A moins d'une année des élections législatives, la scène politique connaît une dynamique particulière. Une effervescence exclusivement liée aux préparatifs des prochaines échéances. A moins d'une année des élections législatives, la scène politique connaît une dynamique particulière. Une effervescence exclusivement liée aux préparatifs des prochaines échéances. Si les formations déjà existant sur la scène accélèrent le pas afin de parachever les dernières retouches y afférentes, d‘autres partis politiques attendent toujours l‘agrément du ministère de l‘Intérieur et des Collectivités locales. Il s‘agit, entre autres, du Parti de la liberté et de la justice (PLJ) de Mohamed Saïd, du parti Wafa d‘Ahmed Taleb El-Ibrahimi, du Front démocratique (FD) de Sid-Ahmed Ghozali, de l‘Union pour la démocratie et la république (UDR) d‘Amara Benyounès et des tout nouveau-nés de Saâd Abdallah Djaballah, le revenant avec son Front pour la justice et le développement (FJD) et celui du dissident du MSP, Abdelmadjid Menasra en l‘occurrence, qui avait créé récemment le Mouvement pour la prédication et le changement (MPC). Autant de partis qui attendent, certains depuis plusieurs années déjà, que le ministère de l‘Intérieur daigne traiter leurs demandes et leur délivrer le quitus d‘activer sur la scène nationale en toute légalité. Néanmoins, les réformes politiques engagées récemment par le président de la République ont suscité un certain enthousiasme parmi ces partis en attente d‘agrément. Ils nourrissent, en effet, de grandes ambitions à ce propos, d‘autant que la loi sur les partis politiques est sujette à révision. Le ministre de l‘Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, avait annoncé la création d‘autres formations politiques une fois cette loi amendée. Cependant, cela ne risque pas d‘arriver avant la fin de l‘année en cours. Le ministre avait parlé de 42 demandes d‘agrément en attente. La nouveauté sera dans le durcissement des critères de créer des associations à caractère politique, la représentativité, l‘ancrage et le nombre d‘adhérents entre autres. C‘est dire que la création de nouveaux partis politiques se fera suivant des critères très rigoureux, dans la perspective d‘assainir la scène et de permettre l‘éclosion de réelles formations susceptibles de renforcer le processus démocratique en Algérie. La petite expérience pluraliste a permis de déduire plusieurs enseignements. L‘ouverture politique qui avait permis la création de partis aussi extrémistes que le FIS dissous a plongé le pays dans le chaos. Par ailleurs, il y a lieu de relever que les nouvelles formations en attente d‘agréments, du moins les plus en vue, ont peu de chance de pouvoir prendre part aux futures échéances électorales de 2012, notamment les élections législatives qui seront organisées vers le mois de mai prochain. En revanche, les élections municipales prévues elles vers la fin de l‘année prochaine pourraient être au menu des nouvelles formations politiques qui verront le jour d‘ici là. Si les formations déjà existant sur la scène accélèrent le pas afin de parachever les dernières retouches y afférentes, d‘autres partis politiques attendent toujours l‘agrément du ministère de l‘Intérieur et des Collectivités locales. Il s‘agit, entre autres, du Parti de la liberté et de la justice (PLJ) de Mohamed Saïd, du parti Wafa d‘Ahmed Taleb El-Ibrahimi, du Front démocratique (FD) de Sid-Ahmed Ghozali, de l‘Union pour la démocratie et la république (UDR) d‘Amara Benyounès et des tout nouveau-nés de Saâd Abdallah Djaballah, le revenant avec son Front pour la justice et le développement (FJD) et celui du dissident du MSP, Abdelmadjid Menasra en l‘occurrence, qui avait créé récemment le Mouvement pour la prédication et le changement (MPC). Autant de partis qui attendent, certains depuis plusieurs années déjà, que le ministère de l‘Intérieur daigne traiter leurs demandes et leur délivrer le quitus d‘activer sur la scène nationale en toute légalité. Néanmoins, les réformes politiques engagées récemment par le président de la République ont suscité un certain enthousiasme parmi ces partis en attente d‘agrément. Ils nourrissent, en effet, de grandes ambitions à ce propos, d‘autant que la loi sur les partis politiques est sujette à révision. Le ministre de l‘Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, avait annoncé la création d‘autres formations politiques une fois cette loi amendée. Cependant, cela ne risque pas d‘arriver avant la fin de l‘année en cours. Le ministre avait parlé de 42 demandes d‘agrément en attente. La nouveauté sera dans le durcissement des critères de créer des associations à caractère politique, la représentativité, l‘ancrage et le nombre d‘adhérents entre autres. C‘est dire que la création de nouveaux partis politiques se fera suivant des critères très rigoureux, dans la perspective d‘assainir la scène et de permettre l‘éclosion de réelles formations susceptibles de renforcer le processus démocratique en Algérie. La petite expérience pluraliste a permis de déduire plusieurs enseignements. L‘ouverture politique qui avait permis la création de partis aussi extrémistes que le FIS dissous a plongé le pays dans le chaos. Par ailleurs, il y a lieu de relever que les nouvelles formations en attente d‘agréments, du moins les plus en vue, ont peu de chance de pouvoir prendre part aux futures échéances électorales de 2012, notamment les élections législatives qui seront organisées vers le mois de mai prochain. En revanche, les élections municipales prévues elles vers la fin de l‘année prochaine pourraient être au menu des nouvelles formations politiques qui verront le jour d‘ici là.