L'écrivain algérien Yasmina Khadra était, mardi passé, l'hôte de l'Ecole supérieure de journalisme, suite de la sortie de son dernier ouvrage intitulé «Des chants cannibales». Une rencontre qui s'est penchée sur divers thèmes tout en partageant un débat avec les étudiants de l'école. En commençant, l'auteur est revenu sur son parcours, son enfance, sa jeunesse, l'armée et… autres. Retraçant les difficiles moments de son expérience, Yasmina Khadra a fait ainsi illustration de sa dernière œuvre dont il a expliqué : «Mon dernier roman est un ensemble de recueils qui contient douze nouvelles. C'est celles que j'ai réalisées lorsque j'avais vingt ans.» L'auteur de plusieurs ouvrages, dont L'équation africaine, a qualifié sa carrière à l'étranger comme une véritable réussite, disant : «Grâce à mon travail, j'ai pu avoir des traductions sur mes ouvrages. Actuellement, je suis traduit en 43 langues et présenté dans plusieurs pays.» Par ailleurs, le thème des révolutions arabes n'a pas échappé aux débats entre le conférencier et l'ensemble des étudiants. A ce sujet, Yasmina Khadra dira : «J'ai intervenu à plusieurs reprises à travers des chaînes de télévision et de presse écrite étrangères sur les mouvements arabes que je ne considère pas comme étant "des révolutions", puisque pour moi, une révolution a ses bases et ses fondateurs.» Avant de revenir sur la situation en Libye, Tunisie et Egypte qui ne connaissent pas des stabilités, faute de base. Les ouvrages de l'auteur sont essentiellement écrits dans l'objectif de faire connaître la culture magrébine, algérienne en particulier, dans le monde. «A travers mes ouvrage, je fais une présentation et une connaissance de richesse de la culture arabo-berbère et je transmets tout ce qui est du monde arabe à l'étranger. Comme le font plusieurs algériens à l'étrangers, donnant une bonne image et occupant des places respectables.» Il a ainsi intervenu sur l'état actuel de l'étudiant algérien. en disant : «Je vois d'énormes capacités intellectuelles et une immense volonté dans la recherche scientifique chez les jeunes étudiants algériens.» Concernant la répression que subissent les musulmans dans le monde occidental, sur la base des deux termes «extrémisme et islam », Yasmina Khadra à fait savoir que «le terme extrémisme est une idéologie occidentale, et l'islam est une religion comme toutes les autres religions», en affirmant : «Je suis un musulman pratiquant.» L'écrivain algérien Yasmina Khadra était, mardi passé, l'hôte de l'Ecole supérieure de journalisme, suite de la sortie de son dernier ouvrage intitulé «Des chants cannibales». Une rencontre qui s'est penchée sur divers thèmes tout en partageant un débat avec les étudiants de l'école. En commençant, l'auteur est revenu sur son parcours, son enfance, sa jeunesse, l'armée et… autres. Retraçant les difficiles moments de son expérience, Yasmina Khadra a fait ainsi illustration de sa dernière œuvre dont il a expliqué : «Mon dernier roman est un ensemble de recueils qui contient douze nouvelles. C'est celles que j'ai réalisées lorsque j'avais vingt ans.» L'auteur de plusieurs ouvrages, dont L'équation africaine, a qualifié sa carrière à l'étranger comme une véritable réussite, disant : «Grâce à mon travail, j'ai pu avoir des traductions sur mes ouvrages. Actuellement, je suis traduit en 43 langues et présenté dans plusieurs pays.» Par ailleurs, le thème des révolutions arabes n'a pas échappé aux débats entre le conférencier et l'ensemble des étudiants. A ce sujet, Yasmina Khadra dira : «J'ai intervenu à plusieurs reprises à travers des chaînes de télévision et de presse écrite étrangères sur les mouvements arabes que je ne considère pas comme étant "des révolutions", puisque pour moi, une révolution a ses bases et ses fondateurs.» Avant de revenir sur la situation en Libye, Tunisie et Egypte qui ne connaissent pas des stabilités, faute de base. Les ouvrages de l'auteur sont essentiellement écrits dans l'objectif de faire connaître la culture magrébine, algérienne en particulier, dans le monde. «A travers mes ouvrage, je fais une présentation et une connaissance de richesse de la culture arabo-berbère et je transmets tout ce qui est du monde arabe à l'étranger. Comme le font plusieurs algériens à l'étrangers, donnant une bonne image et occupant des places respectables.» Il a ainsi intervenu sur l'état actuel de l'étudiant algérien. en disant : «Je vois d'énormes capacités intellectuelles et une immense volonté dans la recherche scientifique chez les jeunes étudiants algériens.» Concernant la répression que subissent les musulmans dans le monde occidental, sur la base des deux termes «extrémisme et islam », Yasmina Khadra à fait savoir que «le terme extrémisme est une idéologie occidentale, et l'islam est une religion comme toutes les autres religions», en affirmant : «Je suis un musulman pratiquant.»