L'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF) est plus que jamais décidée à mettre à exécution son mot d'ordre de grève pour les 24 et 25 avril. «Cette grève de deux jours est une grève préventive qui devrait permettre au ministère de l'Education de comprendre que nous sommes décidés à aller jusqu'au bout pour la satisfaction de nos revendications», a indiqué, hier, Sadek Dziri, le président de l'Unpef, lors d'une conférence de presse ajoutant que «nous comptons durant ces deux jours organiser des sit in devant les directions de l'éducation des 48 wilayas» . Le conférencier, qui donne l'impression de ne pas trop faire confiance à la tutelle en vue de répondre favorablement aux doléances du syndicat, a annoncé que l'Unpef compte s'en remettre au président de la République, Abdelaziz Bouteflika. «Nous allons saisir le président de la République afin qu'il fasse quelque chose et que le projet de révision du statut particulier ne soit pas entériné dans sa version actuelle», dira Sadek Dziri. Une mouture qui ne prend pas en considération les revendications du syndicat. En effet l'Unpef n'a pas eu gain de cause s'agissant de l'intégration et la classification de certaines catégories de la famille de l'éducation. D'où cette grève de deux jours qui sera suivie, dès dimanche 29 avril, d'une grève d'une semaine renouvelable. Autant dire que c'est d'une grève illimitée qu'il est question. Sadek Dziri a soutenu que son syndicat a revendiqué l'intégration et la classification de 62 500 enseignants du primaire, qui devraient passer de l'échelle 10 à l'échelle 11, et de 17 700 enseignants du cycle moyen qui, eux, devraient passer de l'échelle 11 à l'échelle 12 . «Sur ces deux points, qui sont à l'origine de ce mot d'ordre de grève, le ministère n'a pas respecté les termes de l'accord passé avec notre syndicat lors des négociations», a précisé le président de l'Unpef. Ce syndicat revendique en outre la classification des adjoints de l'éducation à l'échelle 10. Sadek Dziri a par ailleurs annoncé que la rencontre d'hier entre une délégation de l'Unpef et des représentants du ministère s'est soldée par un échec et tout indique que la rencontre, prévue aujourd'hui, subira le même sort. C'est dire que la grève est inéluctable. Une grève qui aura des incidences certaines sur ce troisième trimestre et pourra même être un facteur de menace sur les examens de fin d'année, le BAC et le BEM en l'occurrence. L'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF) est plus que jamais décidée à mettre à exécution son mot d'ordre de grève pour les 24 et 25 avril. «Cette grève de deux jours est une grève préventive qui devrait permettre au ministère de l'Education de comprendre que nous sommes décidés à aller jusqu'au bout pour la satisfaction de nos revendications», a indiqué, hier, Sadek Dziri, le président de l'Unpef, lors d'une conférence de presse ajoutant que «nous comptons durant ces deux jours organiser des sit in devant les directions de l'éducation des 48 wilayas» . Le conférencier, qui donne l'impression de ne pas trop faire confiance à la tutelle en vue de répondre favorablement aux doléances du syndicat, a annoncé que l'Unpef compte s'en remettre au président de la République, Abdelaziz Bouteflika. «Nous allons saisir le président de la République afin qu'il fasse quelque chose et que le projet de révision du statut particulier ne soit pas entériné dans sa version actuelle», dira Sadek Dziri. Une mouture qui ne prend pas en considération les revendications du syndicat. En effet l'Unpef n'a pas eu gain de cause s'agissant de l'intégration et la classification de certaines catégories de la famille de l'éducation. D'où cette grève de deux jours qui sera suivie, dès dimanche 29 avril, d'une grève d'une semaine renouvelable. Autant dire que c'est d'une grève illimitée qu'il est question. Sadek Dziri a soutenu que son syndicat a revendiqué l'intégration et la classification de 62 500 enseignants du primaire, qui devraient passer de l'échelle 10 à l'échelle 11, et de 17 700 enseignants du cycle moyen qui, eux, devraient passer de l'échelle 11 à l'échelle 12 . «Sur ces deux points, qui sont à l'origine de ce mot d'ordre de grève, le ministère n'a pas respecté les termes de l'accord passé avec notre syndicat lors des négociations», a précisé le président de l'Unpef. Ce syndicat revendique en outre la classification des adjoints de l'éducation à l'échelle 10. Sadek Dziri a par ailleurs annoncé que la rencontre d'hier entre une délégation de l'Unpef et des représentants du ministère s'est soldée par un échec et tout indique que la rencontre, prévue aujourd'hui, subira le même sort. C'est dire que la grève est inéluctable. Une grève qui aura des incidences certaines sur ce troisième trimestre et pourra même être un facteur de menace sur les examens de fin d'année, le BAC et le BEM en l'occurrence.