Le parti du Front du changement a clôturé et finalisé ses listes de candidatures «sans aucun dépassement par les candidats dans les listes du parti» a déclaré, hier, Abdelmadjid Menasra lors d'une conférence de presse tenue à l'hôtel El Safir d'Alger. La liste globale des candidatures du Front du changement contient 256 candidats principaux. Le parti a confectionné ses listes de candidature dans les 48 willayas du pays, ainsi que le nord de la France pour représenter la communauté algérienne établie à l'étranger. Quant à la dernière loi obligeant un quota de femmes au sein des partis, le leader du Front de changement, a fait savoir que son parti a réservé une part «considérable» aux femmes, avect «un taux de 32% de femmes candidates sur les listes principales de 11 wilayas». Un quota jugé par le président du parti, comme «meilleure liste de représentativité de la femme en comparaison avec les autres formations politiques». Par ailleurs, le président du parti a présenté trois candidats faisant partie du bureau national, à savoir Abdelaziz Manceur, Amine Alouche, Driss Rabouh. Menasra a fait savoir que les listes des candidats ne manqueront pas de représentants connus sur la scène politique, comme c'est le cas du P APC de Bordj Menaiel et celui de Bou Saâda. A ce propos, Menasra a indiqué que «les listes du Front du changement ont été confectionnées selon des critères propres au parti, à savoir, des listes qui se basent sur les jeunes, la compétence, et des listes qui permettent l'emergence de candidats de la société civile et non pas des vedettes de la scène politique, un élément de force pour le parti. Le troisième critère s'articule autout des listes proposées par la base militante au niveau de chaque département». Les listes du Front du changement, s'articulent également autour de candidats issus des autres courants, comme c'est le cas des candidats salafistes. «L'intégration des salafistes au sein de notre parti est motivée par leur attachement à notre programme, et nous sommes fiers de leur soutien. Notre parti est ouvert à tous les électeurs algériens issus de tous les courants et pas uniquement les islamistes», a assuré le chef du parti. Par ailleurs, et sur le plan des candidature des eléments de l'ex- Fis dans le parti du Front du changement, Abdelmadjid Menasra a déclaré : «La loi n'interdit pas aux membres de l'ex-Fis d'être candidats dans les partis, mais elle leur interdit de créer des partis politiques», et d'ajouter «on a des candidats de l'ex-Fis qui possèdent des droits consacrés par la loi». Le président du Front du changement a fait remarquer que la transparence des élections législatives prochaines repose sur le travail de la commission de surveillance des élections. Un travail qui repose en l'écoute des rapports de ladite commission. De ce fait, Abdelmadjid Menasra a fait remarquer que «si la commission de surveillance subit des entraves pour accomplir son travail, il vant mieux la dissoudre». Le parti du Front du changement a clôturé et finalisé ses listes de candidatures «sans aucun dépassement par les candidats dans les listes du parti» a déclaré, hier, Abdelmadjid Menasra lors d'une conférence de presse tenue à l'hôtel El Safir d'Alger. La liste globale des candidatures du Front du changement contient 256 candidats principaux. Le parti a confectionné ses listes de candidature dans les 48 willayas du pays, ainsi que le nord de la France pour représenter la communauté algérienne établie à l'étranger. Quant à la dernière loi obligeant un quota de femmes au sein des partis, le leader du Front de changement, a fait savoir que son parti a réservé une part «considérable» aux femmes, avect «un taux de 32% de femmes candidates sur les listes principales de 11 wilayas». Un quota jugé par le président du parti, comme «meilleure liste de représentativité de la femme en comparaison avec les autres formations politiques». Par ailleurs, le président du parti a présenté trois candidats faisant partie du bureau national, à savoir Abdelaziz Manceur, Amine Alouche, Driss Rabouh. Menasra a fait savoir que les listes des candidats ne manqueront pas de représentants connus sur la scène politique, comme c'est le cas du P APC de Bordj Menaiel et celui de Bou Saâda. A ce propos, Menasra a indiqué que «les listes du Front du changement ont été confectionnées selon des critères propres au parti, à savoir, des listes qui se basent sur les jeunes, la compétence, et des listes qui permettent l'emergence de candidats de la société civile et non pas des vedettes de la scène politique, un élément de force pour le parti. Le troisième critère s'articule autout des listes proposées par la base militante au niveau de chaque département». Les listes du Front du changement, s'articulent également autour de candidats issus des autres courants, comme c'est le cas des candidats salafistes. «L'intégration des salafistes au sein de notre parti est motivée par leur attachement à notre programme, et nous sommes fiers de leur soutien. Notre parti est ouvert à tous les électeurs algériens issus de tous les courants et pas uniquement les islamistes», a assuré le chef du parti. Par ailleurs, et sur le plan des candidature des eléments de l'ex- Fis dans le parti du Front du changement, Abdelmadjid Menasra a déclaré : «La loi n'interdit pas aux membres de l'ex-Fis d'être candidats dans les partis, mais elle leur interdit de créer des partis politiques», et d'ajouter «on a des candidats de l'ex-Fis qui possèdent des droits consacrés par la loi». Le président du Front du changement a fait remarquer que la transparence des élections législatives prochaines repose sur le travail de la commission de surveillance des élections. Un travail qui repose en l'écoute des rapports de ladite commission. De ce fait, Abdelmadjid Menasra a fait remarquer que «si la commission de surveillance subit des entraves pour accomplir son travail, il vant mieux la dissoudre».