Les cours du pétrole ont terminé en légère hausse jeudi à New York, avec le repli du dollar, dans un marché qui est resté relativement calme en attendant de connaître les chiffres du PIB américain. Le baril de WTI "light sweet crude" pour livraison en juin a terminé à 104,55 dollars, en hausse de 43 cents par rapport à la clôture de mercredi, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). Le marché pétrolier a profité du repli du billet vert, a souligné Rich Ilczyszyn, analyste de iiTrader.com, expliquant que Wall Street "a continué à analyser les conclusions du FOMC", le Comité de politique monétaire de la Réserve fédérale des Etats-Unis (Fed). La monnaie américaine est, en effet, restée pénalisée par des déclarations de Ben Bernanke, le président de la Fed, qui a évoqué mercredi la possibilité d'un assouplissement monétaire supplémentaire si besoin était. Reste que "la réunion du FOMC d'hier était une répétition de celle de mars et n'a pas fourni de nouvelles réponses", a estimé M. Ilczyszyn, indiquant qu'en conséquence, les investisseurs attendaient d'autant plus les chiffres sur le PIB de mars aux Etats-Unis, publiés vendredi. Les cours du pétrole ont terminé en légère hausse jeudi à New York, avec le repli du dollar, dans un marché qui est resté relativement calme en attendant de connaître les chiffres du PIB américain. Le baril de WTI "light sweet crude" pour livraison en juin a terminé à 104,55 dollars, en hausse de 43 cents par rapport à la clôture de mercredi, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). Le marché pétrolier a profité du repli du billet vert, a souligné Rich Ilczyszyn, analyste de iiTrader.com, expliquant que Wall Street "a continué à analyser les conclusions du FOMC", le Comité de politique monétaire de la Réserve fédérale des Etats-Unis (Fed). La monnaie américaine est, en effet, restée pénalisée par des déclarations de Ben Bernanke, le président de la Fed, qui a évoqué mercredi la possibilité d'un assouplissement monétaire supplémentaire si besoin était. Reste que "la réunion du FOMC d'hier était une répétition de celle de mars et n'a pas fourni de nouvelles réponses", a estimé M. Ilczyszyn, indiquant qu'en conséquence, les investisseurs attendaient d'autant plus les chiffres sur le PIB de mars aux Etats-Unis, publiés vendredi.