Un gazoduc codétenu par le français Total a été saboté lundi avant l'aube par des hommes armés d'Al-Qaïda dans la province de Chabwa dans le sud-est du Yémen, a annoncé un responsable local. Le gazoduc a été endommagé par une charge explosive qui a provoqué un incendie au niveau de la localité de Maïfaa, à 40 km du terminal de Belhaf, sur le Golfe d'Aden, ont indiqué des témoins. "C'est la réponse Al-Qaïda aux raids le visant", a affirmé le responsable local au moment où le réseau extrémiste fait face à une offensive de l'armée yéménite qui cherche à reprendre le contrôle de la ville de Zinjibar et de la localité proche de Jaar (sud) et subit des attaques de drones américains. Selon les témoins, le sabotage a été précédé par des échanges de tirs entre gardes de la campagnie Yemen LNG et combattants d'Al-Qaïda. Il n'a pas été possible de savoir dans l'immédiat si ce sabotage avait provoqué une interruption de l'approvionnement en gaz du terminal de Belhaf. Le même gazoduc a été saboté le 26 avril. Un sabotage s'était déjà produit le 30 mars et avait contraint Yemen LNG, détenue en partie par le groupe pétrolier français Total, à interrompre pendant trois semaines ses exportations de gaz liquéfié depuis Belhaf. Vienne, Nucléaire iranien Début des discussions avec l'AIEA L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et l'Iran, soupçonné de vouloir se doter de l'arme atomique, ont repris leurs discussions lundi à Vienne trois mois après l'échec de deux visites de l'agence visant à clarifier la nature du programme nucléaire de Téhéran. "Nous sommes ici afin de poursuivre notre dialogue dans un esprit positif", a déclaré le chef des inspecteurs de l'AIEA Herman Nackaerts à son entrée dans la représentation permanente de l'Iran auprès des Nations unies, où vont se tenir ces discussions jusqu'à aujourd'hui. "L'objectif de ces deux jours est de trouver un accord sur une approche visant à résoudre toutes les questions en suspens avec l'Iran", a ajouté le Belge, en particulier celles concernant la possible dimension militaire du programme de Téhéran. Un gazoduc codétenu par le français Total a été saboté lundi avant l'aube par des hommes armés d'Al-Qaïda dans la province de Chabwa dans le sud-est du Yémen, a annoncé un responsable local. Le gazoduc a été endommagé par une charge explosive qui a provoqué un incendie au niveau de la localité de Maïfaa, à 40 km du terminal de Belhaf, sur le Golfe d'Aden, ont indiqué des témoins. "C'est la réponse Al-Qaïda aux raids le visant", a affirmé le responsable local au moment où le réseau extrémiste fait face à une offensive de l'armée yéménite qui cherche à reprendre le contrôle de la ville de Zinjibar et de la localité proche de Jaar (sud) et subit des attaques de drones américains. Selon les témoins, le sabotage a été précédé par des échanges de tirs entre gardes de la campagnie Yemen LNG et combattants d'Al-Qaïda. Il n'a pas été possible de savoir dans l'immédiat si ce sabotage avait provoqué une interruption de l'approvionnement en gaz du terminal de Belhaf. Le même gazoduc a été saboté le 26 avril. Un sabotage s'était déjà produit le 30 mars et avait contraint Yemen LNG, détenue en partie par le groupe pétrolier français Total, à interrompre pendant trois semaines ses exportations de gaz liquéfié depuis Belhaf. Vienne, Nucléaire iranien Début des discussions avec l'AIEA L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et l'Iran, soupçonné de vouloir se doter de l'arme atomique, ont repris leurs discussions lundi à Vienne trois mois après l'échec de deux visites de l'agence visant à clarifier la nature du programme nucléaire de Téhéran. "Nous sommes ici afin de poursuivre notre dialogue dans un esprit positif", a déclaré le chef des inspecteurs de l'AIEA Herman Nackaerts à son entrée dans la représentation permanente de l'Iran auprès des Nations unies, où vont se tenir ces discussions jusqu'à aujourd'hui. "L'objectif de ces deux jours est de trouver un accord sur une approche visant à résoudre toutes les questions en suspens avec l'Iran", a ajouté le Belge, en particulier celles concernant la possible dimension militaire du programme de Téhéran.