Des partis politiques nouvellement agrées se disent "prêts" à participer aux élections législatives du 10 mai 2012 alors que d'autres affirment être engagés dans une "course contre la montre" afin d'achever leurs préparatifs et pouvoir déposer les dossiers de candidatures avant la fin du délai légal fixé au lundi, 26 mars, avant minuit. Des partis politiques nouvellement agrées se disent "prêts" à participer aux élections législatives du 10 mai 2012 alors que d'autres affirment être engagés dans une "course contre la montre" afin d'achever leurs préparatifs et pouvoir déposer les dossiers de candidatures avant la fin du délai légal fixé au lundi, 26 mars, avant minuit. Ces nouvelles formations politiques, bien que n‘ayant pas reçu l‘agrément du ministère de l‘Intérieur et des Collectivités locales à la même date, ont toutes indiqué à l‘APS avoir subi une "grande pression" au cours de la préparation des législatives en raison du "manque de temps". Dans le cadre de la mise en oeuvre des dispositions de la nouvelle loi organique relative aux partis politiques, en vigueur depuis début janvier, 21 formations ont été agréées : 11 en février, 7 à la mi-mars et les 3 partis restants le 21 mars. A ce titre, le président du Front de l‘Algérie nouvelle (FAN), Djamel Benabdeslam, a déclaré qu‘en dépit du "manque de temps", son parti avait essayé de s‘adapter à la situation, en travaillant en fonction des moyens disponibles. De son côté, le Front du changement (FC) d‘ Abdelmadjid Menasra a pris en charge cette problématique "en adoptant le principe de décentralisation de l‘opération portant préparation des élections législatives", selon le secrétaire national du parti chargé de l‘information, Idris Rabouh. «Ce sont les conseils consultatifs des wilayas du parti qui ont établi les listes de candidatures et ont tranché à ce sujet. C‘est de cette façon que l‘effort a été réparti entre les 48 wilayas, ce qui nous a permis d‘être prêts avant la fin du délai de dépôt des dossiers de candidatures", a-t-il précisé. Pour le Front El Moustakbal (FM), le scrutin du 10 mai prochain n‘est pas une "obsession", car, comme l‘a dit son président, Abdelaziz Belaid, "même si le parti est prêt à participer aux législatives, le but qu‘il cherche à atteindre, en ce moment, c‘est la construction d‘une formation politique sur des bases solides." "Le FM aura d‘autres occasions de se mesurer aux autres partis sur la scène politique nationale du moment, a-t-il indiqué, que les rendez-vous électoraux se tiennent à intervalle régulier et à plusieurs niveaux". Le Front de la justice et du développement (FJD) de Abdellah Djaballah a lui aussi "réussi" à surmonter le facteur temps dans la préparation du rendez-vous de mai prochain, a affirmé son chargé de communication, Omar El Koraïchi. «Ce résultat a été obtenu grâce au fait que le FJD est le sigle d‘une formation politique qui existait déjà" et que ses dirigeants jouissent d‘une "longue expérience dans l‘action politique", a-t-il dit. Après l‘annonce par le conseil consultatif du parti de la participation aux législatives, une période a été ouverte, du 1er au 8 mars, pour permettre aux militants qui le désiraient de se porter candidats, a ajouté M.El Koraïchi, signalant que les listes ont été examinées au niveau des bureaux de wilayas du parti et que le FJD se présenterait dans les 48 wilaya du pays et à l‘étranger. Si ces partis ont réussi à terminer leurs préparatifs aux législatives, d‘autres formations nouvellement agréées n‘y sont pas parvenues et se contenteront d‘une participation restreinte. En effet, le Parti de la liberté et de la justice (PLJ) a décidé d‘une participation "limitée", au scrutin du 10 mai, dans 20 à 30 wilayas, a confié le président du parti, Bélaïd Mohand Oussaïd. «Le temps n‘était pas en notre faveur", a-t-il expliqué, soulignant toutefois que l‘intérêt des cadres du PLJ et de ses militants est porté sur la construction d‘un "parti fort, sérieux et qui soit une force de proposition". Le Parti de l‘équité et de la proclamation (PEP), agréé le 21 mars dernier, prendra part aux élections législatives, quant à lui, "au maximum", dans 20 wilayas, a précisé sa présidente, Naïma Salhi. La participation "limitée" du PEP s‘explique, selon Mme Salhi, par "le manque de temps" et par quelques difficultés d‘"ordre administratif". "A ce jour, il y a quelques wilayas qui n‘ont pas encore reçu le télex du ministère de l‘Intérieur et des Collectivités locales les informant de l‘agrément de notre parti", a-t-elle soutenu. Elle a relevé, en outre, que le PEP a décidé de concentrer ses efforts, dès maintenant, sur la préparation des élections locales. Le ministre de l‘Intérieur, Daho Ould Kablia, avait rejeté la thèse des "lourdeurs administratives" dans le traitement des dossiers d‘agrément des nouvelles formations politiques, précisant que les partis qui ont avancé cette thèse avaient fourni des dossiers incomplets et que le ministère s‘attachait à appliquer la loi. M. Ould Kablia avait également affirmé que le processus d‘agrément des nouveaux partis n‘était "pas lié uniquement au rendez-vous électoral du 10 mai prochain", mais qu‘il s‘agissait d‘une opération d‘"ouverture nouvelle qui va se poursuivre", estimant que si les nouveaux partis n‘arrivaient pas à participer aux législatives, ils auraient la possibilité de le faire pour les prochaines élections locales (APC et APW). Ces nouvelles formations politiques, bien que n‘ayant pas reçu l‘agrément du ministère de l‘Intérieur et des Collectivités locales à la même date, ont toutes indiqué à l‘APS avoir subi une "grande pression" au cours de la préparation des législatives en raison du "manque de temps". Dans le cadre de la mise en oeuvre des dispositions de la nouvelle loi organique relative aux partis politiques, en vigueur depuis début janvier, 21 formations ont été agréées : 11 en février, 7 à la mi-mars et les 3 partis restants le 21 mars. A ce titre, le président du Front de l‘Algérie nouvelle (FAN), Djamel Benabdeslam, a déclaré qu‘en dépit du "manque de temps", son parti avait essayé de s‘adapter à la situation, en travaillant en fonction des moyens disponibles. De son côté, le Front du changement (FC) d‘ Abdelmadjid Menasra a pris en charge cette problématique "en adoptant le principe de décentralisation de l‘opération portant préparation des élections législatives", selon le secrétaire national du parti chargé de l‘information, Idris Rabouh. «Ce sont les conseils consultatifs des wilayas du parti qui ont établi les listes de candidatures et ont tranché à ce sujet. C‘est de cette façon que l‘effort a été réparti entre les 48 wilayas, ce qui nous a permis d‘être prêts avant la fin du délai de dépôt des dossiers de candidatures", a-t-il précisé. Pour le Front El Moustakbal (FM), le scrutin du 10 mai prochain n‘est pas une "obsession", car, comme l‘a dit son président, Abdelaziz Belaid, "même si le parti est prêt à participer aux législatives, le but qu‘il cherche à atteindre, en ce moment, c‘est la construction d‘une formation politique sur des bases solides." "Le FM aura d‘autres occasions de se mesurer aux autres partis sur la scène politique nationale du moment, a-t-il indiqué, que les rendez-vous électoraux se tiennent à intervalle régulier et à plusieurs niveaux". Le Front de la justice et du développement (FJD) de Abdellah Djaballah a lui aussi "réussi" à surmonter le facteur temps dans la préparation du rendez-vous de mai prochain, a affirmé son chargé de communication, Omar El Koraïchi. «Ce résultat a été obtenu grâce au fait que le FJD est le sigle d‘une formation politique qui existait déjà" et que ses dirigeants jouissent d‘une "longue expérience dans l‘action politique", a-t-il dit. Après l‘annonce par le conseil consultatif du parti de la participation aux législatives, une période a été ouverte, du 1er au 8 mars, pour permettre aux militants qui le désiraient de se porter candidats, a ajouté M.El Koraïchi, signalant que les listes ont été examinées au niveau des bureaux de wilayas du parti et que le FJD se présenterait dans les 48 wilaya du pays et à l‘étranger. Si ces partis ont réussi à terminer leurs préparatifs aux législatives, d‘autres formations nouvellement agréées n‘y sont pas parvenues et se contenteront d‘une participation restreinte. En effet, le Parti de la liberté et de la justice (PLJ) a décidé d‘une participation "limitée", au scrutin du 10 mai, dans 20 à 30 wilayas, a confié le président du parti, Bélaïd Mohand Oussaïd. «Le temps n‘était pas en notre faveur", a-t-il expliqué, soulignant toutefois que l‘intérêt des cadres du PLJ et de ses militants est porté sur la construction d‘un "parti fort, sérieux et qui soit une force de proposition". Le Parti de l‘équité et de la proclamation (PEP), agréé le 21 mars dernier, prendra part aux élections législatives, quant à lui, "au maximum", dans 20 wilayas, a précisé sa présidente, Naïma Salhi. La participation "limitée" du PEP s‘explique, selon Mme Salhi, par "le manque de temps" et par quelques difficultés d‘"ordre administratif". "A ce jour, il y a quelques wilayas qui n‘ont pas encore reçu le télex du ministère de l‘Intérieur et des Collectivités locales les informant de l‘agrément de notre parti", a-t-elle soutenu. Elle a relevé, en outre, que le PEP a décidé de concentrer ses efforts, dès maintenant, sur la préparation des élections locales. Le ministre de l‘Intérieur, Daho Ould Kablia, avait rejeté la thèse des "lourdeurs administratives" dans le traitement des dossiers d‘agrément des nouvelles formations politiques, précisant que les partis qui ont avancé cette thèse avaient fourni des dossiers incomplets et que le ministère s‘attachait à appliquer la loi. M. Ould Kablia avait également affirmé que le processus d‘agrément des nouveaux partis n‘était "pas lié uniquement au rendez-vous électoral du 10 mai prochain", mais qu‘il s‘agissait d‘une opération d‘"ouverture nouvelle qui va se poursuivre", estimant que si les nouveaux partis n‘arrivaient pas à participer aux législatives, ils auraient la possibilité de le faire pour les prochaines élections locales (APC et APW).