Les sections syndicales des œuvres universitaires, affiliées à l'UGTA, ont lancé un mouvement de grève depuis la journée d'hier dans plusieurs wilayas du pays, a-t-on appris des syndicalistes. Ce mouvement de protestation qui a débuté dans l'est du pays pour gagner la capitale, paralyse complètement le secteur des œuvres universitaires. Un délai de trois (3) jours a été accordé à la tutelle pour donner une satisfaction à leur revendication, selon les protestataires. En l'absence d'une réponse favorable, les protestataires menacent d'aller vers une grève illimitée. Les travailleurs des œuvres universitaires ont élaboré une plateforme de revendications contenant une dizaine de points en vue de l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles. Ils réclament l'élaboration d'un statut particulier pour les travailleurs de ce secteur, qui selon eux, sont délaissés par la tutelle. Les grévistes revendiquent une augmentation des salaires, car affirment-ils, environs 95 % des travailleurs dans ce secteur sont des contractuels qui touche un salaire de moins de quinze mille dinars (15.000 DA) par mois. Cette situation ne peut plus durer, disent-ils. Parmi les autres points revendiqués, les travailleurs exigent des nominations, une augmentation des primes de rendement de l'ordre de 40 % ou encore l'attribution de postes spécifiques. « Certaines personnes occupent des postes pour lesquels elles ne sont pas payé », nous explique-t-on. Il faut dire que cette grève arrive à un mauvais moment. Les étudiants se préparent à passer les examens du second semestre. Ils vont devoir prendre leur mal en patience car les restaurants universitaires dans les résidences seront fermés. Pour l'heure, dix (10) wilayas de l'Est ont suivi le mouvement de grève, dont Béjaïa, M'sila, Sétif, Constantine, Jijel, Skikda, a-t-on fait savoir. Un autre mouvement de grève est annoncé pour aujourd'hui, il sera mené par le Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap), a-t-on appris de même source.A préciser que les protestataires des sections syndicales des œuvres universitaires n'en sont pas à leur première grève. Plusieurs mouvements de protestations ont eu lieu par le passé. Les sections syndicales des œuvres universitaires, affiliées à l'UGTA, ont lancé un mouvement de grève depuis la journée d'hier dans plusieurs wilayas du pays, a-t-on appris des syndicalistes. Ce mouvement de protestation qui a débuté dans l'est du pays pour gagner la capitale, paralyse complètement le secteur des œuvres universitaires. Un délai de trois (3) jours a été accordé à la tutelle pour donner une satisfaction à leur revendication, selon les protestataires. En l'absence d'une réponse favorable, les protestataires menacent d'aller vers une grève illimitée. Les travailleurs des œuvres universitaires ont élaboré une plateforme de revendications contenant une dizaine de points en vue de l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles. Ils réclament l'élaboration d'un statut particulier pour les travailleurs de ce secteur, qui selon eux, sont délaissés par la tutelle. Les grévistes revendiquent une augmentation des salaires, car affirment-ils, environs 95 % des travailleurs dans ce secteur sont des contractuels qui touche un salaire de moins de quinze mille dinars (15.000 DA) par mois. Cette situation ne peut plus durer, disent-ils. Parmi les autres points revendiqués, les travailleurs exigent des nominations, une augmentation des primes de rendement de l'ordre de 40 % ou encore l'attribution de postes spécifiques. « Certaines personnes occupent des postes pour lesquels elles ne sont pas payé », nous explique-t-on. Il faut dire que cette grève arrive à un mauvais moment. Les étudiants se préparent à passer les examens du second semestre. Ils vont devoir prendre leur mal en patience car les restaurants universitaires dans les résidences seront fermés. Pour l'heure, dix (10) wilayas de l'Est ont suivi le mouvement de grève, dont Béjaïa, M'sila, Sétif, Constantine, Jijel, Skikda, a-t-on fait savoir. Un autre mouvement de grève est annoncé pour aujourd'hui, il sera mené par le Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap), a-t-on appris de même source.A préciser que les protestataires des sections syndicales des œuvres universitaires n'en sont pas à leur première grève. Plusieurs mouvements de protestations ont eu lieu par le passé.