«Il devient impérieux de passer à la phase de la qualité de collecte, de transport et de traitement des déchets ménagers en appliquant une nouvelle méthode moderne. Nous sommes aux portes de cette phase de la qualité, car nous coopérons avec la Banque mondiale et un bureau d'études allemand pour préparer toutes les étapes d'assainissement des grandes villes et des centres des wilayas », a, notamment, déclaré, hier à Zéralda, le ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement. «Il devient impérieux de passer à la phase de la qualité de collecte, de transport et de traitement des déchets ménagers en appliquant une nouvelle méthode moderne. Nous sommes aux portes de cette phase de la qualité, car nous coopérons avec la Banque mondiale et un bureau d'études allemand pour préparer toutes les étapes d'assainissement des grandes villes et des centres des wilayas », a, notamment, déclaré, hier à Zéralda, le ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement. Cherif Rahmani a exhorté, en fait, l'ensemble des walis et des élus locaux pour suivre le guide relatif aux déchets ménagers pour régler durablement la problématique de la collecte, du transport et du traitement des déchets ménagers. Il estime, toutefois, que les déchets ménagers zéro pollution n'existent pas en engageant, néanmoins, la responsabilité de l'Etat avec ses lois et ses règlements, en corrélation avec la collaboration étroite avec les wilayas pour mener à bien les opérations, alors que les élus et les citoyens doivent, également contribuer activement et efficacement à la protection de l'environnement. «Il faut également s'autogérer dans le domaine des déchets ménagers avec les moyens dont disposent les wilayas ou bien appliquer la formule de la concession. C'est-à-dire encourager celui qui a le professionnalisme, le savoir-faire et les compétences», a t-il ajouté. En effet, Rahmani recommande l'application scrupuleuse du guide pour élaborer un schéma directeur de collecte, de transport et de traitement des déchets ménagers sachant que chaque citoyen en produit un kilogramme par jour. Ceci pour contribuer au développement durable et à l'émergence de ‘économie verte, tel que préconisé par le prochain Sommet de la Terre de Rio de Janeiro pour préserver la nature, l'environnement et la santé publique tout en réduisant la facture financière. Autrement dit, appliquer la devise consistant à dire : ‘'Nettoyer, c'est bien, mais ne pas salir c'est mieux''. Enfin, il y a lieu d'accélérer les programmes de formation des ressources humaines et l'administration, ainsi que les managements appropriés pour réussir la politique de l'environnement et de la collecte et du traitement des déchets ménagers. Cette journée d'évaluation de la mise en œuvre du programme national de gestion intégrée ces déchets ménagers et assimilés (PROGDEM) a permis de faire la lumière sur les difficultés rencontrées en matière de ramassage, de la collecte et de gestion rationnelle des déchets, sachant que nos villes et villages nécessitent une meilleure prise en charge sur le plan environnemental. Concernant les nouveaux objectifs qualificatifs de la politique nationale de déchets solides, le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement (MATE) estime «l'essentiel consiste à éradiquer les pratiques de décharges sauvages et à organiser la collecte, le transport et l'élimination des déchets dans des conditions garantissant l'innocuité de l'environnement et la préservation de l'hygiène du milieu ». En effet, dans certains quartiers des villes, et même dans la capitale, la salubrité et le manque d'hygiène deviennent un véritable problème de santé publique, et il existe des rues répugnantes au point où des odeurs nauséabondes nous coupent la respiration… Pour le MATE, la première étape du PROGDEM a été consacrée à la modernisation de la gestion des déchets ménagers dont les grands axes visent à ordonnancer et nettoyer méthodiquement les agglomérations. Il s'agit, en effet, selon le MATE «d'élaborer 1.169 schémas directeurs communaux de gestion des déchets ménagers et assimilés, soit un taux de couverture de 76 % de l'ensemble du territoire national. Aussi, il y a également la nécessité de réaliser 58 centres d'enfouissement techniques au niveau des chefs lieux de wilayas et des villes importantes du pays, et parmi eux, 48 CET sont en cours d'exploitation, tandis que 22 CET sont en cours de réalisation. Par ailleurs, 13 CET présentent un taux de réalisation supérieur à 50 % et 9 CET ont un taux de réalisation inférieur à 50 % et 38 CET dont les taux travaux ne sont pas encore lancés». Evolution en termes de technicité et de qualité de services Concernant les décharges, le MATE indique que parmi les axes suivis «il y a la réalisation de 55 décharges contrôlées dont 23v décharges contrôlées sont opérationnelles, 38 décharges contrôlées en cours de réalisation, dont 15 décharges ont un taux d'avancement des travaux inférieur à 50 % et 42 décharges contrôlées dont les travaux ne sont pas encore lancés»… Pour les responsables du MATE, «la gestion des déchets ménagers a particulièrement évolué en termes de technicité, de qualité et de service, en ce sens qu'elle est passée d'une approche de type ‘'mono filière'' à une approche plus globale, favorisant progressivement les filières de valorisation des déchets». Le MATE met l'accent, également sur la nécessité de mettre en place une véritable industrie de récupération et de valorisation des déchets et la mise à niveau, ainsi que l'amélioration de la qualité de gestion et de la collecte sélective, sans oublier le tri des déchets par la mise en place de déchetteries et de centres de tri… Cherif Rahmani a exhorté, en fait, l'ensemble des walis et des élus locaux pour suivre le guide relatif aux déchets ménagers pour régler durablement la problématique de la collecte, du transport et du traitement des déchets ménagers. Il estime, toutefois, que les déchets ménagers zéro pollution n'existent pas en engageant, néanmoins, la responsabilité de l'Etat avec ses lois et ses règlements, en corrélation avec la collaboration étroite avec les wilayas pour mener à bien les opérations, alors que les élus et les citoyens doivent, également contribuer activement et efficacement à la protection de l'environnement. «Il faut également s'autogérer dans le domaine des déchets ménagers avec les moyens dont disposent les wilayas ou bien appliquer la formule de la concession. C'est-à-dire encourager celui qui a le professionnalisme, le savoir-faire et les compétences», a t-il ajouté. En effet, Rahmani recommande l'application scrupuleuse du guide pour élaborer un schéma directeur de collecte, de transport et de traitement des déchets ménagers sachant que chaque citoyen en produit un kilogramme par jour. Ceci pour contribuer au développement durable et à l'émergence de ‘économie verte, tel que préconisé par le prochain Sommet de la Terre de Rio de Janeiro pour préserver la nature, l'environnement et la santé publique tout en réduisant la facture financière. Autrement dit, appliquer la devise consistant à dire : ‘'Nettoyer, c'est bien, mais ne pas salir c'est mieux''. Enfin, il y a lieu d'accélérer les programmes de formation des ressources humaines et l'administration, ainsi que les managements appropriés pour réussir la politique de l'environnement et de la collecte et du traitement des déchets ménagers. Cette journée d'évaluation de la mise en œuvre du programme national de gestion intégrée ces déchets ménagers et assimilés (PROGDEM) a permis de faire la lumière sur les difficultés rencontrées en matière de ramassage, de la collecte et de gestion rationnelle des déchets, sachant que nos villes et villages nécessitent une meilleure prise en charge sur le plan environnemental. Concernant les nouveaux objectifs qualificatifs de la politique nationale de déchets solides, le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement (MATE) estime «l'essentiel consiste à éradiquer les pratiques de décharges sauvages et à organiser la collecte, le transport et l'élimination des déchets dans des conditions garantissant l'innocuité de l'environnement et la préservation de l'hygiène du milieu ». En effet, dans certains quartiers des villes, et même dans la capitale, la salubrité et le manque d'hygiène deviennent un véritable problème de santé publique, et il existe des rues répugnantes au point où des odeurs nauséabondes nous coupent la respiration… Pour le MATE, la première étape du PROGDEM a été consacrée à la modernisation de la gestion des déchets ménagers dont les grands axes visent à ordonnancer et nettoyer méthodiquement les agglomérations. Il s'agit, en effet, selon le MATE «d'élaborer 1.169 schémas directeurs communaux de gestion des déchets ménagers et assimilés, soit un taux de couverture de 76 % de l'ensemble du territoire national. Aussi, il y a également la nécessité de réaliser 58 centres d'enfouissement techniques au niveau des chefs lieux de wilayas et des villes importantes du pays, et parmi eux, 48 CET sont en cours d'exploitation, tandis que 22 CET sont en cours de réalisation. Par ailleurs, 13 CET présentent un taux de réalisation supérieur à 50 % et 9 CET ont un taux de réalisation inférieur à 50 % et 38 CET dont les taux travaux ne sont pas encore lancés». Evolution en termes de technicité et de qualité de services Concernant les décharges, le MATE indique que parmi les axes suivis «il y a la réalisation de 55 décharges contrôlées dont 23v décharges contrôlées sont opérationnelles, 38 décharges contrôlées en cours de réalisation, dont 15 décharges ont un taux d'avancement des travaux inférieur à 50 % et 42 décharges contrôlées dont les travaux ne sont pas encore lancés»… Pour les responsables du MATE, «la gestion des déchets ménagers a particulièrement évolué en termes de technicité, de qualité et de service, en ce sens qu'elle est passée d'une approche de type ‘'mono filière'' à une approche plus globale, favorisant progressivement les filières de valorisation des déchets». Le MATE met l'accent, également sur la nécessité de mettre en place une véritable industrie de récupération et de valorisation des déchets et la mise à niveau, ainsi que l'amélioration de la qualité de gestion et de la collecte sélective, sans oublier le tri des déchets par la mise en place de déchetteries et de centres de tri…