Après un mois de répit, la contestation reprend des plus belle chez les travailleurs des communes qui ont entamé dès hier une grève nationale de trois jours. Les travailleurs affiliés au Syndicat nationale autonome des personnels de l'administration publique (Snapap) ont annoncé un mouvement de grève cyclique de trois jours et ce chaque deux semaines. Les protestataires réclament la satisfaction pleine et entière de leurs revendications socioprofessionnelles auxquelles l'administration de tutelle n'a daigné donnée une suite favorable. Les conditions de travails détériorées, notamment des contractuels dans les communes du pays sont pointées du doigt par les syndicalistes qui dénoncent l'attitude de l'administration qui, selon eux, restreint leurs libertés syndicales. Cette attitude, précisons-le, ne fait que consolider les convictions des protestataires dans leur mouvement. Parmi les revendications de ces grévistes, le droit de grève, le respect des libertés syndicales, la réintégration de tous les syndicalistes suspendus de leurs postes de travail ou encore l'amélioration du pouvoir d'achat des ces travailleurs et ce en fonction de la cherté de la vie. Ils exigent, aussi, l'ouverture des portes du dialogue au niveau local et central. Le Syndicat, en question, réclame d'être partie prenante des négociations en participation à la révision du statut et du régime des primes et indemnités spécifiques aux travailleurs du secteur. La réintégration des contractuels à leur poste de travail figure également dans les revendications des travailleurs des communes, en sus de l'annulation de l'article 87 bis de la loi 11/90, la révision des statuts particuliers des corps communs, des travailleurs professionnels, des chauffeurs et des gardiens M. Aït Khelifa, vice-président de la Fédération nationale du secteur des communes, cité par la presse, a affirmé que son organisation syndicale a déposé un préavis de grève en date du 6 mai dernier. Le ministère du travail, a-t-il souligné, n'a pas répondu. La lutte de ces travailleurs, rappelons-le, ne date pas d'aujourd'hui. Deux syndicat, à savoir le Conseil national du secteur des communes et la fédération nationale, organisent depuis, l'an dernier, des mouvements de grève réclamant une amélioration des conditions de travail. En janvier dernier, pour rappel, un groupe de travailleurs en grève dans la localité de Cheraga, à Alger, a suivi une grève de la faim pour protester et s'indigner de l'absence de réaction de l'administration publique. Après un mois de répit, la contestation reprend des plus belle chez les travailleurs des communes qui ont entamé dès hier une grève nationale de trois jours. Les travailleurs affiliés au Syndicat nationale autonome des personnels de l'administration publique (Snapap) ont annoncé un mouvement de grève cyclique de trois jours et ce chaque deux semaines. Les protestataires réclament la satisfaction pleine et entière de leurs revendications socioprofessionnelles auxquelles l'administration de tutelle n'a daigné donnée une suite favorable. Les conditions de travails détériorées, notamment des contractuels dans les communes du pays sont pointées du doigt par les syndicalistes qui dénoncent l'attitude de l'administration qui, selon eux, restreint leurs libertés syndicales. Cette attitude, précisons-le, ne fait que consolider les convictions des protestataires dans leur mouvement. Parmi les revendications de ces grévistes, le droit de grève, le respect des libertés syndicales, la réintégration de tous les syndicalistes suspendus de leurs postes de travail ou encore l'amélioration du pouvoir d'achat des ces travailleurs et ce en fonction de la cherté de la vie. Ils exigent, aussi, l'ouverture des portes du dialogue au niveau local et central. Le Syndicat, en question, réclame d'être partie prenante des négociations en participation à la révision du statut et du régime des primes et indemnités spécifiques aux travailleurs du secteur. La réintégration des contractuels à leur poste de travail figure également dans les revendications des travailleurs des communes, en sus de l'annulation de l'article 87 bis de la loi 11/90, la révision des statuts particuliers des corps communs, des travailleurs professionnels, des chauffeurs et des gardiens M. Aït Khelifa, vice-président de la Fédération nationale du secteur des communes, cité par la presse, a affirmé que son organisation syndicale a déposé un préavis de grève en date du 6 mai dernier. Le ministère du travail, a-t-il souligné, n'a pas répondu. La lutte de ces travailleurs, rappelons-le, ne date pas d'aujourd'hui. Deux syndicat, à savoir le Conseil national du secteur des communes et la fédération nationale, organisent depuis, l'an dernier, des mouvements de grève réclamant une amélioration des conditions de travail. En janvier dernier, pour rappel, un groupe de travailleurs en grève dans la localité de Cheraga, à Alger, a suivi une grève de la faim pour protester et s'indigner de l'absence de réaction de l'administration publique.