Les cours du pétrole progressaient légèrement, hier, en cours d'échanges européens, aidés par la faiblesse du dollar, dans un marché sans grand volume et prudent avant la décision de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed). Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin s'échangeait à 124,60 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 46 cents par rapport à la clôture de mardi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance gagnait 43 cents à 112,64 dollars. Le billet vert est tombé mardi à son niveau le plus bas depuis décembre 2009 face à l'euro, et restait affaibli mercredi, rendant plus attractifs les achats de matières premières libellées en dollar, comme l'or noir, pour les investisseurs munis d'autres devises. Principale source de pression sur le dollar, la Fed doit annoncer mercredi vers 18h15 GMT sa décision de politique monétaire à l'issue de sa réunion d'avril. La banque centrale américaine devrait maintenir son taux d'intérêt directeur entre zéro et 0,25%, un niveau auquel il est fixé depuis décembre 2008, et confirmer qu'elle mènera à son terme, prévu en juin, son programme de rachat de 600 milliards de dollars de dette publique. Avant la décision de la Fed, les investisseurs décortiqueront mercredi les chiffres hebdomadaires sur les réserves américaines de pétrole diffusés par le Département américain de l'Energie (DoE). Selon les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswires, il devrait faire état d'une hausse de 900.000 barils des stocks de brut, d'une progression de 200.000 barils des stocks de produits distillés (dont gazole et fioul de chauffage), mais d'une chute de 1,1 million de barils des réserves d'essence. Les investisseurs restaient par ailleurs attentifs à l'évolution des tensions dans le monde arabe, notamment en Syrie et au Yémen. Les cours du pétrole progressaient légèrement, hier, en cours d'échanges européens, aidés par la faiblesse du dollar, dans un marché sans grand volume et prudent avant la décision de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed). Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin s'échangeait à 124,60 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 46 cents par rapport à la clôture de mardi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance gagnait 43 cents à 112,64 dollars. Le billet vert est tombé mardi à son niveau le plus bas depuis décembre 2009 face à l'euro, et restait affaibli mercredi, rendant plus attractifs les achats de matières premières libellées en dollar, comme l'or noir, pour les investisseurs munis d'autres devises. Principale source de pression sur le dollar, la Fed doit annoncer mercredi vers 18h15 GMT sa décision de politique monétaire à l'issue de sa réunion d'avril. La banque centrale américaine devrait maintenir son taux d'intérêt directeur entre zéro et 0,25%, un niveau auquel il est fixé depuis décembre 2008, et confirmer qu'elle mènera à son terme, prévu en juin, son programme de rachat de 600 milliards de dollars de dette publique. Avant la décision de la Fed, les investisseurs décortiqueront mercredi les chiffres hebdomadaires sur les réserves américaines de pétrole diffusés par le Département américain de l'Energie (DoE). Selon les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswires, il devrait faire état d'une hausse de 900.000 barils des stocks de brut, d'une progression de 200.000 barils des stocks de produits distillés (dont gazole et fioul de chauffage), mais d'une chute de 1,1 million de barils des réserves d'essence. Les investisseurs restaient par ailleurs attentifs à l'évolution des tensions dans le monde arabe, notamment en Syrie et au Yémen.