où il déposa plainte contre son fils.
Jugé dernièrement par la cour de Boumerdès, le jeune homme a écopé de deux ans de prison ferme. Auparavant, le procureur général avait requis cinq ans de prison ferme contre lui.
Son père, lui, a dû rembourser le pare-brise. Et Djamila ?
Djamila a tellement honte de ce que son frère a fait qu'elle n'est plus retournée à son travail. Elle est de nouveau au chômage.
Sa mère la suivit et lui demanda ce qu'elle avait. - Maman, je n'ai pas envie d'y aller… Avec celui que je vais affronter aujourd'hui, cela fera douze entretiens que j'aurais subis… Je sais ce qu'on va me dire encore… «Mademoiselle, nous avons vos coordonnées, nous vous contacterons, soyez juste patiente !»
- Et alors ? Tu patienteras.
- Oh ! Non, maman ! Tu n'as donc pas compris que c'est le genre de réponse que l'on donne à quelqu'un pour lui signifier qu'il ne fait pas l'affaire et qu'on ne veut pas de lui ? Je préfère une réponse claire et nette. Je ne veux pas que l'on ajoute une angoisse supplémentaire à toutes celles que j'ai déjà. C'est pour cela que j'ai changé d'avis et que je ne veux pas y aller.
- Mais si tu n'y vas pas, tu te diras toujours que si tu étais partie, tu aurais peut-être été recrutée.
- C'est vrai, maman… je vais y aller tout en ayant la conviction que je ne serai pas retenue ainsi je ne serai pas trop déçue. Cela fait quatre ans que je suis diplômée et que je cherche du travail…
- Allez, lève-toi ma fille… Cette fois-ci je crois que c'est la bonne. J'ai fait un rêve il y a quelques jours, mais je ne t'en dirai pas plus maintenant.
Le responsable des ressources humaines rangea le dossier de Djamila dans une boîte en carton et lui dit :
- Bienvenue avec nous, mademoiselle !
La jeune fille de 25 ans n'en croyait pas ses oreilles.
- C'est vrai ? vous me recrutez ?
- J'ai l'air de plaisanter ?
- Euh… non… je ne sais pas. Oh ! Mon Dieu ! j'ai l'impression de vivre un rêve.
- Non, mademoiselle, vous ne rêvez pas… votre profil correspond à ce que nous cherchons. Deux de nos responsables vous ont entendue lors du court entretien et ont décidé de vous recruter.
- Oh ! Merci…
- Il n'y a pas de quoi. Nous ne vous avons pas fait de cadeau. C'est votre diplôme et la manière avec laquelle vous avez géré l'entretien qu'il faut remercier.
- Merci mille fois…
- Ah ! Autre chose… Où habitez-vous ?
- Boudouoaou.
- Hum… Boudouaou… Il y a déjà deux employés qui habitent Boudouaou, deux autres à Boumerdes et un autre à Réghaïa… C'est bon….
- Qu'est-ce qui est bon monsieur ?
- Le trajet que doit effectuer le minibus qui doit vous transporter… Ecoutez, tout à l'heure en fin d'après-midi, vous rentrerez à bord d'un de nos minibus. Ainsi, notre chauffeur saura où vous habitez afin qu'il vienne vous chercher demain matin et les autres jours.
Oh ! ce n‘est pas vrai… c'est la société qui se chargera de notre transport ?
- Oui, bien sûr… On veut que nos employés arrivent le matin en pleine forme. S'ils passent la matinée à se battre avec les transports en communs, ils seront fatigués avant d'être arrivés à leur lieu de travail.
- Oh ! merci… merci….
- Ah ! autre chose... votre salaire sera de 25.000 DA dans un premier temps. Dans trois mois, si votre chef de service voit que vous vous débrouillez bien, il vous confirmera et vous aurez une première augmentation.
- Oh ! mon Dieu, je suis en train de rêver… C'est incroyable… Il y a tout juste deux heures, j'étais une jeune diplômée au chômage et voilà que je me retrouve subitement avec un emploi rémunéré à 25.000 DA par mois et qui sera peut-être revu à la hausse dans trois mois et en plus on me propose de me transporter… c'est tellement beau que j'ai du mal à le croire. Je dois être en train de faire un beau rêve qui s'estompera dès que j'ouvrirai les yeux.
Djamila était si heureuse que dès qu'elle eut un petit moment à elle, elle appela sa mère et son père pour leur annoncer la bonne nouvelle.
- Tu entends, maman ? Cet après-midi, je rentrerai à bord du véhicule du transport du personnel ! Je viendrai assise sans avoir besoin de pousser pour monter dans un bus… Et j'ai un salaire de 25.000 DA… Oh ! Maman ! Dès que je reviendrai à la maison, je pousserai un youyou !
Quelques heures plus tard, après une journée de travail dans un grand bureau avec deux autres jeunes filles, Djamila se rendit au parking de l'entreprise. Auparavant, elle s'était renseignée et on lui avait indiqué lequel des quatre minibus prenait la direction vers laquelle elle devait se rendre. Il y avait quatre hommes et trois autres jeunes filles avec elle. Ces trois dernières descendaient à Bab Ezzouar et Rouiba et elle se retrouvait seule en compagnie des quatre employés en plus du chauffeur.
Djamila était si obnubilée par la joie d'avoir trouvé du travail qu'elle avait oublié son jeune frère Mounir, âgé de vingt, et qui se croyait investi de la mission suprême de veiller sur la moralité de la famille en général et de sa sœur en particulier. Mais elle ne tarda pas à se le rappeler. Dès que le minibus s'arrêta devant la cité où elle habitait, et dès qu'elle fut descendue, elle le trouva devant elle, vociférant et hurlant des mots qu'elle avait si souvent entendus :
- Mais qu'est-ce que tu fais-là ? D'où viens-tu ? Et quel est ce fourgon à bord duquel tu es venue ?
- Calme-toi Mounir… Je reviens du travail… J'ai enfin trouvé un emploi.
- Tu as trouvé du travail ? Personne ne me l'a dit. Tu travailles avec ces hommes ? Mais tu es en train de te fourvoyer sur le mauvais chemin…
La pauvre jeune fille tenta de le calmer :
- S'il te plaît, Mounir, arrête ton numéro…Tu ne vas pas m'humilier devant mes collègues de travail ?
Et l'autre de hurler de plus belle.
- Tes collègues de travail ? Et tu n'as pas honte de me le dire ? Tu es une fille d'Ibliss. Et joignant le geste à la menace, il la tira par les cheveux.
Un des collègues de Djamila descendit du minibus pour calmer le jeune homme et celui-ci hurla à sa face :
- Ne me touche pas, ordure !
Et comme si l'insulte ne suffisait pas, il lui donna un coup de poing. Mounir était comme en transe. Il se mit à sauter dans toutes les directions comme s'il tentait d'éviter que de mauvais Djinns s'emparent de son âme. Il aperçut par terre une pierre, se saisit d'elle et la balança sur le pare-brise du véhicule.
Djamila eut l'impression de vivre un cauchemar et se mit à hurler dans l'espoir de se réveiller. Mais son cauchemar tenait bon… Elle vit son père descendre et s'en prendre à son fils :
- Qu'est-ce qui te prend, Mounir ? Tu es fou ?
Le jeune moralisateur, au lieu de se calmer, bouscula son père si violemment que celui-ci tomba :
- Moi, je suis fou ? C'est toi qui es fou de laisser ainsi l'honneur de la famille se faire malmener par une fille sans honte !
Le père se releva, regarda les nouveaux collègues de sa fille et leur dit :
- Je vous prie de nous pardonner pour ce malheureux un incident… Je vous payerai le pare-brise… Demain, je viendrai à votre entreprise pour réparer cet incident….
Puis, il se rendit au poste de police où il déposa plainte contre son fils.
Jugé dernièrement par la cour de Boumerdès, le jeune homme a écopé de deux ans de prison ferme. Auparavant, le procureur général avait requis cinq ans de prison ferme contre lui.
Son père, lui, a dû rembourser le pare-brise. Et Djamila ?
Djamila a tellement honte de ce que son frère a fait qu'elle n'est plus retournée à son travail. Elle est de nouveau au chômage.


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