Les prix du pétrole s'établissaient en hausse, hier, en cours d'échanges européens, après leur accès de faiblesse de la veille, mais la prudence reste de mise, le marché étant hanté par les inquiétudes sur la demande et avant les résultats de la réunion de politique monétaire de la Banque centrale américaine (Fed). Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril s'échangeait à 125,82 dollars, en hausse de 48 cents par rapport à la clôture de lundi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance gagnait 45 cents à 106,79 dollars. Après avoir reculé lundi de plus de 1 dollar à New York et de plus de 60 cents à Londres, les cours du baril regagnaient un peu de terrain mardi, mais les inquiétudes sur les perspectives de la demande pétrolière mondiale continuaient de peser sur le marché. La Chine a annoncé lundi avoir enregistré en février son plus important déficit commercial en plus d'une décennie, à 31,48 milliards de dollars, ce qui a contribué à attiser les doutes sur la solidité de l'économie du deuxième pays consommateur de brut. Les opérateurs restaient par ailleurs sur leurs gardes avant une réunion, mardi, du Comité de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine, guettant tout commentaire sur un éventuel troisième programme d'assouplissement monétaire. Dans le même temps, le marché reste soutenu par les tensions toujours vives entre l'Iran et les pays occidentaux, qui soupçonnent Téhéran de développer un programme nucléaire à visée militaire. L'UE a décidé en janvier un embargo contre le brut iranien, obligeant ses pays membres à chercher des sources d'approvisionnement alternatif, ce qui alimente les tensions sur les marchés pétroliers. Les prix du pétrole s'établissaient en hausse, hier, en cours d'échanges européens, après leur accès de faiblesse de la veille, mais la prudence reste de mise, le marché étant hanté par les inquiétudes sur la demande et avant les résultats de la réunion de politique monétaire de la Banque centrale américaine (Fed). Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril s'échangeait à 125,82 dollars, en hausse de 48 cents par rapport à la clôture de lundi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance gagnait 45 cents à 106,79 dollars. Après avoir reculé lundi de plus de 1 dollar à New York et de plus de 60 cents à Londres, les cours du baril regagnaient un peu de terrain mardi, mais les inquiétudes sur les perspectives de la demande pétrolière mondiale continuaient de peser sur le marché. La Chine a annoncé lundi avoir enregistré en février son plus important déficit commercial en plus d'une décennie, à 31,48 milliards de dollars, ce qui a contribué à attiser les doutes sur la solidité de l'économie du deuxième pays consommateur de brut. Les opérateurs restaient par ailleurs sur leurs gardes avant une réunion, mardi, du Comité de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine, guettant tout commentaire sur un éventuel troisième programme d'assouplissement monétaire. Dans le même temps, le marché reste soutenu par les tensions toujours vives entre l'Iran et les pays occidentaux, qui soupçonnent Téhéran de développer un programme nucléaire à visée militaire. L'UE a décidé en janvier un embargo contre le brut iranien, obligeant ses pays membres à chercher des sources d'approvisionnement alternatif, ce qui alimente les tensions sur les marchés pétroliers.